Crépuscule sur la « cause palestinienne »
Des reportages effectués en Cisjordanie après la guerre des Six Jours montrent que les Arabes interrogés se définissent comme des « Arabes » ou des « Jordaniens » et ne savent pas encore qu'ils sont « le peuple palestinien ». Depuis lors, on le leur a appris. On leur a également appris que leur devoir est de « libérer la Palestine » en tuant des Juifs. Les Palestiniens sont le premier peuple inventé pour servir d'arme de destruction massive contre un autre peuple.- « Le peuple palestinien n'existe pas. La création d'un Etat palestinien n'est qu'un moyen de poursuivre notre lutte contre l'Etat d'Israël pour l'unité arabe. En réalité, il n'y a pas de différence entre Jordaniens, Palestiniens, Syriens et Libanais. » - Zuheir Mohsen, dirigeant de l'OLP, interview donnée au journal néerlandais Trouw, mars 1977.
- Depuis l'effondrement de l'Union soviétique, l'Union européenne est devenue le principal financier de la « cause palestinienne », terrorisme compris. L'Union Européenne contribue à la guerre.
- L'Iran, immensément renforcé par l'accord passé en juillet 2015 et par les moyens financiers américains massifs qui lui ont été accordés alors, manifeste sa volonté de devenir la puissance hégémonique du Moyen-Orient.
- Le grand mufti d'Arabie saoudite, Cheikh Abdulaziz ibn Abdallah Al-Sheikh, a récemment émis une fatwa disant que « combattre les Juifs » est « contraire à la volonté » d'Allah et que le Hamas est une organisation terroriste.
Pendant de nombreuses années, « la Palestine » n'a cessé de monter vers de nouveaux sommets au sein de la soi-disant « communauté internationale ». La « Palestine » est présente aux Jeux Olympiques depuis 1996 et elle est devenue « observateur permanent » à l'UNESCO et aux Nations Unies. La grande majorité des 95 « ambassades » et délégations de « Palestine » sont dans le monde musulman; mais beaucoup d'autres sont en Asie, en Afrique, en Amérique latine et en Europe. En 2014, le Parlement espagnol a voté en faveur de la pleine reconnaissance de la « Palestine ». Quelques semaines plus tard, le Parlement français a fait la même chose.
Il n'y a pas d'autre exemple dans l'histoire du monde où un État qui n'existe pas peut disposer d'ambassades et de délégations censées fonctionner comme si cet État existait.
Le moment est sans doute venu pour les « Palestiniens » de se rendre compte qu'ils ont perdu et de retomber sur terre, comme l'a écrit voici peu le chercheur Daniel Pipes.
Les dirigeants « palestiniens » ont-ils montré par leurs discours et actions qu'ils étaient prêts à gouverner un Etat en paix avec leurs voisins et avec le reste du monde? Tous les dirigeants « palestiniens » incitent constamment au terrorisme et ne cachent pas leur désir d'effacer Israël de la carte du monde.
Le « peuple palestinien » aspire-t-il depuis longtemps à avoir un État et à vivre paisiblement dans cet État? La réponse est non. Le « peuple palestinien » a été inventé à la fin des années 1960 par les services de propagande arabes et soviétiques. Comme le disait le chef de l'OLP Zuheir Mohsen au journal néerlandais Trouw en mars 1977:
« Le peuple palestinien n'existe pas. La création d'un Etat palestinien n'est qu'un moyen de poursuivre notre lutte contre l'Etat d'Israël pour l'unité arabe. En réalité, il n'y a pas de différence entre Jordaniens, Palestiniens, Syriens et Libanais ».
Des reportages effectués en Cisjordanie après la guerre des Six Jours montrent que les Arabes interrogés se définissent comme des « Arabes » ou des « Jordaniens », et ne savent pas encore qu'ils sont « le peuple palestinien ». Depuis lors, on le leur a appris. On leur a également appris que leur devoir est de « libérer la Palestine » en tuant des Juifs. Les Palestiniens sont le premier peuple inventé pour servir d'arme de destruction massive contre un autre peuple.
Yasser Arafat, président de l'OLP, au sommet de la Ligue arabe à Rabat, au Maroc, en 1974. (Photo Hulton Archive / Getty Images)
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Y a-t-il au moins un passé historique qui donne une légitimité à l'aspiration à créer un « Etat palestinien »? La réponse est non, encore. Il n'y a pas de culture palestinienne distincte des cultures du monde arabe musulman ; aucun monument ne peut être défini comme un monument historique « palestinien », sauf si on falsifie l'histoire.
Plus fondamentalement, un « État palestinien » hypothétique serait-il économiquement viable? La réponse est non, encore une fois. Les territoires occupés par les mouvements palestiniens ne survivent que grâce à l'aide financièrede l'Occident.
Comment, dès lors, tant de pays peuvent-ils vouloir créer un Etat dont les dirigeants seraient vraisemblablement les dirigeants « palestiniens » actuels, dont les habitants seraient utilisés comme des machines à tuer, dont l'histoire est inexistante ou falsifiée, et dont le potentiel économique est nul?
La réponse est simple.
Derrière le soutien à la création d'un « Etat palestinien », les pays concernés poursuivent d'autres objectifs.
Pendant des décennies, les pays du monde musulman n'ont voulu obsessionnellement qu'une seule chose: la destruction d'Israël.
