1 mars 2019

THÉORIE DU COMPLOT : Pour qui travaille vraiment Blanquer ?


A Bilderberg, ils ont fait Macron : les Kravis, DSK, Jouyet, Blanquer, Edouard Philippe…
Illustration : Marie-Josée et Henry Kravis, DSK, Jean-Pierre Jouyet, l’âme noire de Jospin et ses successeurs, Jean-Michel Blanquer, Edouard Philippe…
Qui a aidé Macron à prendre le pouvoir ? Soros, bien sûr, mais aussi pas mal de fondations, de gens en place, notamment de ceux qui sont régulièrement invités aux petites soirées de Bilderberg.
Soros, donc.

-Mais aussi la French-American Foundation et le German Marshall Fund of the United States.
-Mais aussi Henry et Marie-Josée (Drouin) épouse Kravis (que Macron a rencontré la première fois en 2007) et leur société KKR (KKR Global Institute) agence de Renseignement à la tête de laquelle est nommé l’ancien directeur de la CIA, le général David Petraeus [ C‘est avec les fonds privés de Kravis que que Petraeus va poursuivre l’Opération « Timber Sycamore » initiée par Obama.
Timber Sycamore est un programme secret géré par la Central Intelligence Agency et soutenu par divers services de renseignement arabes, notamment celui de l’Arabie saoudite. Lancé en 2012 ou 2013, il fournit de l’argent, des armes et une formation aux forces rebelles qui combattent dans la guerre civile syrienne. Selon plusieurs responsables américains, le programme a servi à former des milliers de rebelles1,2. wikipedia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Timber_Sycamore
L’existence du programme a été révélée quand le site web du U.S. Federal Business Opportunities a sollicité publiquement des contrats pour expédier des tonnes d’armes en provenance d’Europe de l’Est à Aqaba, en Jordanie. Une conséquence involontaire du programme a été d’inonder le marché noir moyen-oriental en armes, dont des fusils d’assaut, des mortiers et des grenades propulsées par fusée.
KKR est avec Blackstone et le Carlyle Group, l’un des principaux fonds d’investissement dans le monde.
- BILDERBERG : créé par la CIA et le MI6, puis est devenu un organe d’influence de l’Otan qui en assure directement la sécurité. Le Club de Bilderberg, dont les principaux piliers sont les Kravis et Marie-Josée Drouin-Kravis est administratrice.
Quand il se présente aux élections de 2017, initialement, le financement de son association qu’il crée pour l’occasion « En Marche ! » n’est pas contrôlée et elle peut rececoir des dons de l’étranger. L’archi-milliardaire Henry Kravis est de ses donateurs. Macron est donc un homme de l’OTAN. La France, nous, sommes les prisonniers et les esclaves de l’OTAN. Il faut donc sortir de l’UE et de l’OTAN et moi je verrais bien en plus de l’ONU.
Dans sa sphère on retrouve DSK (adoubé en 2000 par le groupe Bilderberg) qui n’est plus alors le président du FMI mais qui lui apporte le soutien de la haute Fonction Publique et celui du Patronat français, -quand Macron fait allusion à des références pétainistes, on comprend mieux pourquoi -[Voir références en fin de commentaire : « Fondation Saint Simon« ].
Parmi les collabos on retrouve :
– L’influent Jean-Pierre Jouyet, adoubé en 2009 au Bilderberg, ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique sous Hollande.
– Jean-Michel Blanquer : juriste, spécialiste de droit constitutionnel, directeur de la prestigieuse École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC) connaît depuis longtemps Castries qu’il fréquentait à l’Institut Montaigne, ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, invité sur proposition d’Henri de Castries à la réunion annuelle du Bilderberg qui se tient en Italie en juin 2018.
– Edouard Philippe, on en parle moins, il se fait plutôt discret tout en tenant les rênes. Invité alors qu’il est député-maire du Havre, à la réunion annuelle du Bilderberg en juin 2015 en Autriche. Il sera à nouveau invité, en Allemagne cette fois, en mai 2016. (Double casquette ; soutien -apparent- de Fillon lors de la campagne présidentielle en France avec Henri de Castries lequel Castries avait fait croire à Fillon qu’il ne soutenait pas Macron et qu’il était prêt à devenir son prmier ministre. Ils laisseront tomber Fillion après que Jean-Pierre Jouyet aura fourniles documents financiers réunis par l’Inspection des finances sur les emplois douteux de Madame Fillon au Canard enchaîné. Ils se rallieront alors à Emmanuel Macron).
En conclusion : le problème profond lié à l'économie dans notre pays ne pourra pas être résolu sans une remise en cause la globalisation financière, CE QUE LE PRÉSIDENT MACRON NE PEUT PAS FAIRE.




