“LE DJIHAD SILENCIEUX” LE DOCUMENTAIRE CHOC D’INFILTRATION
EXCLUSIF : Le journaliste israélien, Tsvika Yehezkeli, spécialiste des documentaires dits "d'infiltration" a été accompagné en France par Jean-Paul Ney au coeur des mosquées qui prèchent le djihad. On y voit Samy Debah, un responsable associatif et ex-candidat aux législatives accepter des fonds d'une organisation djihadiste.
Tout d’abord parler arabe. Pour Tsvika Yehezkeli, c’est une formalité. Citoyen israélien, arabisant de langue maternelle, spécialiste incontesté des infiltrations à risque dans les milieux musulmans extrémistes, Tsvi pousse à l’excellence du détail : Le Coran, les textes, les réseaux, les accents, les tics, les heures de prières avec cette alarme-muezzin sur son smartphone et ses cinq prières quotidiennes.
Pour cette investigation et infiltration à haut risque, Tsvi et ses équipes ont forgé une vrai-fausse identité, celle d’un aîné, Abou Hamza, un richissime cheikh du Moyen-Orient qui vient distribuer son argent pour aider ses frères en occident et dans d’autres pays musulmans afin d’y propager la pensée islamiste, celle du djihad.
Sauf que ce cheikh, une foi les cibles approchées, révèle sa véritable intention: il est l’un des financiers de la secte islamo-terroriste “Ikhwan Al Muslimin”, la confrérie des Frères Musulmans, la principale organisation islamo-politique au monde, fondée en Egypte par le grand-père de Tariq Ramadan. Cette secte qui a assassiné le président égyptien Anouar El Sadate le 6 octobre 1981 lors d’un attentat est devenue une organisation qui finance un djihad silencieux depuis plus de trente années à travers les pays arabes, l’Europe et les États-Unis.
En France elle apporte discrètement son soutien financier à des associations et des jeunes français dont les parents sont issus de l’immigration. Les frères musulmans les poussent alors à se placer dans les médias mais aussi à infiltrer la politique locale pour viser plus haut.
Pour cette investigation et infiltration à haut risque, Tsvi et ses équipes ont forgé une vrai-fausse identité, celle d’un aîné, Abou Hamza, un richissime cheikh du Moyen-Orient qui vient distribuer son argent pour aider ses frères en occident et dans d’autres pays musulmans afin d’y propager la pensée islamiste, celle du djihad.
Sauf que ce cheikh, une foi les cibles approchées, révèle sa véritable intention: il est l’un des financiers de la secte islamo-terroriste “Ikhwan Al Muslimin”, la confrérie des Frères Musulmans, la principale organisation islamo-politique au monde, fondée en Egypte par le grand-père de Tariq Ramadan. Cette secte qui a assassiné le président égyptien Anouar El Sadate le 6 octobre 1981 lors d’un attentat est devenue une organisation qui finance un djihad silencieux depuis plus de trente années à travers les pays arabes, l’Europe et les États-Unis.
En France elle apporte discrètement son soutien financier à des associations et des jeunes français dont les parents sont issus de l’immigration. Les frères musulmans les poussent alors à se placer dans les médias mais aussi à infiltrer la politique locale pour viser plus haut.
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