Ils ont tenté d'atteindre leur objectif par la guerre conventionnelle, puis par le terrorisme, puis par la diplomatie et par la propagande. Ils blâment Israël pour tous les maux du Moyen-Orient.
Ils n'ont cessé de savoir qui sont les dirigeants « palestiniens » et ce qu'ils font. Ils n'ont cessé de savoir que le « peuple palestinien » a été inventé. Ils n'ont cessé de savoir pourquoi le peuple « palestinien » a été inventé. Ils n'ont cessé de savoir qu'un « Etat palestinien » n'aurait pas une économie viable. Ils suivent une stratégie de déstabilisation et de diabolisation d'une nation non-musulmane, Israël.
Ils appellent les Palestiniens « victimes »; le terrorisme, « activisme »; et les incitations à tuer, « résistance à l'occupation ». Ils piétinent l'histoire légitime et la remplacent par le mythe.
Ils pressent les dirigeants « palestiniens » de « négocier », sachant parfaitement qu'aucun accord ne sera jamais signé et que les négociations se termineront par un bain de sang.
Ils proposent des « plans de paix » qu'Israël ne peut que rejeter - ceux qui incluent les lignes d'armistice de 1949, dites « frontières d'Auschwitz, » ou le « droit au retour » des « réfugiés palestiniens », ces gens qui étaient un demi-million en 1949, mais sont près de cinq millions aujourd'hui.
Ils reconnaissent un « État palestinien », en sachant que « l'État » qu'ils reconnaissent n'est pas un État, mais une entité terroriste sans frontières ni territoire définis, et imprégnée d'une volonté de répandre davantage de sang et de créer davantage de chaos.
Ils s'appuient sur le désordre, le chantage et les mensonges aux fins d'encourager le reste du monde à penser que la situation exige une intervention internationale drastique.
Ils disent qu'ils veulent un « Etat palestinien », mais n'ont jamais dit qu'ils veulent que cet Etat renonce au terrorisme et mette fin au conflit.
Ils mènent une guerre vicieuse qu'ils ont longtemps espéré gagner.
Pendant plus de trente ans, ils ont bénéficié du soutien de l'Union soviétique. Celle-ci a financé des guerres (1967, 1973), le terrorisme, la diplomatie et la propagande. Elle a fait de la « cause palestinienne » une cause « anti-impérialiste» – et un moyen de renforcer les positions soviétiques et de galvaniser les ennemis de l'Occident. L'Union Soviétique s'est effondrée en 1991, mais les effets de son soutien à la « cause palestinienne » sont restés. De nombreux pays hostiles à l'Occident continuent de soutenir les « Palestiniens et reconnaissent un « État palestinien » en prétendant ignorer qu'ils reconnaissent une entité terroriste. Ils contribuent à la guerre.
Les pays du monde occidental, soumis aux pressions du monde musulman et de l'Union soviétique depuis de nombreuses années, ont progressivement cédé, certains avant même que des pressions ne soient exercées.
La France a choisi son camp dès 1967, lorsque, après la défaite française en Algérie, le général de Gaulle a lancé ce qu'il a appelé une « politique arabe ». La politique étrangère française est devenue résolument « pro-palestinienne » – aux fins d'éviter le terrorisme, d'obtenir du pétrole bon marché et de rivaliser avec les États-Unis - et elle l'est restée jusqu'à ce jour. Les pays d'Europe occidentale ont progressivement adopté des positions proches de celles de la France. Depuis l'effondrement de l'Union soviétique, l'Union européenne est devenue le principal financier de la « cause palestinienne », terrorisme compris. Les dirigeants d'Europe occidentale savent quels sont les véritables objectifs des « Palestiniens », mais ils répètent sans répit que la création d'un « État palestinien » est « essentielle ». Ils contribuent eux aussi à la guerre.
Bien qu'étant un allié de longue date d'Israël, les États-Unis ont modifié leur politique au Moyen-Orient au début des années 1990, et adopté alors des positions plus proches de celles du monde musulman. Politiciens et diplomates américains ont fait pression sur les Israéliens pour qu'ils négocient avec les dirigeants « palestiniens » et ont semblé perdre de vue ce qu'est la « cause palestinienne ». Des dirigeants israéliens pleins d'espoir ont accepté de négocier. Le résultat tragique a été les Accords d'Oslo et la création de l'Autorité palestinienne (AP). Celle-ci est rapidement devenue une base de terrorisme anti-israélien. Une vague d'attaques meurtrières a immédiatement commencé, accompagnée d'une offensive diplomatique et de propagande anti-israélienne intense. Une « solution à deux états » a été invoquée. Les dirigeants américains, comme s'ils avaient dormi pendant plusieurs années, ont commencé à dire qu'un « Etat palestinien » devait naitre. Trois présidents américains ont proposé des « plans de paix », et contribué également à la guerre.
Un « plan de paix » supplémentaire devrait être annoncé prochainement, mais les paramètres seront très différents. Le Président Donald Trump semble vouloir rompre avec le passé.
Il a récemment déclaré au dirigeant palestinien Mahmoud Abbas que les dirigeants « palestiniens » étaient des menteurs. Aucun des négociateurs américains qu'il a choisi ne semble avoir la moindre illusion sur le leadership « palestinien » ou sur la « cause palestinienne ».
Le Taylor Force Act, adopté le 5 décembre par la Chambre des représentants américaine, prévoit de conditionner l'aide américaine à la « Cisjordanie et à Gaza » aux « mesures prises par l'Autorité palestinienne pour mettre fin à la violence et au terrorisme contre les citoyens israéliens »; la loi pourrait être adoptée bientôt par le Sénat. L'AP a rejeté toutes les exigences inhérentes à la loi.