Commentaire d'un lecteur :
En parlant de la FRENCH AMERICAN FOUNDATION (dont est membre Macron d’ailleurs) :
Tous ont été minutieusement sélectionnés et « formés » par ce très élitiste réseau, une forme de secte politique inconnue du grand public, sponsorisée entre autres, et ce n’est pas par hasard, par la banque franco-américaine Lazard dont le directeur est le très socialiste Mathieu Pigasse qui leur ouvre des comptes protégés à Lazard Frères Gestion à Genève.
Pigasse fait partie du célèbre trio BNP (Bergé-Niel-Pigasse) qui, comme par hasard, dirige toute la presse bien-pensante. A la mort de Bergé, les 2 restants ont d’ailleurs racheté ses parts.
Pour avoir un aperçu de la connivence du politique et des médias, ça date de 2014 et il y a bien sûr des nouveaux membres qui n’y figurent pas :

Quant à BILDERBERG, Article de Manuel Gomez en 2017 (extrait) :
C’est ainsi que lors du « 62ème Bilderberg », en 2014, Emmanuel Macron, secrétaire général adjoint de l’Élysée, prononce un discours terriblement accablant contre son « patron », François Hollande, et, devant 130 personnalités, il critique longuement la politique menée et le démonte totalement.
Pas question de laisser échapper une telle opportunité, de ne pas se réserver une telle intelligence. 9 jours plus tard Emmanuel Macron démissionne, Arnaud de Montebourg est « débarqué », le poste de ministre de l’économie est vacant et il est « offert » à Emmanuel Macron.
Le président de la République, François Hollande n’en n’a jamais été informé.
François Hollande a été totalement « cocufié » par son élève !
Mai 2017, Emmanuel Macron est élu en toute tranquillité président de la République Française et, à la surprise générale, qui nomme-t-il comme premier ministre ? Édouard Philippe, de la droite républicaine et maire du Havre qui, comme par hasard, a été « l’invité » du Groupe Bilderberg lors de la 6ème réunion, en 2016, en Allemagne.
Le monde est petit, hein ?

QUI GOUVERNE LA FRANCE ? (février 2014)

QUI GOUVERNE LA FRANCE ?

Qui nous gouverne ? Des énarques, certes, mais peu savent que tous ou presque, à l'UMP
comme au PS, sont membres de deux clubs sulfureux, le Siècle et la French American
Foundation, deux clubs parmi les plus discrets mais les plus influents de France.

LE SIÈCLE ET LA FRENCH AMERICAN FOUNDATION
Le Siècle est une filiale du club de Bilderberg, La French American Foundation est de son côté une filiale du Council on Foreign Relations, dont le programme 2008-2013 est connu sous le nom de "Nouvel Ordre Mondial". La French American Foundation a réussi à placer cinq de ses membres dans le gouvernement Hollande, et Hollande lui-même à la présidence de la République. Joli coup ! Le club Bilderberg a maintenant deux yeux au sein du gouvernement, dont Manuel Valls, le ministre de l'Intérieur.



LE SIÈCLE
Le club Le Siècle existe depuis 1945, il a été fondé par un franc-maçon, Georges Bérard-Quelin, mais seulement de 20 à 30 % des membres sont actuellement connus comme étant francsmaçons. Il espérait rester anonyme, son existence a été révélée pour la première fois en 1977 par un article de l'Humanité. La liste de ses membres a été publiée contre sa volonté en 2011.

L'adhésion coûte 150 €/an. Il y a 15 administrateurs et environ 800 membres, appelés "invités" ce qui leur permet de mentir effrontément en niant leur appartenance au club comme membres à part entière puisqu'ils y sont seulement "invités". Seulement pour devenir "invité", il faut faire acte de candidature et être recruté par cooptation au sein du conseil d'administration, sur proposition d'un membre (invité) plus l'un des quinze administrateurs. Le Siècle se réunit une fois par mois, dix fois par an, le dernier mercredi du mois, pour un souper au Crillon place de la Concorde, dans les luxueux salons de l'Automobile Club.

