Le Coran, par le sens non équivoque des termes qu’il emploie, vise de toute évidence à créer dans l’esprit de ses lecteurs un choc incitant à discriminer, à haïr et à porter très gravement atteinte à l’intégrité physique et à la liberté des non-Musulmans.
Démonstration ci-dessous (pdf de 95 pages, par Alain Jean Mairet) ...
Voir aussi : Similitudes entre Mein Kampf et le Coran, par Coranix.
https://ajm.ch/wordpress/?p=997
CONSEIL GÉNÉRAL AUX CRITIQUES DE L’ISLAM
En abordant les textes islamiques sérieusement, on est vite frappé par le déluge d’éléments très aisément critiquables qu’ils contiennent. Il y a dans ces textes médiévaux un véritable débordement de haine, sans aucune retenue, dirigée systématiquement non pas contre des criminels ordinaires, mais simplement contre des gens qui défendent une autre opinion, ou croient en un autre dieu. Et tôt ou tard, on est tenté d’en faire un inventaire, car la simple masse de ces éléments semble soudain prouver par elle-même l’aspect irrémédiablement criminogène de cette religion.
Et cela est vrai. Si l’on se donne la peine d’examiner attentivement les ordres que les Musulmans sont censés considérer comme divins, on comprend que rien, par ailleurs, ne peut venir compenser tant de ressentiment obligatoire. Mais qui va examiner ça avec attention? Sinon les islamistes, bien sûr? Et, s’imaginent tous ceux qui ne veulent pas salir leurs délicates pensées à ce contact, les intégristes de l’autre bord, ceux qui, se figurent les bien-pensants fiers de l’être, haïssent les Musulmans.
Ainsi, le problème, avec ce type de démonstrations basées sur les horreurs de l’Islam, est que les gens non informés s’imaginent généralement qu’elles résultent forcément d’un parti pris, d’un choix délibéré d’éléments favorisant la démonstration, au détriment de textes plus positifs. Et cela a souvent l’effet inverse de celui escompté – cela incite à penser que leurs auteurs, plus que l’Islam et les Musulmans qui défendent activement leur religion, souhaitent répandre la haine.
Il est donc extrêmement important de les accompagner de quelques éléments permettant de se rendre compte de la triste réalité: les textes islamiques sont parfaitement univoques. Contrairement aux bases des autres religions monothéistes moyen-orientales, ils ne contiennent strictement rien qui permettrait de prôner la réconciliation entre croyants et non-croyants. Ils en ont même visiblement été très soigneusement et sciemment expurgés.
Leur contenu normatif (phrases comprenant un ordre, une injonction, un appel, une exhortation, une loi) est systématiquement violent, haineux, méprisant ou au moins distant (en situation de faiblesse) envers «l’autre». Et les versets/hadiths pouvant être présentés comme «pacifiques», soit n’ont aucun caractère normatif (affirmations purement descriptives sur les beautés de la Création, par exemple), soit ne peuvent pas être valablement mis en liaison avec un comportement islamiquement correct vis-à-vis des non-Musulmans (le contexte oblige à comprendre que les bons sentiments sont réservés aux seuls Musulmans).
De sorte que l’écrasante majorité de ceux qui prêtent foi à ces textes deviennent bel et bien haineux ou méprisants, ou au moins condescendants et prosélytes, à l’égard des non-Musulmans. Seuls des saints peuvent éviter ce travers. Et il n’est ainsi tout simplement pas possible de fonder honnêtement sur les textes islamiques une foi musulmane tolérante et bienveillante.
Pour montrer cela, on peut mettre en lumière les tentatives dérisoires des Musulmans de démontrer le contraire, comme ici. Ou on peut lancer des défis dans ce sens, comme ici. Ou encore organiser des débats publics sur la question, comme ici. Mais il faut se rendre à l’évidence: très peu de gens sont capables d’accepter et de tester sérieusement cette hypothèse. La preuve définitive prendra donc probablement beaucoup de temps, d’efforts et de souffrances. Le mieux serait sans doute de mettre sur pied une action de grande envergure, si possible liée à un débat national, dans un petit pays encore tranquille, afin de s’éviter la lente dégradation qui accompagne la présence croissante de l’Islam.
Sinon, il faut s’armer de patience et chercher sans cesse de nouveaux moyens de révéler la vérité, mais sans trop froisser les âmes fragiles.
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