Le monde musulman est également en train de changer. L'Iran, immensément renforcé par l'accord passé en juillet 2015 et par les moyens financiers américains massifs qui lui ont été accordés alors, manifeste sa volonté de devenir la puissance hégémonique du Moyen-Orient.
Le régime des mollahs tient maintenant trois capitales arabes en supplément de Téhéran: Bagdad, Damas et Beyrouth. L'Iran attaque l'Arabie Saoudite et soutient la guerre menée par la milice Houthi au Yémen; il veut s'emparer de Sanaa et prendre le contrôle de Bab El Mandeb, porte d'entrée de la mer Rouge et du canal de Suez. Le Qatar et la Turquie ont établi des liens étroits avec l'Iran.
Les dirigeants saoudiens discernent le danger. Le roi Salman a choisi son fils, Mohamed ben Salman, comme héritier du trône, et lui a donné de larges pouvoirs. « MBS », son surnom, semble vouloir mener une véritable révolution. Sur le plan militaire, il a pris la tête de la « Coalition militaire islamique antiterroriste », composée de 40 membres, et a déclaré son désir d'en « finir avec le terrorisme ». Economiquement, il est en charge d'un ambitieux projet de réforme visant à rendre son pays moins dépendant du pétrole: Saudi Vision 2030. Tous les dirigeants saoudiens en désaccord avec les nouvelles orientations du pays ont été arrêtés, et leurs biens confisqués. Mohamed ben Salman a désigné l'Iran comme l'ennemi principal, et a récemment décrit son guide suprême, Ali Khamenei, comme un « nouvel Hitler ». Le Qatar et la Turquie ont été soumis à d'intenses pressions saoudiennes destinées à les pousser à s'éloigner du régime iranien. Le grand mufti d'Arabie saoudite, Cheikh Abdulaziz ibn Abdallah Al-Sheikh, a récemment émis une fatwa disant que « combattre les Juifs » est « contraire à la volonté » d'Allah, et que le Hamas est une organisation terroriste.
Mohamed ben Salman a le soutien de l'administration Trump; de Vladimir Poutine qui, bien qu'allié à l'Iran, semble vouloir un équilibre des forces au Moyen-Orient, et Xi Jinping, qui fait face au risque d'un soulèvement islamique sunnite au Xinjiang, territoire autonome de la Chine.
Le dirigeant « palestinien » Mahmoud Abbas a été convoqué à Riyad, et le roi Salman et Mohammed bin Salman lui ont dit qu'il devait accepter le plan proposé par l'administration Trump ou démissionner, et qu'il serait « risqué » pour lui d'envisager de susciter un soulèvement – ce qu'il a fait néanmoins.
Au mois d'octobre, le président égyptien Abdel Fattah al-Sisi, un proche allié de Mohamed bin Salman, a invité les dirigeants de l'Autorité palestinienne et du Hamas à se rendre au Caire pour une « réconciliation ». Il a demandé que le contrôle de la bande de Gaza soit confié à l'Autorité palestinienne. Il semble que l'administration Trump et le Président Sissi ont dit aux dirigeants du Hamas qu'ils devaient approuver les termes de l'accord de « réconciliation » et que s'ils menaient des attaques contre Israël, ils risquaient une destruction complète.
Le « plan de paix » que va présenter l'administration Trump provoque l'extrême colère des dirigeants « palestiniens ». L'objectif du « plan » parait être de relancer le « processus de paix » de manière ouverte, de façon à ce que l'Arabie saoudite et les membres de la Coalition militaire islamique antiterroriste puissent se rapprocher d'Israël, et laisser de côté la « cause palestinienne ».
Le 19 novembre, une réunion d'urgence de la Ligue arabe s'est tenue au Caire et a fermement condamné le Hezbollah et l'Iran. Pour la première fois en cinquante ans, une réunion de la Ligue arabe n'a pas même évoqué la question « palestinienne ».
La reconnaissance de Jérusalem comme capitale d'Israël par le président Trump, le 6 décembre, a suscité l'agitation et l'acrimonie dans le monde musulman et chez les dirigeants d'Europe occidentale. Les dirigeants sunnites alliés de l'Arabie saoudite et ceux de l'Arabie Saoudite elle-même sont trop préoccupés par la menace iranienne pour se quereller avec Israël, les États-Unis ou qui que ce soit d 'autre. L'Europe occidentale, elle, n'a presque aucun poids dans ce qui se dessine, et montre juste sa lâcheté, sa peur et son mépris incessant envers une autre démocratie occidentale: Israël.
Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, qui est maintenant dans la douzième année de son mandat de quatre ans - voyant qu'il est peu soutenu - a semblé souhaiter une intervention divine, et a demandé de l'aide au Pape. Il n'y aura « pas d'Etat palestinien sans Jérusalem-Est comme capitale », a-t-il déclaré. Il semble commencer à comprendre que la « cause palestinienne » risque de disparaître. Lui et d'autres dirigeants « palestiniens », ont appelé à « trois jours de colère ». Quelques manifestants ont brûlé des pneus et des drapeaux américains, comme d'habitude.
