En Égypte ainsi qu’en Israël, pays en guerre ouverte contre le terrorisme, ils ne font pas dans la demi-mesure pour réprimer les agressions contre les membres de la police et l’armée. Qu’elle que soit la gravité de l’agression en cas où son auteur s’en sort vivant, c’est la peine de mort qui s’applique.
En France, les forces de l’ordre sont de plus en plus l’objet des mêmes attaques que leurs collègues égyptiens et israéliens, mais on continue à les traiter médiatiquement, politiquement, pénalement et judiciairement comme un banal fait divers qui sera aussitôt relégué dans les oubliettes en attendant le prochain épisode. On ne se pose pas de questions sur la connotation politique et idéologique de ces attaques qui sont un mode opératoire des ennemis de la France. Elles semblent être étroitement corrélées avec les attentats terroristes sur le sol français.
Cette violence n’est pas l’expression d’un soi-disant mal-être des jeunes des cités ni n’est dirigée contre l’uniforme en tant que tel mais contre le symbole qu’il incarne, et les islamistes savent parfaitement ce qu’ils font comme pendant les années de braise en Algérie et en Tunisie au cours des 7 dernières années.
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