Un dîner a eu lieu le mercredi 25 avril 2011 entre les deux tours de la présidentielle, c'est là
qu'il aurait été décidé que la présidence devait passer de Sarkozy à Hollande, ce qui
expliquerait la petite phrase de Sarko sur son retour dans le civil et le peu de vitalité manifesté par l'état-major de l'UMP pour le soutenir à partir de ce jour-là.

Plusieurs des membres du Siècle sont, comme Valls et Jospin, également membres du club de Bilderberg. Ce sont ceux-là qui auraient fait passer le message qu'il était nécessaire de pousser Hollande à la présidence, un Hollande plus docile aux suggestions du Bilderberg que Sarkozy, trop "électron libre" et trop proche d'Angela Merkel.

Or, le Bilderberg ne veut pas d'une co-gestion franco-allemande de l'Europe, mais d'une cogestion américano-européenne de monde occidental. Sur ce point il rejoint l'objectif de la
French American Foundation.

Jospin, à la fois membre du Bilderberg et du Siècle, et qui avait déclaré ne plus vouloir faire de politique, fut si présent pendant la campagne présidentielle car il était là pour surveiller que les instructions du directoire du Bilderberg serait bien respectée par tous. 

Le Siècle a aussi un objectif plus concret : placer le maximum de ses membres au gouvernement, peu importe qu'ils soient PS ou UMP. C'est la raison pour laquelle Sarkozy qui en est membre avait fait "l'ouverture" avec d'autres membres du club comme Attali. Vous comprendrez mieux la collusion des énarques de tous bords politiques en voyant la liste des "invités" ci-dessous :
Président actuel depuis janvier 2011 : Nicole Notat, l'ancienne syndicaliste CFDT ;
Vice-présidents : Olivier Duhamel, journaliste politologue qui écrit, entre autres, dans Valeurs
Actuelles (et le frère d'Alain) et Henry Loirette, président du musée du Louvre ;
Trésorier : Marc Tessier, ancien président de France Télévision
Secrétaire général : Etienne Lacour, directeur de la rédaction de la Société Générale de Presse.
Quelques "invités", membres du Siècle, sont issus de la finance et des affaires. Presque tous les Inspecteurs généraux des finances (énarques) en activité (114 sur 120 en 2009) appartiennent au Club...
Thierry Breton (ancien ministre des Finances)
Alain Lamassoure (ancien ministre du Budget)
Pascal Lamy (ancien inspecteur général des finances, directeur de l'Organisation Mondiale du Commerce)
Alain Minc (ancien inspecteur général des finances, essayiste, président de SANEF)
Christian Noyer (ancien directeur du Trésor, Gouverneur de la Banque de France)
Dominique Strauss-Kahn (ancien directeur général du FMI, ex-Bilderberg)
Jean-Claude Trichet (ancien directeur du Trésor, ancien Gouverneur de la Banque de France, ancien président de la Banque Centrale Européenne)
Jacques Attali (conseiller d'Etat, président de PlaNet Finance)
Claude Bébéar (ancien président d'AXA, président de l'Institut Montaigne)
Antoine Bernheim (dirigeant associé de la banque Lazard)
Daniel Bouton (ancien directeur du Budget, ancien président de la Société Générale)
Jean-Yves Haberer (ancien PDG du Crédit Lyonnais)
Michel Pébereau (ancien président de la BNP Paribas)
Jean Peyrelevade (dirigeant des banques Suez, Stern, Crédit Lyonnais)
Édouard de Rothschild (banquier et homme d'affaires, Bilderberg)
Jean-Paul Agon (directeur général de L'Oréal)
Delphine Arnault (administratrice de sociétés et fille de Bernard Arnault)
Bernard Bigot (patron du CEA)
Bernard Boulito (Heinz et Asics)
Stéphane Courbit
Serge Dassault
Étienne Davignon
Louis Gallois
Guillaume Pepy
Antoine Guichard (ancien PDG du Groupe Casino)
Philippe Jaffré (ELF Aquitaine, Zebank, Alstom)
Louis Schweitzer (ancien président de Renault, ancien président de la HALDE)
(La liste n'est pas limitative, et ne comporte que les plus connus)
On y compte aussi évidemment bon nombre de journalistes et éditeurs de presse...
Arlette Chabot
Jean-Marie Colombani (journaliste, ancien président de Le Monde)
Anne-Marie Couderc (Groupe Hachette Filipacchi Médias)
Michèle Cotta (journaliste, ancienne directrice de France 2) 
Teresa Cremisi (présidente des éditions Flammarion)
Alain Duhamel (politologue, chroniqueur à RTL)
Michel Field (journaliste sur Europe 1)
Franz-Olivier Giesbert
Claude Imbert (journaliste au Point)
Odile Jacob (éditrice)
Denis Jeambar (ancien directeur des éditions du Seuil)
Laurent Mouchard-Joffrin (journaliste et directeur de publication du Nouvel Observateur)
Serge July (ancien PDG de Libération)
Julien Kouchner (directeur général de l'Agence CAPA)
Étienne Lacour (secrétaire général du Siècle)
Maurice Lévy (PDG de Publicis)
Serge Moati (journaliste sur France 5)
Denis Olivennes (directeur d'Europe 1)
Sylvie Pierre-Brossolette
Bernard Pivot
Patrick Poivre d'Arvor (journaliste et ancien présentateur télévisé à TF1)
Alain de Pouzilhac (ancien PDG du groupe Havas)
David Pujadas (journaliste et présentateur télévisé, France 2)
Alain-Gérard Slama (journaliste au Figaro et à France Culture)
Anne Sinclair
Marc Tessier (ancien président de France Télévisions)
Sans oublier les personnalités politiques...
Martine Aubry PS
Michel Barnier UMP
Jacques Barrot Centriste-UMP
François Bayrou Modem
Éric Besson PS - UMP
Jeannette Bougrab UMP
Hervé de Charette Centriste
Jean-Pierre Chevènement PS
Jean-François Copé UMP
Laurent Fabius PS
Luc Ferry UMP
Aurélie Filipetti PS
François Fillon UMP
Élisabeth Guigou PS
Adeline Hazan PS
Martin Hirsch PS
François Hollande PS
Nicolas Sarkozy UMP
Jean-Paul Huchon PS
Anne-Marie Idrac PS
Lionel Jospin PS et Bilderberg
Alain Juppé UMP
Bernard Kouchner PS
Jack Lang PS
Noëlle Lenoir ? 
Corinne Lepage centriste
Charles Millon droite
Pierre Moscovici PS
Jean-Pierre Raffarin UMP
Manuel Valls PS
Jacques Toubon UMP
Michel Vauzelle PSEt
Henri Weber PS
Hubert Védrine PS
Rama Yade UMP
Marisol Touraine PS
Fadela Amara PS
Rachida Dati UMP