Le Président turc, Recep Tayyip Erdogan, a appelé l'Organisation de la Coopération Islamique à se réunir à Istanbul le 13 décembre et a exhorté les dirigeants des pays musulmans à reconnaître Jérusalem comme « la capitale occupée de l'Etat palestinien ». Le roi saoudien Salman n'est pas venu, la plupart des autres dirigeants sunnites non plus. Le roi Salman s'est contenté d'envoyer un message disant qu'il appelle à « une solution politique pour résoudre les crises régionales ». Il a ajouté dans le message que « les Palestiniens ont droit à Jérusalem-Est » – il ne pouvait pas faire moins ; il n'a pas fait plus. Erdogan est surtout soutenu par l'Iran, le principal ennemi de l'Arabie saoudite et d'autres pays sunnites.
« Ce n'est pas la fin de la guerre contre Israël », a déclaré le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, « mais ce pourrait être le début de la fin de la cause palestinienne ».
Le moment pourrait être venu pour les dirigeants d'Europe occidentale, qui soutiennent encore aveuglément la « cause palestinienne » de songer aux conséquences de leurs positions, tant sur le plan politique que sur le plan économique. Prendre le parti d'Erdogan et des mollahs et soutenir une entité terroriste qui ne sera jamais un « Etat » n'est pas à même de leur permettre de combattre le terrorisme ou l'islamisation croissante de l'Europe.
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La Palestine est un Mythe
Par Joseph Farah journaliste arabe américain
traduit de l'anglais
extrait du forum " le flambeau " et reproduit tel quel
traduit de l'anglais
extrait du forum " le flambeau " et reproduit tel quel
http://ibelgique.ifrance.com/bethyeshouah/html/Intro_beta.htm
J’ai été silencieux depuis qu'Israël est entré dans un combat stimulé par des querelles concernant le Mont du Temple.
Jusqu'à maintenant, je n’ai même pas pris la peine de dire, " Voyez, je vous l’avais dit. " Mais je ne peux pas résister plus longtemps. Je me sens obligé de vous rappeler la colonne 1 écrite juste une paire de semaine avant le dernier soulèvement. Mais oui les gars, je l'avais prévue. C'est CORRECT retenez vos applaudissements.
Si vous croyez ce que vous lisez dans la plupart des sources de nouvelles, les Palestiniens veulent une patrie et les musulmans veulent le contrôle des sites qu'ils considèrent saint. C’est simple, vrai?
Et bien, en tant que journaliste Arabe américain qui a passé un certain temps dans le Moyen-Orient esquivant les roches, les cartouches et les obus au mortier, je dois vous dire que ce sont juste des fausses excuses pour s'ameuter, faire du trouble et s’emparer du terrain.
N'est-il pas intéressant de savoir qu’avant la guerre Israélo-Arabe de 1967, il n'y ait eu aucun mouvement sérieux pour une patrie palestinienne? Et bien, vous pourriez dire, “Farah”, c'était avant que les Israéliens aient saisi la Banque Occidentale et le vieux Jérusalem.”
C'est vrai. Dans la guerre des six jours, Israël a capturé la Judée, la Samarie et Jérusalem Est. Mais il n'a pas capturé ces territoires de Yasser Arafat. Il les a capturés du Roi Hussein de la Jordanie.
Je n’y peux rien mais demandez-vous pourquoi tous ces Palestiniens ont soudainement découvert leur identité nationale après que qu'Israël eut gagné la guerre?
LA VÉRITÉ est que la Palestine arabe n’est pas plus vraie que la terre au pays des merveilles. La première fois que le nom " Palestine " a été utilisée c’était en l’an 70 lorsque les Romains ont commis le génocide contre les juifs, ont démoli leur temple, et ont déclaré qu’il n’y aurait plus de terre d'Israël. Depuis ce temps, les Romains ont promis, qu’elle serait connue comme la Palestine.
Le nom a été dérivé du nom “ Philistins ” - un peuple conquis par les Juifs des siècles plus tôt. C'était un moyen pour les Romains comme si ça ne suffisait pas, d’ajouter du sel sur la plaie.
Ils ont également essayé de changer le nom de Jérusalem en AeliaCapitolina, mais cela a eu encore moins de pouvoir permanent. La Palestine n'a jamais existé avant ou depuis - comme entité autonome. Elle a été gouvernée alternativement par Rome, par les croisés Islamiques et Chrétiens, par l'empire Ottoman et, brièvement, par les Anglais après la première guerre mondiale. Les Anglais étaient par la suite d'accord pour restaurer au moins une partie de la terre au peuple Juif en tant que leur patrie. Il n'y a aucun langage connu sous le nom de Palestinien.
Il n'y a aucune culture palestinienne distincte. Il n'y a jamais eu une terre connue sous le nom de la Palestine gouvernée par les Palestiniens. Les Palestiniens sont des Arabes, indistinctement des Jordaniens (une autre invention récente), des Syriens, des Libanais, des Irakiens, etc...
Garder dans l'esprit que les Arabes contrôlent 99,9 pour cent des terres du Moyen-Orient. Israël représente un dixième de 1% de la masse territoriale.
MAIS C'EST trop pour les Arabes. Ils la veulent toute. Et c'est finalement ce qui est la raison des combats en Israël aujourd'hui. Avarice. Fierté. Envie. Convoitise. Peu importe combien Israël concède de terrain, ça ne sera jamais assez.
Que diriez-vous des sites saints de l'Islam? Il n'y en a aucun à Jérusalem.
Choqué? Vous devriez l’être. Je ne m’attends pas à ce que vous entendiez cette brutale vérité de n'importe qui d’autres dans les médias internationaux. C’est juste pas politiquement correct.
