Le djihadisme à l'école est une réalité soigneusement cachée par l'éducation nationale et les médias.
Préciser la religion et l'origine ethnique des coupables est vu comme un acte éminemment raciste et criminel.
https://chlomaitresseandco.files.wordpress.com/2019/08/progressions-art-visuel-cm2.pdf
1) Représenter le corps en mouvement
grâce à un pantin articulé, représenter le corps en mouvement
- La danse, Henri Matisse
- Mouvements, Henri Michaux
Très bon dossier :
https://ien-claye.circo.ac-creteil.fr/IMG/pdf/corps_en_mouvement_c1_arts_plastiques.pdf
2) La silhouette (1)
Tracer la silhouette d’un camarade représentant un mouvement à l’aide de craies sur du béton
• Les grands plongeurs noirs, Fernand Léger
• L'acrobate, Picasso
3) La silhouette (2)
Représenter un personnage en mouvement à la manière de Keith Haring
• Keith Haring
4) Décomposer le mouvement
Décomposer le mouvement grâce à la technique du frottage
• Downstairs, Jesus Curia Perez
• Peter Jensen
5) Action painting
Laisser des traces du mouvement du corps de l’artiste
• Jackson Pollock
• Shozo Shimamoto
6) Représenter le mouvement en volume
Représenter un corps en mouvement en volume grâce à du fil de fer ou du papier aluminium
• Joséphine Baker, Alex Calder
7) Thaumatrope
Donner l’illusion du mouvement en créant un thaumatrope
8) Light painting
Représenter le mouvement grâce à la lumière
• Ecriture de lumières, Jean Daviot
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Ondulations, Vasarely
Vasarely et l'Op Art
Cycle 3
Techniques : Crayon
Matériel : 1 feuille de canson blanc / 1 crayon à papier / 1 règle / des feutres
Consigne : Dans un quadrillage, insérer deux cercles en jouant sur l’effet d’optique
Déroulement :
1) Tracer deux cercles sur la feuille : un grand et un petit à l’aide d’un compas.
2) Tracer un quadrillage en respectant un intervalle de 0.5 ou 1 cm entre chaque ligne et colonne.
3) Les lignes du quadrillage ne seront pas tracées à l’intérieur des cercles
4) Poursuivre le quadrillage à l’intérieur des cercles en suivant la déformation du cercle (avec aide).
5) Colorier chaque case en alternant deux couleurs
6) Repasser les contours en noir
Voici quelques ressources autour de Victor Vasarely, fondateur du mouvement Op Art, et en particulier de son oeuvre Vega. C’est, je crois, la première fiche d’histoire de l’art que je partage avec vous. Peut être pas le plus urgent avec la crise sanitaire actuelle mais je crois vraiment en la fonction cathartique de l’art en ces temps d’inquiétude et l’histoire de l’art est prétexte à lecture, dessin (ici géométrie ce qui nous permettra de faire des maths). Par ailleurs, on trouve de nombreuses vidéos qui pourront servir de supports pédagogiques complémentaires aux élèves.
De manière générale, en histoire de l’art, je procède toujours de la même façon. Sur une semaine :
Il m’arrive souvent de regrouper les séances 2 et 3 ou 3 et 4 (en fonction du nombre de vidéos que j’ai sélectionné) mais en termes de mémorisation il est préférable d’y revenir plusieurs fois dans la semaine sur des séances courtes que de faire une seule grosse séance.
En termes de supports j’utilise donc : une reproduction de l’oeuvre format A3, une affiche auteur format A4, une fiche histoire de l’art, d’autres oeuvres de l’artiste à vidéo-projeter.
Mes fiches histoire de l’art sont relativement classiques (une reproduction de l’oeuvre, sa carte d’identité, un mot sur l’auteur, un texte sur l’oeuvre elle-même, une frise chronologique pour resituer l’oeuvre dans son époque) mais je voulais en plus présenter d’autres oeuvres de l’artiste et d’autres artistes de la même époque, le même courant artistique, etc. J’ai aussi ajouté quelques encarts avec des quizz maths ou culture afin de rendre les élèves plus actifs.
