*
La liberté pédagogique est la liberté individuelle donnée aux enseignants dans les méthodes et la manière de traiter le programme. Un point c’est tout. Il y a donc deux conditions pour que l’on puisse parler de liberté pédagogique :
La liberté pédagogique est la liberté individuelle donnée aux enseignants dans les méthodes et la manière de traiter le programme. Un point c’est tout. Il y a donc deux conditions pour que l’on puisse parler de liberté pédagogique :
- que les programmes non pas d’une classe dans une matière mais dans toutes les classes pour toutes les matières soient véritablement des programmes d’instruction dont on maîtrise aussi bien la cohérence verticale - par matière - que horizontale – interdisciplinaire -.
- que les enseignants soient suffisamment formés pour l’interpréter.
Aucune de ces deux conditions n’est, au sens général, actuellement remplie.
**
La liberté pédagogique n’a donc qu’un sens : la liberté absolue de l’enseignant devant sa classe d’utiliser tout ce qu’il estime nécessaire pour enseigner les connaissances définies dans les programmes et le plan d’études. La condition de sa mise en œuvre est une bonne connaissance des disciplines enseignées, c'est-à-dire d’un niveau bien supérieur à celui du niveau d’enseignement donné, ce que garantissait par exemple la possession du diplôme du brevet supérieur que seuls de fort rare bacheliers seraient capables d’obtenir maintenant.
Actuellement, on ne peut se réclamer de la liberté pédagogique qu'en tant que principe de reconstruction de l'école car la situation actuelle ne permet pas de lui donner le sens défini ci-dessus pour deux raisons fondamentales :
La liberté pédagogique n’a donc qu’un sens : la liberté absolue de l’enseignant devant sa classe d’utiliser tout ce qu’il estime nécessaire pour enseigner les connaissances définies dans les programmes et le plan d’études. La condition de sa mise en œuvre est une bonne connaissance des disciplines enseignées, c'est-à-dire d’un niveau bien supérieur à celui du niveau d’enseignement donné, ce que garantissait par exemple la possession du diplôme du brevet supérieur que seuls de fort rare bacheliers seraient capables d’obtenir maintenant.
Actuellement, on ne peut se réclamer de la liberté pédagogique qu'en tant que principe de reconstruction de l'école car la situation actuelle ne permet pas de lui donner le sens défini ci-dessus pour deux raisons fondamentales :
- les programmes sont déplorables […]
- dans la loi Fillon, il n’y a de
liberté pédagogique de l’enseignant que le nom, puisqu’elle est soumise à
l’approbation de divers comités pédagogiques
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Aidez-moi à améliorer l'article par vos remarques, critiques, suggestions... Merci beaucoup.