Je sais ce que vous allez dire: " Farah, la mosquée d'Al-Aksa et le dôme du Rocher à Jérusalem représentent les trois sites les plus saints de l'Islam. "
Pas vrai. En fait, le Koran dit rien au sujet de Jérusalem. Il mentionne Mecca des centaines de fois. Il mentionne Medina d’innombrables fois. Il ne mentionne jamais Jérusalem. Pour de bonne raison. Il n'y a aucune évidence historique pour suggérer que Mahomet ait déjà visité Jérusalem.
AINSI COMMENT Jérusalem est-il devenu le troisième site le plus saint de tout dans l'Islam?
Les musulmans aujourd’hui citent un passage vague du Koran, la dix-septième Sorate, intitulé " Le Voyage de Nuit. " Il relate que dans un rêve ou une vision, Mahomet a été transporté de nuit " du temple sacré au temple qui est à une distance éloignée, dont nous avions béni l'enceinte, et que nous pourrions lui montrer nos signes..."
Au septième siècle, certains Musulmans ont identifié les deux temples mentionnés dans ce verset en tant qu'étant Mecca et Jérusalem. Et c'est aussi réel que la relation de l'Islam avec Jérusalem devint une pensée, un mythe, une pure magination, un rêve.
En attendant, les Juifs peuvent définitivement trouver leurs racines à Jérusalem jusqu’aux jours d’Abraham. La dernière période de violence en Israël a éclaté quand le chef du Parti du Likoud Ariel Sharon a visité le Mont du Temple, la fondation du temple construit par Solomon. C'est le site le plus saint dans le monde pour Les Juifs. Sharon et son entourage ont été reçus avec des pierres et des menaces.
Je sais ce que c’est. J'étais là. Pouvez-vous imaginer ce que c'est pour un Juif d’être menacé, lapidé et physiquement gardé hors du site le plus saint dans le Judaïsme?
Ainsi quelle est la solution à la mutilation du Moyen-Orient? Bien, franchement, je ne pense pas qu'il y ait une solution faite par les hommes. Mais, s’il y en a une, elle doit commencer par la vérité. Prétendre, mènera seulement à plus de confusion. Se comporter comme si le droit de nos ancêtres vieux de 5,000 ans et soutenu par des évidences historiques et archéologiques accablantes sont égaux aux réclamations illégitimes, souhaiter et vouloir donner à la diplomatie et au maintien de la paix une mauvaise réputation.
PLUS DE MYTHES DU MOYEN-ORIENT
Mes récents commentaires sur le Moyen-Orient ont en outre touché d'une tempête de feu virtuel international sur l'Internet. Depuis l'écriture " Mythes du Moyen-Orient " il y a moins de deux semaines, j'ai été inondé de courrier électronique partout dans le monde - au moins 5.000 lettres seulement d'Israël! L'article a été traduit en une douzaine langues. Cela a été le sujet des discussions des réseaux de télévision. On l'a lu à la radio nationale israélienne. Et, alors que la majeure partie de la réaction a été passionnément favorable, il y a eu des menaces à ma vie et aux vies des membres de ma famille. Il y a eu des méchantes, obscène, vulgaire, et profane dénonciations. La réaction illustre juste un peu combien les Arabes et les Israéliens sont loin dans le prétendu " processus de paix. " Il n'y a clairement eu aucun progrès depuis 1947. En fait, il y a suffisamment d'évidence que quelques chefs Arabes essayent en ce moment de revisser l'histoire d’une nouvelle manière qui suggèrent fortement qu'Israël ne peut absolument rien faire pour apaiser la violence dans leurs coeurs.
Dans une entrevue avec le journal Italien “La Republica” le 24 mars de cette année, Cheik Ikrama Sabri, de la plus haute autorité Musulmane de la Palestine à Jérusalem, a décrété que le mur Occidental, les derniers restes du Temple Juif, n'a aucune signification religieuse pour les Juifs.
IL A DIT, " Soyons clair: le Mur des Lamentation n'est pas un endroit saint des Juifs, il est une partie intégrale de la Mosquée. Nous l'appelons Al-Buraq, le nom du cheval avec lequel Mahomet est monté au ciel à Jérusalem "
Le Président de l’Autorité palestinienne Yasser Arafat a lui-même rendu une déclaration semblable récemment, déclarant que la ville de Jérusalem n'a aucune vraie signification pour les Juifs. Il a répété ce qu'il avait précédemment affirmé à la télévision d'AlJezira le 28 juin, 1998, quand il a dit, " Laissez-moi vous dire quelque chose. L'issue de Jérusalem n'est pas simplement une issue Palestinienne. C'est une issue Palestinienne, Arabe, Islamique, et Chrétienne."
L'interviewer lui a demandé si l’on pourrait également dire que c'est une issue Juive, il a répondu, " No. Permettez-moi d'être précis - ils (les juifs) considèrent Hébron comme étant plus saint que Jérusalem. "
Arafat est parmi ces chefs Arabes faisant des suggestions incroyables qu'il n'y a jamais eu de Temple Juif au site. "
Jusqu'à ce jour, toutes les excavations qui ont été effectuées ont échoué pour prouver l'emplacement du Temple, " il poursuit. " Il y a 30 ans depuis qu'ils ont capturé la ville, et ils n'ont pas même réussi à fournir une preuve comme étant l’emplacement du Temple."
Pensez-vous vraiment qu’il peut y avoir des compromis avec des personnes illusoires?
Maintenant, peut-être que vous comprenez pourquoi même aujourd'hui le Wakf [ l’Autorité Religieuse Musulmane en Israël ] essaye de refuser aux Juifs et tout autre non-Musulmans l’accès à ces sites, et pourquoi, durant le temps où Jérusalem était occupé par les Musulmans, des églises chrétiennes et des synagogues Juives ont été détruites ou profané.
Cela seulement, devrait démontrer d'une manière concluante à n'importe quel observateur prédisposé que les ennuis dans le Moyen-Orient aujourd'hui ne seront pas résolus par la création " d'un état Palestinien. " Il est temps de préciser à ceux qui ne savent pas encore que le chef de ce mouvement - Arafat - n'est pas un " Palestinien " du tout. En effet, il est né en Égypte. Mais sa famille a une certaine histoire dans la région - bien qu'il n'est pas susceptible de la reconnaître sur ABC's Nightline ou CNN.
Vous voyez, c'était l'oncle d'Arafat qui a servi comme “grand mufti” ( tenue civile dans l’armée Islamique) de Jérusalem dans les années 20 et les années 30. C'était son oncle qui a conclu, pour la première fois, que Mahomet était monté dans au ciel à partir du site connu sous le nom de Dôme du Rocher sur le Mont du Temple. Et c'était son oncle qui, dans une affreuse alliance avec Adolf Hitler, a condamné les Juifs et leurs conceptions sur la capitale de leur ville éternelle.
La vérité est que Jérusalem a une importance unique pour les juifs. Cela a toujours été un endroit décrit et révéré dans la loi juive. Pendant des siècles depuis la Diaspora, les Juifs autour du monde ont prié vers Jérusalem, ont pleuré la destruction de leur Temple et répété l'expression, si tout va bien " l'année prochaine à Jérusalem. "
Encore, je dis, jusqu'à ce que toutes les parties de guerre et de paix dans le Moyen-Orient reconnaissent la base de l'histoire et de l'archéologie, que les concessions périphériques de terrain peuvent apporter la paix.
L'IRONIE DES ARABES-AMÉRICAIN
Les villes mitoyennes et Jérusalem ne sont pas les seuls sites des protestations arabes de nos jours. Ils ont lieu également dans les rues près de la Chicago Sun-Times, le journal Times de Los Angeles et le Times de New York.
Les Arabes-Américains ont, si vous pouvez le croire, accusé les médias principaux des États-unis de corruption en faveur d'Israël et contre eux. Analysons cette revendication.
Il y a deux semaines, le journal Times de New York a fait circuler sur les rues d'Israël la photo d'un jeune homme saignant et l'ont étiqueté un " Palestinien " battu par la police israélienne ou les soldats. C'était la réaction complète du Times. Saignement? Ça doit être une victime palestinienne. Il s'avère que le jeune homme était un étudiant Juif américain allant à l'école en Israël, et il a été battu par une foule Arabe. Est-ce qu’un journal corrompu en faveur d'Israël et contre les Arabes ferait une telle erreur?
Et que diriez-vous du Times de Los Angeles? Ah, le syndicat possédé par la compagnie a eu l'audace de distribuer un article qui a critiqué " les extrémistes, les fondamentalistes, les meurtriers Islamiques. " La colonne a rapidement précisé que ce n'était pas un acte d'accusation d'une religion, seulement une attaque sur l'extrémiste dans cette religion. Mais c'était trop pour la communauté d'Arabe-Américain et monolithique nouvellement organisée.
ÇA M’A FRAPPÉ que tous - de cette protestation est manquée de jugement, si, en effet, l'objectif est juste, équilibrée, précis et couvert par la presse.
Pourquoi est-ce que les protestataires ne critiquent pas le manque de journal gratuit sur leurs terres natales? Dans pratiquement chaque cas, les organisations fonctionnaire et semi- fonctionnaire des nouvelles du monde arabe ont un objectif - stimuler de la haine contre l'état Juif.
Les journalistes, les éditeurs et les producteurs pour les médias arabes montrent un côté et un côté seulement - pas simplement dans leurs éditoriaux, mais dans leur soi-disant nouvelle histoire. En fait, leurs " nouvelles histoires " sont, par des standards Western, des éditoriaux. Elles sont conçues pour enflammer les passions et non pour informer les citoyens.
Ce n’est pas surprenant que les Arabes américains voient un parti pris pro-Israël dans la presse. Si leurs normes pour l'objectivité et la neutralité sont basées sur un esprit fermé, la propagande du gouvernement se répandant dans le monde arabe, l’assurance dans l'ouest doit, en effet, sembler inclinée vers le côté israélien.
Je suis un Arabe américain. Pourquoi est-ce que j'ai vu une évidence de ces polarisations et préjudice en 46 ans de vie? Pas une seule fois par le passé j’ai été maltraité, a mal représenté ou calomnier en raison de mon héritage arabe - jusqu’à très récemment. Et, de façon intéressante, la haine - et il n'y a aucun autre mot pour lui - a été dirigée contre moi pas par des Juifs, pas par les médias des États-unis, pas par Israélites, mais par d'autres Arabes.
Apparemment ce qui tracasse ces activistes plus que tout autre chose est 1) - briser les rangs. C'est le péché impardonnable. Les menaces et les insultes de la mort qui vous ferait friser les cheveux, sont sûres de suivre. Et c'est pourquoi je dis qu'aucune de ces protestations ne devrait être prise sérieusement par n'importe qui.
