11 juin 2011

Dysorthographies Au Collège0003-Références 7-15

RéfArt007 : ULIS
« Le seul élève ayant fait preuve de violence physique devant et envers moi (...) était un élève gravement dysorthographique, que j'avais essayé (...) d'orienter vers une ULIS. »

RéfArt008 : Essais éclairants sur l’école primaire
« J'ajoute, sur un plan plus théorique, la lecture d'essais éclairants sur l'école primaire, aussi bien d’ouvrages d'instituteurs, de professeurs que d'orthophonistes, de neurologues ou de pédiatres. J’en cite certains par la suite. »

RéfArt009 : Des symptômes de dyslexie ?
« En lisant les copies ci-dessus, certains ont peut-être remarqué des éléments tels que la lenteur à écrire, ainsi que des inversions de lettres, souvent reconnus comme des symptômes de dyslexie. C'est l’analyse du document officiel intitulé «Troubles scolaires des apprentissages », (...) mais le bon sens doit nous avertir : il n'y a pas 30 % de dyslexiques en France.

A/ Textes officiels sur le site de l’Anapedys

B/11 fiches sur les troubles des apprentissages (IEN de la circonscription de Moûtiers)
RéfArt010 : Vraie et fausse dyslexie
« 2) Nombreux sont les orthophonistes, submergés par ces vagues épidémiques, qui tentent, depuis des années, de nous alerter, notamment Colette Ouzilou, Ghislaine Wettstein-Badour, Brigitte Etienne, Michelle Sommer, Elisabeth Nuyts, etc. »

A/ Colette Ouzilou

B/ Ghislaine Wettstein-Badour

C/ Brigitte Etienne
a) Mémoires d’orthophonie sous la direction de Brigitte Etienne, à l’école d’orthophonie de Tours
b) Ecole d’orthophonie de Tours

D/ Michelle Sommer

E/ Elizabeth Nuyts

RéfArt011 : Colette Ouzilou, Dyslexie, vraie-fausse épidémie
« …affirme que les enfants qu'elle reçoit ne sont pas de vrais dyslexiques (ceux-ci représentent en réalité moins de 0,1 % de la population). En trente ans de pratique, elle a reçu des centaines de patients et 99 % d'entre eux, déclare-t-elle, sont conduits à consulter un orthophoniste parce qu'ils ont développé une fausse dyslexie provoquée par une méthode de lecture inadaptée, à savoir une méthode semi-globale, dite aussi mixte : ces enfants seraient donc simplement des élèves à qui on n'a pas explicitement ni suffisamment enseigné le code graphophonologique. »
A/ cf. RéfArt10A

RéfArt012 : Comparaison méthodes : Mémoire d’Emilie Bernard
L'orthophoniste Emilie Bernard qui, sous la direction de Brigitte Etienne, a rédigé un mémoire intitulé Apprentissage de la lecture au CP : Méthodes synthétiques (alphabétiques) versus méthodes mixtes, s’interroge légitimement : « Depuis les débuts de l'orthophonie, la méthode synthétique (alphabétique), est utilisée auprès des enfants en difficulté d'acquisition de la lecture. »

RéfArt013 : Comparaison Méthodes : Mémoires de Rancourt-Piernaz et Houvenaeghel
« Le mémoire en question ainsi que deux autres à sa suite (ceux de Houvenaeghel, de Rancourt-Piernaz, tous disponibles sur internet) comparent les résultats entre différentes classes, les unes apprenant à lire et à écrire en méthode mixte, les autres en méthode alphabétique ; ces trois mémoires (ainsi que d’autres encore inédits) généralisent le constat et montrent sans ambiguïté possible que, pour des élèves de niveaux comparables et ce dans tous les domaines - langage oral, écriture, lecture - les résultats sont nettement meilleurs, avec une méthode alphabétique. »

RéfArt014 : Jean Foucambert
« Seul argument en faveur de la méthode mixte : l’accès au sens que faciliterait le mixte au détriment des méthodes alphabétiques dont le « laborieux déchiffrage » façonnerait des élèves « déchiffreurs » mais non « lecteurs », selon les accusations de Jean Foucambert. Or, ces recherches récentes en orthophonie montrent clairement que, même pour ce qui est de la compréhension de texte (résumé d’histoire, questions sur les personnages, sur la signification des détails du texte, etc.), les élèves qui ont appris à lire avec des méthodes alphabétiques ont des résultats nettement supérieurs à ceux qui ont appris avec une méthode mixte. »

RéfArt015 : Méthodes de lecture dites « alphabétiques »
Ce n’est pas un hasard si des orthophonistes participent de plus en plus, en partenariat avec des instituteurs, à la rédaction des méthodes de lecture alphabétiques, par exemple : J'apprends à lire avec Samie et Julie, la méthode Delile, la Méthode de lecture de la Librairie des écoles, Lire avec Léo et Léa, etc.

à association lire-ecrire : Liste des manuels présentés

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