Voici les fichiers pour Vasarely :
Ci-dessous les vidéos que j’ai sélectionnées :
Des idées pour la classe !
Les prénoms-Mondrian
Les lettres vides à télécharger ICI
PDF ICI
Le coeur-Mondrian
Les animaux-Mondrian
Des silhouettes d'animaux ICI
Les mobiles-Mondrian
Peinture à la règle, vu sur Pinterest
A découvrir !
Mondrimat ou le cyber art éphémère
pour expérimenter l'espace, la couleur et les lignes
à la manière de Piet Mondrian ! Le Mondrimat est ICI
Mode d'emploi :
Pour diviser la surface, cliquer sur le tiers droit ou sur le tiers du bas.
Pour changer la couleur, cliquer partout ailleurs.
Pour modifier la taille des blocs, faire glisser les lignes de séparation.
A voir !
L'évolution de la peinture de Mondrian vers l'abstrait !
Pi-Ville, une ville bâtie pour la Semaine des Mathématiques !
Pourquoi ne pas remplacer les solides
par des cubes et des pavés en papier
dont les faces sont peintes aux couleurs de Mondrian
et les arêtes sont peintes en noir (ou scotchés d'adhésif noir) ! ?
Le livre POP-UP de Claire Zucchielli !
D'autres articles ICI
Autoportrait Vincent Van Gogh
Autoportrait à Saint Rémy (1889)
réaliser un portrait d'un musicien imaginaire avec différents cadrages
28 DÉCEMBRE 2016
Rédigé par E-Classroom et publié depuis Overblog
http://e-classroom.over-blog.com/cadre-et-cadrage
Le cadrage est défini par l’artiste. Il correspond au choix du contenu de l’image, de ce qui doit être montré et de ce qui doit être laissé de coté. Voyons quels sont les principes du cadrage, l'échelle des plans ou encore les angles de prises de vue...
Dans le domaine de l'art pictural, le cadre est la limite de l'image.
Initialement, il fait références aux bords du tableau en peinture. Par extension, il désigne ce qui est montré à l'intérieur de ces limites mais aussi souvent l'encadrement réalisé par une bordure.
Dans le domaine audiovisuel et en photographie, ce terme, étendu au cadrage, désigne ce que l'artiste capture durant la prise de vue.
Dans tout cadrage, quel que soit le support, la première décision concerne le choix du format. Si le peintre a une maîtrise totale des dimensions de sa toile, le photographe doit, lui, réaliser un « recadrage » (suppression d'une partie de l'image après la prise de vue) pour parvenir au format choisi. En effet, la pellicule lui impose généralement des proportions de 4/3. Le cinéaste dispose d'un choix limité de formats, mais peut parvenir à plus de liberté grâce au split screen (écran séparés).
A gauche photo en mode paysage, a droit en portrait. En dessous en panoramique.
Le format le plus courant est le format horizontal (dit également « paysage »). C'est le plus naturel car il correspond au champ de vision humain et est tout à fait adapté à la représentation de scènes larges, de plusieurs personnages. L'image est stable et équilibrée. Le format plus grand dans sa dimension horizontale, plus panoramique, est appelé « marine ».
L'orientation verticale (ou « portrait ») est moins spontanée. Elle permet de représenter un sujet en hauteur, tel qu'un personnage ou un immeuble. Ce cadrage donne une sensation d'action et de proximité.
La notion de cadre remonte aux premières représentations visuelles en ce que tout artiste reproduisant la réalité procède à un choix dans ce qu'il représente. Les éléments qui ne figureront pas dans l'œuvre sont « hors-cadre ». Ce choix est appelé « cadrage ». En cinéma, si le plan est fixe, le cadre et le champ correspondent. Si la caméra bouge, le champ est plus large que le cadre car le mouvement de caméra dévoile progressivement des éléments qui étaient hors-cadre.
Le cadrage est un choix artistique : il montre une partie de la scène et en cache une autre. Il attire l'attention et met en valeur certains éléments de la composition. À travers le cadrage, l'artiste décide de ce que le spectateur voit et ce qu'il ignore. Il peut ainsi faire jouer l'imagination du public et créer le doute, la crainte, la surprise.