Ces gens - et, par ceci, je signifie les protestataires, les activistes - ne sont pas intéressés par l’équitabilité. Ils ne sont pas intéressés par la vérité. Ils ne sont pas intéressés par une meilleure image pour les Arabes et Arabes américains. Ce qui les intéressent c’est l'ironie absolue - Intimidant leur voie dans des statuts de victime, comme tant d'autres groupes ont fait ces dernières années.
Il est regrettable. C’est ce que pense les groupes. Et, malheureusement, tous trop souvent, cela fonctionne en Amérique.
C’est malheureux, bien que, une partie de cette énergie n'est pas réorienté dans les états exclusifs de la police dans les états arabes. Ces gens se rappellent-ils vraiment d'où ils sont venus?
Joseph Farah est l'éditeur et le chef officier de l’exécutif du World Net Daily.com, un principal site indépendant des nouvelles sur Internet. Son point de vue est fortement inhabituel pour une personne de descendance Aarabe. Cependant, ses faits sont fondamentalement précis et son style d’écriture est facile à comprendre. Nous estimons que sa page d'opinion est digne de la publication.
Maoz Israël
Exécutions sommaires par l’Autorité palestinienne
Deux Palestiniens ont été éxécutés hier à Chehem devant des milliers de personnes, après avoir été jugés de facon expéditive et condamnés à mort. Le premier, Alam BaniOuda, était accusé d’avoir collaboré avec Israel lors de l’élimination de son cousin, Ibrahim Bani Ouda, il y a un mois et demi. Le second était soupconné d’avoir coopéré avec les forces armées israeliennes dans l’exécution d’un membre important du Hamas, Abdel Razek. Deux autres Palestiniens risquent de subir le même sort demain a BethLehem. Ils sont accusés d’avoir aidé Israel à éliminer un membre influent des tanzim, Hussein Abiyat.
Arafat en personne a approuvé l’exécution publique de ces hommes, après qu’un tribunal de l’Autorité palestinienne les ait condamnés pour avoir transmis des informations à Israel.
De lourdes pressions internationales ont été mises en oeuvre pour éviter les exécutions prévues pour demain.
L’avocate Nitsana Darchan-Leitner a vivement critiqué les Services de Sécurite, le Chabak, qui ont refusé d’intervenir dans cette affaire. Lors de l’arrestation des deux Palestiniens, il y a un mois, cette dernière avait proposé a Abou Madian, responsable de la Justice au sein de l’Autorité palestinienne, d’assurer la défense d’un des accusés mais un tribunal palestinien, apres deux heures de procès, a décrété la peine de mort.
L’avocate Darchan-Leitner a ajouté que les hommes qui avaient été exécutés avaient risqué leur vie pour aider Israel a lutter contre le terrorisme et le Chabak aurait du leur porter secours. Elle a conclu en disant: “Le monde peut constater maintenant que l’Autorité palestinienne n’est qu’un état fantoche dont le systeme juridique est basé sur la cruauté ou les droits de l’homme sont méprisés. Ou sont les organismes tels que “Amnistyinternational”, “Regards sur le Proche-Orient” ou “Betselem” qui n’ont rien tenté pour sauver la vie des victimes de ce régime ?”
L’association des Arabes coopérant avec Israel appelle à une interruption des pourparlers
L’association des Arabes coopérant avec Israel a déposé une requête devant la Cour suprême, dans laquelle elle réclame l’interruption des pourparlers avec l’Autorité palestinienne, suite aux exécutions d’hier. Selon le plaignant, Rami Bar On, ces mises à mort vont à l’encontre des accords signés par les Palestiniens et mettent en danger un grand nombre d’Arabes qui ont travaillé en collaboration avec Israel. Le Premier ministre a publié un communiqué dans lequel il condamne les méthodes employées par l’Autorité palestinienne.
« C'est ainsi que l'Eternel donna à Israël tout le pays qu'il avait juré de donner à leurs pères ; ils en prirent possession et s'y établirent. L'Eternel leur accorda du repos tout autour, comme il l'avait juré à leurs pères ; aucun de leurs ennemis ne put leur résister, et l'Eternel les livra tous entre leurs mains. » (Josué 21 :43-44)
Promesses divines -
Peut-on imaginer si les Musulmans avaient des paroles et des promesses d’Allah concernant la terre d’Israël, dans le Coran, ainsi que les Juifs les possèdent dans le Tanach (Bible juive) ? Comment les Musulmans utiliseraient de tels versets, se réclamant de la divine autorité à la face du monde, pour obtenir la terre de « Palestine » !
Mais il n’y a rien de tout cela dans le Coran pour prétendre une quelconque possession léguée par une autorité divine en faveur de l’Islam. Dans le Tanach, par contre, il y a de nombreuses paroles écrites dans des termes les plus clairs, « Je jure de te donner le pays comme une possession éternelle», dit Dieu !
Que c’est regrettable de voir que ceux qui dirigent les négociations de paix en Israël soient des hommes en général non-croyants ou athées, qui ne veulent pas être confrontés aux promesses bibliques « d’un autre âge » tirées du Tanach et données par les Gentils, mettant l’accent sur le droit à leur cause. Que feraient les Musulmans si jamais le Coran avait stipulé qu’Allah avait promis solennellement de leur donner le pays de Palestine ?
On ne peut penser qu’ils ne fassent pas référence à de telles saintes et puissantes promesses… si seulement ils les avaient !
« Le camp de la paix » repose donc sur les épaules de ceux qui croient plus sage de ne pas mentionner ces promesses divines – Yossi Beilin, Yossi sarid, Amnon Lipkin Sharak, Shimon Perez, Uri savir, et beaucoup d’autres. Ce serait difficile d’imaginer ces hommes citant les paroles de Dieu tirées du Tanach, pour défendre leur cause. Ils seraient très embarrassés ( par rapport aux chrétiens, ces Païens) de prendre au sérieux ces promesses archaïques - comme point de départ des négociations !
Les Musulmans, s’ils avaient les mêmes injonctions d’Allah, ne feraient pas une telle erreur. Ils tiendraient pour responsable, et menaceraient du Jihad et de la terreur, le monde entier pour les terribles conséquences d’une résistance à la volonté d’Allah. Et le monde, malade, faible et décadent, tomberait devant leurs arguments… et il le fait aujourd’hui, par crainte.
Un sol sacré appartenant aux Arabes ?
« Je n’abandonnerai aucune parcelle de notre sol sacré arabe… » avait dit Anouar El Sadate.
« Un sol sacré appartenant aux Arabes ? » La terre du Sinaï où Dieu avait conduit Son peuple, Israël, et accordé Son alliance, là où Il lui avait donné Ses dix Commandements, soudainement devenue sacrée pour l’Egypte, elle, qui, n’a jamais rien fait dans cette péninsule ! Mais, ça a marché. On n’a pas dit à Sadate : « Arrêtez avec ces boniments sur votre soi-disante terre sacrée arabe, nous sommes au vingtième siècle… » Non, on (le monde) a tout accepté, simplement parce que c’était dit avec une telle conviction !
C’est aujourd’hui la faiblesse des Israéliens. Ils pensent, selon une façon de pensée tordue, qu’il n’est pas sage de faire référence aux origines divines liées à cette terre. Mais les Arabes qui n’ont aucune parole divine relatif à ce pays qu’ils ont envahi par l’épée de Mahommet, eux, ils parlent comme si cette terre leur avait été donnée et promise par un oracle d’Allah dans le Coran, alors que le Coran ne mentionne même pas Jérusalem !
Néanmoins, ils le font et personne dans le monde leur dit : « …mais vous avez conquis ce pays par la force avec Omar El-Kathib et les autres. Ce pays ne vous a jamais appartenu. » Non, le monde gobe leurs incroyables revendications sans rien dire, parce que c’est dit avec un tel sérieux.
Est-ce que les responsables islamiques feraient l’erreur d’envoyer des Musulmans non-croyants à la table des négociations pour la paix ? Jamais ! Mais le peuple d’Israël, lui, permet d’être représenté à Oslo, Sharm El Sheikh, à Camp David, principalement par des hommes qui ne croient pas que les promesses du Tanach sont les fondements qui leur permettraient de justifier leurs désirs d’une véritable paix pour ce pays, que Dieu leur a donné. Car c’est bien Dieu qui leur a donné cette terre !
Je suis en colère lorsque j’entends à propos de la famille Cohen de KfarDarom, que leur trois enfants auront à passer le reste de leur vie, amputés de leurs membres naturels !
Je suis en colère ce matin, quand j’apprends ce nouvel attentat qui a touché les parents d’un cher ami à Ofrah… et des enfants qui, lorsqu’ils vont se réveiller de leurs blessures à l’hôpital, n’auront pas de parents pour prendre soin d’eux et pleurer avec eux.[…]
La Palestine rachetée dans le sang -
Pourquoi les Musulmans arrêteraient les tueries et les massacres qu’ils pensent « saints » pour leur cause ?
« la Palestine doit être rachetée dans le sang », disent-ils. Pour Allah et l’Islam, ils sont volontaires pour se sacrifier et pour tuer les Juifs, et ainsi les éliminer - spécialement les Juifs croyants - de « leur terre ». Ca a marché au Liban ; ça marchera dans « les territoires » (comme ils sont appelés) : les Israéliens, particulièrement les Juifs athées, se retireront comme ils l’ont fait au Liban, sacrifiant leurs meilleurs fils et filles - les habitants des implantations, Juifs croyants - comme ils ont sacrifié les Libanais du Sud-Liban qui avait combattu et résisté avec eux. Cela prouvera au monde entier que la terreur et le meurtre, spécialement lorsqu’ils sont commis religieusement, en faveur d’Allah, ont leur efficacité.
Les Israéliens ne voient-ils pas qu’en refusant les promesses du Tanach - la Parole de Dieu – ils facilitent à leurs ennemis l’aboutissement de leurs revendications, comblant finalement le vide laissé par les Israéliens eux-mêmes.
C’est ainsi qu’à cause de leur faiblesse ou manque de conviction spirituelle, ils attirent les actes d’agression. Les capitulations et les compromis d’Ehud Barak, pendant que se déroulent des massacres, n’apporteront pas la paix mais attireront plutôt davantage encore de violence, jusqu’à la capitulation totale d’Israël en faveur d’Allah.
« Ils » tueront et massacreront et ils auront en fin de compte ce qu’ils veulent, de la part de ces Juifs incroyants, pendant que les familles juives, qui croient en la parole de Dieu, paieront le prix, ils paieront même doublement…
Jan Willem van der Hoeven
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