Et enfin, la liste ne serait pas complète sans les syndicalistes...
Jean-Christophe Le Duigou (ancien dirigeant de la CGT du corps des finances, puis receveur général des hypothèques)
Nicole Notat (présidente de Le Siècle, ex-CFDT, puis présidente de Vigeo)
Laurence Parisot (présidente du MEDEF)
Ernest-Antoine Seillière (ancien président du MEDEF)

Si vous doutez encore qu'il y ait une formidable collusion entre presse, finance, banques,
affaires, syndicats et politiques, lisez et regardez :

Au coeur du pouvoir : enquête sur le club le plus puissant de France Emmanuel Ratier

Les Nouveaux Chiens de garde, film sorti en 2012 de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat dans lequel ils dénoncent le Siècle comme un lieu de collusion entre politiques et journalistes.

Depuis novembre 2010, des moyens considérables de sécurité sont mis à disposition tous les dernier mercredi du mois le soir, sur la place de la Concorde et dans le quartier alentour, sur ordre de Michel Gaudin, préfet de police de Paris, également membre du club afin d'assurer la protection de tous ces joyeux drilles, majoritairement énarques et Sciences Po, qui soupent ensemble et préparent les mauvais coups qu'ils nous destinent tout en faisant semblant de se battre au petit écran et dans la presse.

L'important dans une bande de copains n'est-il pas de se repasser les bons coups et les affaires
juteuses pour que tout le monde y gagne ? Enfin, sauf les cochons de payants.

LA FRENCH AMERICAN FOUNDATION (FAF)

La French American Foundation (FAF) a été fondée en 1976 par trois membres du Council on
Foreign Relations (CFR) américain et, dans sa version française, conjointement par les présidents Ford et Giscard d’Estaing pour cornaquer les plus éminents des jeunes dirigeants français.
Le Council on Foreign Relations est un think tank (club de réflexion ou "laboratoire d'idées") non partisan, américain, ayant pour but officiel d'analyser la politique étrangère américaine et la situation politique mondiale.

Le CFR souhaite que ses membres reflètent la diversité de la société américaine et entend
développer l'expérience de la génération montante de leaders en proposant des programmes qui incluent des rencontres et des discussions avec les officiels du gouvernement, des leaders mondiaux et des membres éminents de la communauté des affaires étrangères.

Le coeur de son think tank est le David Rockefeller Studies Program, composé d'environ
cinquante "adjoints" (pendants des "invités" du Siècle), tant démocrates que républicains. 
Cette noble assemblée se méfie des partis politiques, qu'elle range en bloc aux côtés des
"factions" de tout acabit et considère comme un grave danger pour la République américaine.
Pensant que l'architecture de gouvernance mondiale reflétait trop le monde tel qu'il existait en 1945 et n'était plus adapté au monde actuel, le CFR a lancé en 2008 un programme de cinq ans intitulé "International Institutions and Global Governance, World Order in the 21st Century".
Connu en France sous le nom "Nouvel Ordre Mondial".

Le programme du CFR se focalise sur quatre grands défis :
- Contrer les menaces transnationales parmi lesquelles le terrorisme,
- Promouvoir la sécurité énergétique,
- Gérer l'économie mondiale,
- Prévenir et répondre à des conflits violents.

Quand on parle de la French American Foundation, filiale du CFR, évoquer le principe d’un "club cultivant l’amitié entre les peuples américain et français" comme le prétendent ses statuts est une aimable plaisanterie.

À la lecture des noms composant le groupe des généreux donateurs et dirigeants, on peut se dire que des raisons bien matérielles et idéologiques doivent agiter les esprits de la FAF.
En effet sans tous les nommer, on y trouve Franck Carlucci du groupe Carlyle ; David Rockfeller, ancien président du CFR et fondateur de la Trilatérale ou encore Ernest-Antoine Sellière, ancien président du patronat français et européen et président du groupe de Wendel.
À ce niveau, la philanthropie n’existe pas.

L’objectif de la FAF est d’intégrer des personnes appartenant à l’élite politique, économique,
militaire et journalistique afin de véritablement quadriller le terrain.

C’est le professeur de science politique et membre du CFR, Ezra Suleiman, qui fut pendant des années le seul habilité à accepter les recrues françaises de la FAF désignées par le terme de "Young Leaders".

"Depuis son lancement (en France) en 1981, le programme des Young Leaders aspire à
sélectionner chaque année les candidats français susceptibles d’occuper des postes à haute responsabilité."

Côté américain, nous pouvons relever le président Bill Clinton ; Hillary Clinton ministre des
affaires étrangères d'Obama et l’ex-patron de l’OTAN en Europe, le général Wesley Clark.
Côté français, nous trouvons de nombreux journalistes comme Christine Ockrent, Jean-Marie Colombani (Le Monde), Emmanuel Chain, Jérôme Clément (président d’ARTE) ; mais aussi de nombreux élus socialistes, François Hollande, Pierre Moscovici, Arnaud Montebourg, etc. ; et de l’UMP, Alain Juppé, Valérie Pécresse, Jacques Toubon, Eric Raoult, etc. et aussi Nicolas Dupont-Aignan.

L'énarchie française s’est ralliée depuis longtemps au dogme du mondialisme.
Cependant, il est utile pour le système de maintenir une opposition artificielle entre UMP et PS alors qu’en fait, nous vivons dans le régime du parti unique.
En jouant l’alternance droite-gauche, on fait croire au peuple qu’il y a une autre politique
possible.

En fait, les dirigeants énarques de l'UMP et du PS mènent le pays vers la même direction :
l’intégration à un bloc euro-atlantique, à direction unique. 

Pourquoi pas, si cela se traduisait par une gouvernance vraiment efficace et l'amélioration des conditions de vie de la population dans la liberté, notamment celle de penser ?

L'ennui, c'est que ce n'est pas le cas, on va plutôt vers Le meilleur des mondes ou 1984 d'Orwell.

Le cas de Nicolas Dupont-Aignan est intéressant. Officiellement, il défend avec passion la
souveraineté française mâtinée de gaullisme. En fait, c’est un leurre. Son appartenance à la FAF, depuis 2001, le prouve.

Si Dupont-Aignan a été accepté au sein de la French American Foundation, cela signifie qu’il a dû présenter obligatoirement des gages prouvant sa bonne foi. On ne trompe pas facilement les élites mondialistes de la FAF. Ce politicien est utile au système parce qu’il est un dérivatif.

Dans le cas de Dupont-Aignan, il s’agit de contrôler un mouvement en faveur de la cause nationale, défendue par le FN, pour ensuite arrondir les angles et empêcher que les "patriotes" puissent diffuser de véritables informations sur les origines du mondialisme.

"Quand on ne peut pas arrêter une tendance, en particulier la rébellion de nombreux Français en faveur du retour à la souveraineté, il est préférable d’accompagner le mouvement pour l’étouffer par la suite. C’est la mission de NDA. Ce dernier ne doit pas jouer la comédie de l’homme qui n’est pas au courant des objectifs de la French American Foundation compte tenu des conditions de sélection pour y adhérer. Quant on fait partie de la FAF dont le but ultime est de réaliser un bloc euro-atlantique complet, on ne peut pas en même temps être gaulliste et se présenter comme un ardent défenseur d’une France souveraine. Dans le cadre de la course à la présidentielle NDA a mobilisé des espoirs pour récolter cinq cents signatures. Comme par hasard, il a ensuite échoué au grand dam des Français fidèles à la cause gaulliste. N’est-ce pas là un bon exemple de stérilisation des bonnes énergies ?

C’est le cas de François Hollande, le patron du PS. Il suffit aussi de voir la longue liste des
politiques membres du Parti socialiste et de l’UMP appartenant à la FAF. Peu importe l’équipe au pouvoir, la FAF aura ses hommes et ses femmes au pouvoir en France au service de l’Atlantisme.

Il ne faut pas oublier aussi la présence de nombreux membres de la FAF au sein des grandes entreprises et du milieu journalistique. D’une certaine manière, tout est verrouillé." (Pierre Hilliard, Revue-républicaine.fr)

Sur les huit socialistes sélectionnés comme Young Leaders depuis François Hollande en 1996, six sont dans son gouvernement. François Hollande et Pierre Moscovici sont FAF depuis 1996, Marisol Touraine et Aquilino Morelle depuis 1998, Arnaud Montebourg depuis 2000 et Najat Vallaud-Belkacem depuis 2006, sont tous des « Young Leaders ». Tous ont été minutieusement sélectionnés et "formés" par ce très élitiste réseau, une forme de secte politique inconnue du grand public, sponsorisée entre autres, et ce n'est pas par hasard, par la banque francoaméricaine Lazard dont le directeur est le très socialiste Mathieu Pigasse qui leur ouvre des comptes protégés à Lazard Frères Gestion à Genève.

En d’autres termes, ils ont tous postulé et se sont fait parrainer pour être admis à suivre le
programme phare mis en place par la FAF, la French American Fondation. La FAF est elle-même un organisme à cheval sur Paris et New York. À noter qu’entre 1997 et 2001, c'est John Negroponte qui présida la FAF, avant de devenir entre 2005 et 2007, sous Georges Bush, le premier directeur coordonnant tous les services secrets américains (Direction of National Intelligence), et dirigeant l’US States Intelligence Community qui regroupe une quinzaine de membres, dont le FBI et la CIA.

Un président et cinq ministres en France : beau tir groupé, comme s’en enorgueillit à juste titre le site américain de la FAF : "The French-American Foundation is proud to have five Young Leader  in the cabinet of President François Hollande, himself a Young Leader in 1996", tandis que son site français n'en dit pas un mot. C'est beau la discrétion, la transparence et la morale républicaine !

"Pourquoi est-ce que les journalistes ne nous parlent pas de ça, à propos de François Hollande, au lieu de nous parler de son séjour d’étudiant et de son goût pour les cheese-burgers dont on n’a rien à faire ?". Qu’ils demandent donc la réponse aux journalistes qui ont l’art de nous servir ces hamburgers, préparés par les communicants, en prenant leurs lecteurs pour des cornichons !

Qu’ils la demandent en particulier aux Young Leaders des médias, aujourd’hui actionnaires ou directeurs des principales rédactions, ces copains de promo de certains de nos nouveaux ministres pour certains d’entre eux : de Laurent Mouchard-Joffrin (Nouvel Observateur) à Denis Olivennes (Europe 1, Paris Match et JDD), en passant par Matthieu Pigasse (Banque Lazard et Inrockuptibles), Louis Dreyfus et Erik Izraelewicz (Le Monde)… Et la liste des hommes de médias Young Leaders est longue, comme on peut la lire plus intégralement dans l’enquête « Ils ont acheté la presse ». (Benjamin Dormann, cité par Atlantico).

À New York, la venue de François Hollande et de sa nouvelle équipe était attendue sereinement.
Vu de la FAF, "Welcome à la Hollande team" ; on reste en terrain connu, tout est sous contrôle, on est même fier d’avoir autant de ses poulains dans la place, nous l’avons vu.
Que les angoissés se rassurent : « le changement, ce n’est pas pour maintenant », n’en déplaise à Jean-Luc Mélenchon qui croit tout savoir !

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Philippe de Villiers raconte une réunion de la Trilatérale :


Le Groupe Bilderberg : Qu’est-ce que ce rassemblement secret et ses membres complotent-ils vraiment pour un Nouvel Ordre Mondial ?

Note : Cet article est hautement propagandiste mais vous donne des informations intéressantes malgré tout. Cet article prend clairement parti contre le nationalisme, contre Alex Jones et contre quiconque critique le groupe Bilderberg.
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La réunion annuelle de l’élite américaine et européenne attire énormément de suspicion et de paranoïa, mais s’agit-il vraiment d’un “club dînatoire occasionnel” ?
Le groupe secret Bilderberg se réunit pour sa réunion annuelle la semaine prochaine, qui a lieu cette année à Turin, en Italie.
Un collectif de politiciens d’élite nord-américains et européens, de dirigeants d’entreprises, de financiers et d’universitaires, le groupe a suscité beaucoup de suspicion au cours du dernier demi-siècle, les théoriciens du complot affirmant avec assurance que ses membres complotent pour imposer un Nouvel Ordre Mondial infernale en vue de dominer le monde.
Les manifestants qui considèrent que les Bilderbergers (participants du groupe) représentent un “gouvernement mondial fantôme” se réunissent régulièrement, générant un besoin de haute sécurité en toutes circonstances, mais les participants insistent sur le fait que le groupe est simplement une société de pensées qui se déroule en dehors de tous les projecteurs politiques.
Une femme tient une pancarte devant un poste de contrôle de police sur une route menant à l’Interalpen-Hotel Tirol, lieu de la conférence Bilderberg, le 12 juin 2015 près de Telfs, en Autriche (Christian Bruna/AFP/Getty).
Le groupe publie sa liste d’invités la veille de sa réunion annuelle – entre 120 et 150 sont invités par son comité de direction – ainsi qu’une liste des sujets qu’ils entendent aborder dans un geste de transparence. Il s’agit généralement de questions générales telles que les préoccupations macroéconomiques, la menace du terrorisme et la cybersécurité.
Cependant, aucun rapport n’est rédigé et les résultats de leurs discussions ne sont pas rendus publics, d’où l’hypothèse qu’ils sont une sinistre cabale de riches et de puissants avec quelque chose à cacher.
Le Groupe Bilderberg tire son nom de l’Hôtel de Bilderberg à Oosterbeek, aux Pays-Bas, où ses membres se sont réunis pour la première fois le 29 mai 1954 à l’invitation du Prince Bernhard de Lippe-Biesterfeld.
Ses fondateurs – dont l’ex-polonais Jozef Retinger, ex-premier ministre belge Paul van Zeeland et Paul Rijkens, ancien chef du géant des biens de consommation Unilever – étaient préoccupés par l’atmosphère antiaméricaine qui régnait dans l’Europe de l’après-guerre, à un moment où les Etats-Unis connaissaient un boom de la consommation tout en tenant le destin du continent en voie de redressement entre leurs mains par le biais du Plan Marshall.
Le groupe espérait raviver un esprit de fraternité transatlantique fondé sur la coopération politique, économique et militaire, nécessaire pendant la guerre froide, alors que l’URSS resserrait son emprise de fer sur ses satellites orientaux.
Soixante et un délégués, dont 11 Américains, provenant d’un total de 12 pays, ont assisté à la conférence inaugurale, avec des candidats choisis pour apporter des points de vue conservateurs et libéraux complémentaires, dont le futur dirigeant travailliste Hugh Gaitskell. Son succès signifie que des réunions ultérieures ont eu lieu en France, en Allemagne, au Danemark avant la première sur le sol américain à l’île St Simons en Géorgie.
L’objectif principal du groupe Bilderberg aurait été élargi pour inclure un soutien plus large au capitalisme de marché libéral occidental au fil des ans, bien que les théoriciens du complot croient que leur programme est soit d’imposer un fascisme pan-mondial, soit un marxisme totalitaire. Ils ne sont pas sûrs de ce qu’ils font.
Bien que les membres ne discutent généralement pas de ce qui se déroule dans ses conférences, le député travailliste et ancien chef adjoint du parti, Denis Healey, membre du comité directeur depuis plus de 30 ans, a clairement exprimé ses intentions lorsqu’il a été interrogé par le journaliste Jon Ronson pour son livre Them en 2001.
“Dire que nous luttons pour un seul gouvernement mondial est exagéré, mais pas totalement faux”, a-t-il dit. “Ceux d’entre nous au Bilderberg avaient le sentiment que nous ne pouvions pas continuer à nous battre les uns contre les autres pour rien, tuer des gens et faire des millions de sans abris. Nous avons donc pensé qu’une seule communauté à travers le monde serait une bonne chose.”
D’autres politiciens britanniques notables ont accepté l’invitation du groupe, notamment les conservateurs Alec Douglas-Home et Peter Carrington – qui ont présidé le comité entre 1977 et 1980 et entre 1990 et 1998 respectivement – et Margaret Thatcher, David Owen, Tony Blair, Peter Mandelson, Ed Balls, Ken Clarke et George Osborne. Les princes Philippe et Charles ont également participé à la réunion.
Henry Kissinger est un habitué, tandis que Helmut Kohl, Bill Clinton, Bill Gates, Christine Lagarde et Jose Manuel Barroso ont tous participé aux réunions parmi les milliardaires et les dirigeants de grandes banques, d’entreprises et de grands noms de l’industrie de la défense. Peut-être plus surprenant encore, Michael O’Leary de Ryanair a assisté à l’événement de 2015 à Telfs-Buchen dans le Tyrol autrichien.
Plutôt qu’une organisation de type SPECTRE qui renforce ses intérêts en choisissant les présidents et en contrôlant l’opinion publique par le biais des médias, le Groupe Bilderberg n’est rien de plus sinistre qu’un “club dînatoire occasionnel”, selon David Aaronovitch, auteur de Voodoo Histories(2009).
Mais même si les Bilderberg Group ne sont pas les hommes lézards esclavagistes de David Icke avec des capuchons de soie, l’idée qu’ils pourraient être regroupés avec les Illuminati a fourni un dispositif d’occultation pratique, a dit la journaliste Hannah Borno.
“Les théories du complot ont bien servi le groupe, parce que tout examen sérieux pourrait être rejeté comme hystérique et criard”, a-t-elle dit. “Mais regardez la liste des participants. Ces gens ont libéré quelques jours de leur emploi du temps extrêmement chargé.”
Alex Jones a été l’un des partisans les plus bruyants au sujet de ces théories, déclarant à l’antenne : “Nous savons que vous êtes impitoyable. Nous savons que vous êtes mauvais. Nous respectons votre pouvoir obscur”.
Il est apparu à l’émission Sunday Politics d’Andrew Neil en 2013 pour discuter de la réunion du Bilderberg Group dans un hôtel de Watford, les décrivant comme des “marionnettistes au-dessus des grands partis” et insistant sur leur rôle dans la fondation de l’UE. “Un plan nazi”, selon M. Jones.
Plus récemment, il a participé à des camps de protestation, envoyé le commentateur d’InfoWars Owen Shroyer pour tenter de les envahir lors de leur rassemblement de 2017 à Chantilly, en Virginie, et les a accusés de comploter pour renverser le président américain Donald Trump.
Tout cela peut sembler alarmant, mais c’est assez léger au regard des normes de M. Jones. Il croit aussi que Barack Obama et Hillary Clinton sont des démons et que le Pentagone a une “bombe gay” top secrète.
Source: The Independent, le 2 juin 2018 – Traduction Nouvelordremondial.cc

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