La présence d’un cadre est un procédé hérité d’une longue tradition de présentation des peintures qui créé un effet de concentration sur l’image et invite à rentrer en elle, à faire abstraction de ce qui est en dehors.
L’absente de cadre est plutôt un procédé cinématographique qui invite à imaginer ce qui est hors des limites de l’image, le hors-champ.
Mais qui les fait rire comme ça ? à vous de deviner...
En vidéo, au cinéma et en photographie l’angle de champ correspond à l’angle qui délimite le champ couvert par l'objectif monté sur l'appareil de prise de vues. Il est coupé en son milieu par l'axe optique.
On distingue l'angle de champ horizontal de l'angle de champ vertical.
Angle | Définition | Intérêt |
Angle horizontal | ||
Angle neutre ou horizontal
| Cadrage à hauteur d’œil, parallèle au sol. | Limite la vision naturelle. |
Plongée | Le cadrage s’effectue au-dessus du sujet. | Ecrasement du sujet. Le spectateur à l’impression de le dominer. |
Contre plongée
| Le cadrage effectué en contrebas du sujet. | Effet de grandeur du sujet, impression d’infériorité du spectateur. |
Angle vertical | ||
Face
| Le personnage regarde le spectateur. | Fonction phatique : le spectateur se sent concerné. |
Profil
| Le personnage est vu de profil. | Il est vu à son insu. |
Trois-quarts
| Tourné au ¾ par rapport au spectateur. | Le sujet est vu à son insu. |
Dos
| Le personnage est présenté de dos. | Enigme, Vision avec le personnage (le spectateur voit ce que le sujet regarde. |
L'échelle des plans correspond à la grandeur des êtres animés, objets ou éléments de décor représentés dans l'image par rapport à la taille de celle-ci. Elle ne dépend pas de l'agrandissement de l'image mais traduit un rapport de proportion entre le sujet et le cadre.
De manière générale, on peut dire que l'échelle des plans, en jouant de la distance, focalise ou au contraire dilue l'attention. Au cinéma, quand il s'agit d'individus, elle permet de mettre en place ou de refuser un rapport intime entre personnages et spectateurs, qu'il s'agisse de privilégier des aspects émotionnels (pouvant aller jusqu'à l'identification) ou de simplement communiquer des informations dont seuls les protagonistes de l'action et le spectateur auraient connaissance.
Plan | Définition | Intérêt |
Plans larges | ||
Plan général
| Représente la totalité d’un décor ou d’un personnage. | Immensité, présentation du décor, solitude du personnage, éloignement par rapport au spectateur. |
Plan d’ensemble
| Personnage perceptibles dans leur environnement. | Action inscrite dans l’environnement. |
Plan demi-ensemble
| Décor plus resserré. | Action au centre de l’image. |
Plan personnage | ||
Plan moyen | Personnage en pied. | Concentre l’attention sur le personnage. |
Plan italien
| Personnage coupé au niveau de la cheville ou du mollet | Idem que le plan moyen. |
Plan américain
| Personnage coupé mi-cuisse (en dessous des pistolets dans les westerns). | Souvent utilisé pour les conversations. |
Plan rapproché
| Cadre le personnage à partir de la ceinture, de la poitrine ou des épaules. | Exprime l’intimité du personnage, souligne ses sentiments. |
Gros plan | Cadre un objet, un visage. | Supprime les distances, permet l’empathie, l’intimité (voir code proxémique). |
Très gros plan
| Cadre une partie du corps, du visage ou d’un objet. | Attire l’attention sur les détails, leur donne de l’importance. |
Une des clés lorsque l’on étudie ou que l’on construit une image, c’est l’organisation des éléments proposée dans un cadre. Que ce soit le cadre du tableau, celui de la vignette de bandes dessinées ou celui de l’écran cinématographique les personnages, les objets ou le décor prennent des proportions significatives. L’exposé suivant vous propose une explication de ce que l’on appelle échelle des plans en images, ses différents niveaux et leur signification, une planche synthétique et une carte à remplir pour les élèves. .
Les images sont organisées en plans. Le plan est la portion d’image représenté dans chaque case.
L’échelle des plans correspond à la taille des personnages, objets ou éléments de décor présents dans l’image et leur rapport entre eux. Elle ne dépend pas de l’agrandissement de l’image mais traduit un rapport de proportion entre le sujet et le cadre. Les deux peuvent être équivalents mais la plupart du temps, l’un prend le pas sur l’autre.
Ainsi, selon la place qu’occupe le sujet ou le décor, sachant qu’un peu s’absenter au profit de l’autre, on pourra faire dire à l’image des choses différentes. Tout dépend du sens de la scène, chaque plan a sa valeur.
La notion d’échelle des plans permet de classifier les images à partir de deux données essentielles : d’une part la place prise par le personnage dans le cadre, d’autre part la place prise par le décor dans le cadre.
Ainsi, quand on cadre un personnage, plus on s’approche de lui pour arriver à un gros plan, moins on laisse d’espace dans le cadre pour le décor. Parfois le décor disparaît totalement. Dans le cas contraire, plus on s’éloigne d’un personnage pour arriver à un plan d’ensemble, plus on laisse de place au décor, plus le personnage a tendance à disparaître dans ce décor.
On peut accomplir cette activité en interaction avec les élèves en les amenant à tirer les conclusions par eux-mêmes.
L’échelle des plans comprend un certain nombre de niveaux mais nous n’allons insister que sur quelques-uns, les plus courants, les plus faciles à caractériser.
On repère les différents plans par rapport à l’espace qu’ils laissent autour d’un personnage :
Il permet de situer où se déroule l’action. (En cinéma ou vidéo, il doit durer assez longtemps pour que le spectateur puisse avoir assez de repères pour assimiler les informations que le réalisateur a voulu donner : comme indiquer une situation géographique dans laquelle l’action va évoluer par la suite, un groupe de personnes…)
Le plan d’ensemble est très proche du plan général. Deux différences assez fréquentes : Il va se focaliser sur un lieu comme une rue ou une place et surtout les personnages seront suffisamment visibles pour que l’on comprenne leurs actions. Le contexte est cette fois-ci décrit à échelle humaine. Il permet donc de situer l’action mais en centrant l’attention sur un ou des personnages. Ces derniers peuvent être en mouvement.
On prend la totalité du décor et des personnages qui s’y trouvent. Les plans d’ensemble sont souvent utilisés comme introduction ou comme conclusion d’un film, reportage… car ils permettent de situer le cadre de l’œuvre.
Il cadre un ou plusieurs personnages en pied. Il concentre l’attention du spectateur sur le ou les personnages, éventuellement dans un espace qui les situe.
Le Plan moyen ou Plan pied, cadre le personnage en entier, il faut veiller à laisser de la marge au dessus et en dessous de l’acteur.
, cadre le personnage à mi-cuisse (en dessous des poches de révolver). Il rapproche encore davantage le spectateur des personnages. Il est nommé ainsi car c’est le plan typique des films américains des années 1930 et 1940. Ce type de plan permet également de montrer plusieurs personnages lors d’un dialogue sans nécessiter de modifier la position de la caméra.
Plan américain dans Le bon, la brute et le truand de Sergio Leone
c’est un plan montrant un personnage jusqu’au genoux.
Ce plan cadre les personnages à la ceinture et montre principalement ce qu’ils disent et font sans pour autant attirer exagérément l’attention sur un détail précis de leur jeu. Il place les acteurs à la distance qui sépare les interlocuteurs d’une conversation, il accentue l’intimité, permet de lire les réactions psychologiques, le jeu du visage et des épaules. La durée de ce plan est en fonction du dialogue et de l’action en cours.
Il a les mêmes fonctions que le plan rapproché taille, en accentuant un peu plus les traits du visage du personnage. C’est, par excellence, le plan du journaliste derrière son bureau. La durée – souvent importante – de cette valeur de plan est liée au dialogue.
, cadre le personnage sous les aisselles ou isole un objet. On ne voit qu’une partie d’un personnage sur laquelle on veut attirer l’attention. Il permet de lire directement la vie intérieure d’un personnage, ses émotions, ses réactions les plus intimes. C’est le plan de l’analyse psychologique.
Il cadre un détail qui doit être mis en valeur. Il montre un seul objet, un détail du visage, par exemple. