Méthode de lecture Cours Préparatoire :
Je saurai lire vite et bien
Commentaire Amazon :Par netowines
5.0 étoiles sur 5
Un livre parfait pour apprendre a lire simplement et efficacement, 12 septembre 2011
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Commentaires sur Neoprofs (sujet :
Alphabétique, syllabique, globale, mixte... : le classement des manuels de lecture pour apprendre à lire aux enfants
Sapotille a écrit:C'était ça que j'ai vu dans une famille amie : 7 enfants et tous apprennent à lire à la maison avant d'entrer au CP avec la maman qui était autrefois cheftaine de Jeannette !!!
Al a écrit:Non, ce n'est pas ça... La couverture était entièrement rose, les dessins ressemblaient à ceux de la méthode Boscher. Je ne crois pas qu'il y avait des personnages récurrents.
Mowgli a écrit: Rémi et Colette ?Al a écrit:Mon petit frère a officiellement appris à lire avec Gafi. Il trouvait à l'époque les histoires de Gafi idiotes.
Officieusement il a appris à lire avec une méthode dont je ne me rappelle plus le nom: c'était un livre à couverture rose, avec des dessins typés années 50 je dirais, utilisant une méthode syllabique... Cela vous dit quelque chose?
On commençait par les voyelles, je me rappelle une image avec les 7 nains (pas ceux de Disney).
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AVANT-PROPOS
J’ai toujours pensé et je suppose
que tous les maîtres qui ont la charge d’une petite classe pensent comme moi qu’un enfant qui vient
pour la première fois à l’école,
tout désemparé, le cœur gros d’avoir quitté les siens, ne devrait pas être mis
d’emblée devant les difficultés de la lecture. Il faut l’apprivoiser, lui
donner confiance, lui faire aimer l’école, mais hélas l’année scolaire est
courte et il ne s’agit pas de perdre des heures précieuses. Il faut donc amuser
l’enfant, tout en lui apprenant à lire. Voilà pourquoi cette méthode débute par
un conte inspiré de Blanche-Neige, de
Grimm, mais expurgé de tout ce qui en fait par moments une histoire granguignolesque
(sorcière, poison). C’est en vivant ce conte que les enfants feront leurs
premiers pas en lecture sans s’en douter le moins du monde. Pour eux, ils n’auront
pas appris a-e-i-o-u-é en tant qu’éléments de lecture mais simplement en tant
que sons traduisant les sentiments ou attitudes des nains de Blanche-Neige ou
de leurs animaux familiers.
Durant cet apprentissage facile et
joyeux, l’enfant aura le temps de se familiariser avec son école, il sera
confiant et pourra aborder alors les réelles difficultés de la lecture.
De la méthode traditionnelle j’ai voulu conserver les
avantages incontestables d’une progression rigoureuse, permettant de graduer
les efforts de l’enfant et d’acquérir une base extrêmement sérieuse de l’orthographe.
J’ai cependant voulu rénover cette méthode en lui donnant
un départ nouveau, inédit, en apprenant les voyelles et certaines consonnes, «
isolées ».
Pourquoi l’ai-je fait ? Pour deux
raisons :
1° Parce que j’ai constaté
moi-même qu’extraire une voyelle d’un mot était déjà pour l’enfant un travail
ardu. Pour lui le graphisme du mot entier est lié à l’image qu’on lui soumet. C’est
donc ce premier obstacle sur lequel l’enfant bute que j’ai voulu à tout prix
supprimer.
En lui proposant les voyelles et consonnes « isolées »
apprises sous forme d’onomatopées, je crois avoir réussi.
2° Parce que prendre à la
méthode traditionnelle ce qu’elle a de meilleur ne suffit pas, il faut essayer
de lui apporter ce qui lui manque presque toujours, c’est-à-dire l’unité d’un
thème attrayant au départ, allié à la gaieté d’une illustration abondante et
esthétique afin d’en faire une méthode à la fois efficiente par la sûreté de
ses procédés et moderne par sa nouvelle conception au départ.
Je pense que ce livre sera un
précieux auxiliaire pour le maître chargé d’une classe nombreuse ou unique,
grâce aux jeux de lecture abondants et inédits facilement contrôlables, aux
nombreuses pages de révision ainsi qu’aux dessins faciles à reproduire et aux
copies journalières.
DIRECTIVES PÉDAGOGIQUES
Le conte de Blanche-Neige adapté à la
méthode et sur lequel le maître se basera pour l’apprentissage
des voyelles est imprimé au début du livre. Le maître le lira et le commentera
fragment par fragment.
I – Etude des voyelles et des consonnes
I° Acquisition des voyelles.
Que fait la pauvre Blanche-Neige
abandonnée ? Elle pleure : i - i.
Que dit-elle lorsqu’elle aperçoit la jolie chaumière ?
Elle dit : o la jolie... (faire remarquer le o formé par les lèvres).
Que dit le petit nain dans la mine
pour se donner du courage (faire le geste) ? Il dit : e e.
Que chantent les nains en sortant de
la mine (insister sur le é) ? Ils chantent : éo - éo.
Que dit Blanche-Neige aux petits
nains malpropres (geste de la main) ? Elle dit : a a a.
Que disent les nains poursuivant la
sorcière ? Ils disent : u u - u.
2° Acquisition des consonnes clés.
Thème : occupations journalières des
nains.
p – t – r – s –
n – m – c – f. Cette acquisition n’est autre que la
retenue d’onomatopées traduisant un geste ou un son ou un cri d’animal.
CONSEIL. — Pour le p et le t faire le geste de jouer du tambour et de la trompette.
Cette étude des voyelles et des consonnes clés, amusante
et tout à fait à la portée des enfants, même les moins doués, leur fait acquérir
sans effort les éléments qui leur permettront de former les sons par
assemblages.
II – Premiers assemblages
Cette étude doit être entièrement dirigée et contrôlée
par le maître. Elle se fera en trois étapes distinctes :
1° Acquisition auditive.
Le maître habitue petit à petit l’enfant à associer deux
lettres apprises séparément. Exemple : r – a.
Le maître montre les deux lettres écartées, ensuite il
les rapproche et habitue l’enfant à les prononcer l’une à la suite de l’autre
très vite mais dans aucun cas il ne doit faire dire : r - a - ra. L’enfant doit
dire ra directement.
On peut employer le système des grandes lettres mobiles.
Les voyelles venant se poser à côté d’une consonne ou une consonne se posant
devant toutes les voyelles.
Ensuite le maître dira par exemple : fo et l’enfant devra
trouver quelles lettres forment cet assemblage et dans l’ordre.
2° Acquisition visuelle.
L’enfant devra reconnaître n’importe quel assemblage écrit au tableau. Il
le formera lui-même à l’aide de petites lettres mobiles.
3° Acquisition écrite.
Cette acquisition n’est que le
contrôle des deux autres et un entraînement à l’orthographe.
Pour la seconde série d’assemblages prévue dans la
méthode, employer le même processus.
III – Les mots
Après cette étude assez ardue mais
absolument indispensable des assemblages, l’enfant arrive au domaine des « mots
». Ravi, il s’aperçoit que tous les enfants des pages 19 et 20 ont un nom et
que ce nom il peut le lire et l’écrire.
Pour cette lecture, deux procédés s’offriront au maître
selon son tempérament. Il pourra lire le mot globalement et en reconnaître les
éléments ou bien partir des éléments pour composer le mot.
IV - Etude des consonnes complémentaires et des sons
L’enfant est familiarisé avec les sons appris ; il pourra
facilement dans un mot proposé découvrir le son nouveau et en extraire la
nouvelle lettre.
Jeux de lecture.
A partir de la page 34 les jeux de
lecture sont changés.
Ces jeux se prêtent à plusieurs
interprétations graduées par difficultés.
1° Lecture collective et
reconnaissance du dessin correspondant.
2° Lecture individuelle [par numéro si le
maître dispose de peu de temps; l’un lira le n° 7 (noir) l’autre le n° 5
(rouge)].
3° Chaque enfant aura une série d’étiquettes
noires et rouges de (1 à 7).
Il prend par exemple l’étiquette 6 (noire) ; il recherche ce 6 noir dans
les numéros; lorsqu’il l’a trouvé il lit la phrase correspondante et place le
numéro sur le dessin qui convient.
Ce jeu force l’enfant à lire lui-même, à comprendre ce qu’il
lit, ce qui lui permet de jouer le jeu. Il occupera efficacement les petits du
cours préparatoire pendant que le maître sera occupé avec les autres.
4° Initiation à l’orthographe. En cachant la partie
écrite l’enfant devra écrire lui-même le nom de l’objet dessiné.
La méthode se terminera par la lecture du conte initial
qui sanctionnera ainsi pour l’enfant l’effort accompli durant toute l’année
scolaire.
Conte de Blanche-Neige
Il y avait une fois une jolie petite
fille nommée Blanche-Neige qui vivait avec son papa et sa maman dans un très beau château au milieu des
grands bois. Elle était très jolie cette petite fille et surtout très bonne ;
grands seigneurs, valets, servantes tous l’aimaient cette mignonne enfant.
Mais vint l’hiver et le froid, la
forêt se couvrit de neige, le vent souffla dans les grands couloirs du château
et un jour la maman de Blanche- Neige prit froid ; elle toussa très fort, eut
de la fièvre ; elle se coucha dans son grand lit et on eut beau la soigner, lui
donner des tisanes, elle mourut. La pauvre petite Blanche-Neige n’avait plus de
maman.
Alors le papa s’ennuya très fort
tout seul dans son Château et un beau jour il y ramena une nouvelle femme. Elle
aurait dû comme tout le monde aimer Blanche-Neige si mignonne et si jolie, mais
hélas ! c’était une très méchante femme, jalouse ; elle se mit à détester la
pauvre petite fille et un jour elle dit à un de ses valets : « Je ne veux plus
la voir, je ne veux plus la voir. emmène-la très loin dans la forêt, là où il n’y
a ni chemin, ni sentier, abandonne-la et reviens seul ou gare à toi. »
Et c’est ainsi qu’un beau matin de
printemps Blanche-Neige partit à cheval avec le valet, persuadée qu’elle allait
faire une belle promenade en forêt. Ils allèrent ainsi loin, très loin ; il
faisait beau, le ciel était bleu, le soleil brillait, les arbres avaient tous
revêtu leur parure de printemps, les oiseaux gazouillaient en bâtissant leurs
nids. Vers le soir, Blanche-Neige s’éloigna un peu pour cueillir les jolies
clochettes du muguet, le valet en profita et tout doucement rejoignit le cheval
attaché a un arbre et galopa très vite vers le château. Quand Blanche-.Neige se
vit seule, elle eut très peur; elle appela le valet mais en vain, personne ne
répondit ; elle essaya de trouver son chemin mais la forêt était tellement
grande ! Alors la pauvre petite se coucha à terre sur la mousse et se mit a
pleurer : i - i - i, comme tous les petits enfants.
La forêt paraissait silencieuse et
inhabitée : cependant que de paires d’yeux regardaient la mignonne enfant. C’était
Vif-Argent l’Ecureuil là-haut sur son arbre. C’était Jeannot Lapin sortant de
son terrier, c’était la douce biche et son faon et les souris des champs et
tous les oisillons.
-
Qu’as-tu ? demanda l’écureuil curieux.
- Tu es perdue ? dit le lapin.
- Dis-nous pourquoi tu pleures ?
dit la douce biche.
Alors Blanche- Neige se releva, essuya
ses yeux, sourit, raconta à ses nouveaux amis sa triste aventure et leur dit
combien elle serait heureuse de rester avec eux.
Mais où pourrait-elle habiter ? Pas
dans le terrier du lapin, ni dans le nid de l’écureuil, ni sous les
broussailles avec la biche ! C’est alors qu’un joyeux petit moineau vint
chantonner à l’oreille de la biche et celle-ci toute joyeuse dit à
Blanche-Neige « Suis-moi et je vais te conduire dans un endroit où tu seras
très bien. »
Joyeusement Blanche-Neige suivit la
biche, escortée des petits lapins, des écureuils curieux et de tous les
oisillons de la forêt et elle arriva dans une jolie clairière. Et dans cette
clairière que vit-elle ? Une adorable petite maison, si jolie, si jolie, que
Blanche-Neige dit en la voyant : « Ô la jolie maison ! »
- C’est la maison des sept nains, dit la biche, tu peux entrer, ils sont très
gentils et seront heureux de te garder avec eux.
Blanche-Neige entra dans la toute
petite maison ; il n’y avait personne, mais elle vit qu’en effet elle serait
bien utile aux sept petits nains car leur ménage n’était pas bien tenu du tout
: la vaisselle n’était pas faite, le plancher pas balayé, les chaussettes
trouées !
- Allons, allons, dit-elle à ses amis les
bêtes, mettons-nous vite à l’ouvrage, nous n’avons pas de temps à perdre si
nous voulons nettoyer la maison avant l’arrivée des sept petits nains.
Mais où étaient-ils donc ces sept petits
nains?
Eh bien ! ils travaillaient non loin de là, sous la
terre, dans une mine qui contenait des pierres précieuses. Ils avaient chacun
un pic et chaque fois qu’ils cognaient la terre pour détacher les blocs ils
disaient : e - e pour se donner du courage.
La journée finie, les sept petits
nains se réunissaient et le pic sur l’épaule, les uns derrière les autres, ils
rejoignaient leur maisonnette en chantant : « é - o, é - o. nous sommes les
joyeux nains, les petits nains de la forêt, é - o, é - o. »
Ce soir-là ils arrivèrent comme d’habitude à la
maisonnette ; ils virent de la fumée sortir de la cheminée, la porte ouverte
laissait passer une bonne odeur de soupe aux pois et une joyeuse chanson
semblait venir de chez eux !
Tout craintifs ils n’osaient
approcher lorsqu’ils virent sortir une adorable petite fille qui leur souriait
en leur disant : « Venez vite, chers petits nains, la soupe est servie ! »
En effet, dans la maison bien
nettoyée et fleurie ils virent leurs sept assiettes bien remplies et un beau
gâteau sur le milieu de la table. Ils regardèrent Blanche-Neige n’osant en
croire leurs yeux, mais celle-ci leur demanda gentiment si cela leur plaisait
de la garder toujours avec eux.
Vous devinez avec quelle joie les petits nains
répondirent oui et à partir de ce jour ce fut la joie dans la petite maison de
la forêt.
Ils étaient très gentils ces petits
nains, mais ils avaient un défaut, un gros défaut : ils n’aimaient pas l’eau ni
le savon et Blanche-Neige, voyant les petites mains sales, grondait très fort «
a - a - a, vilains petits malpropres, allez vous laver sans cela pas de gâteau.
» Au bout d’un certain temps tous les petits nains avaient pris l’habitude de
se laver les mains comme il faut et tout le monde était heureux.
Mais un jour que Blanche-Neige,
restée seule à la maison, préparait en chantant une belle tarte aux pommes, vint à passer une très
vieille femme laide, édentée et noire comme un corbeau mais qui paraissait fatiguée. N’écoutant que son
bon cœur, Blanche-Neige l’invita à entrer dans la maison se reposer un peu. La
vieille regarda longuement Blanche-Neige et tout à coup lui dit en ricanant : «
Mais je te reconnais ma belle, tu es Blanche-Neige : tout le monde te
croit morte et tu es là! ah! ah! ah! quand ta belle-mère connaîtra ta retraite
elle saura bien te retrouver.
-
Oh! madame, supplia Blanche-Neige, ne dites à personne que je suis ici, je suis
si heureuse ! »
Alors la vieille ricana de plus
belle et dit : « Crois-tu que je vais perdre une si belle occasion ; lorsque je
vais dire à ta belle-mère que tu n’es pas morte et que je sais où tu es elle me
donnera de l’or ? beaucoup d’or pour que je lui indique l’endroit : ah!
ah! ah! au revoir la belle. »
Et la vieille reprit son bâton et partit. La pauvre Blanche-Neige se mit à pleurer
très fort, mais le gentil moineau qui ne quittait pas la maison avait tout vu
et entendu. Il partit à tire d’aile prévenir les sept nains et tout le long du
trajet il appela les biches, les cerfs, les chevreuils. Aussi, dès que les
nains apprirent la nouvelle, ils n’eurent plus qu’à monter sur le dos des
bonnes bêtes de la forêt et pour les encourager à aller plus vite, ils criaient
« u - u, droit sur la sorcière, u - u ».
Tout à coup ils l’aperçurent qui longeait le précipice :
« la voilà, la voilà, u - u sur la sorcière ». En les apercevant elle eut très
peur, voulut courir, mais elle trébucha sur un caillou, perdit l’équilibre et tomba
tout au fond du précipice.
Alors les sept petits nains
revinrent à la maisonnette où Blanche-Neige continuait à pleurer. « Ne pleure
plus petite Blanche-Neige, dirent-ils, la vilaine vieille n’ira pas dire que tu
vis avec nous, elle est là-bas, tout au fond du précipice la méchante, la
mauvaise créature. » Alors Blanche-Neige essuya ses yeux, prit les petits nains
par la main et tous ensemble ils se mirent à danser la ronde la plus joyeuse
que la forêt eût jamais vue.
C'est drôle, c'est avec cette méthode que j'ai appris à lire.
RépondreSupprimerHello Charivari,
RépondreSupprimerBah alors, tu ne dois que déchiffrer et ne pas comprendre ce que tu lis, car c'est une méthode syllabique, et une des pires, en plus. ;-)
Tu as appris avec cette méthode en classe ou à la maison ?
La méthode est encore en vente sur Amazon, mais comme la dernière impression date de 2003, j'ai bien peur que ce ne soit vraiment la dernière s'il n'y a pas plus d'amateur, d'où cet article publicitaire.
Moi, je trouve ce syllabaire assez bien fait. Proche des Alphas par la façon de commencer. Voyelles et consonnes d'abord (avec l'aide d'une histoire et d'une scénario pour mémoriser chaque couple lettre-son), puis seulement après, combinatoire. Avec d'autres manuels de lecture alphabétiques, la combinatoire commence avec la première consonne étudiée. Là, on étudie les voyelles et ... 8 consonnes.
Il peut faire concurrence à Boscher, par exemple, même si j'ai un faible pour Boscher parmi les vieux manuels (je crois que c'est à cause des illustrations qui sont très riches et qui peuvent faire facilement l'objet d'un exercice de langage : vocabulaire, syntaxe, prononciation).
c'est ma grand-mère Anita DECATOIRE née FOLINAIS ( elle a eu un prix pour cela : voir ici : http://www.mdf22.fr/portraits/women.php?femmes=20 )
RépondreSupprimerqui est l'auteur de ce livre : dans quelle mesure est-il autorisé de le scanner et de la publier sur internet ? et les droits ? ma tante qui est co auteur vit encore !
cordialement
maeva tual decatoire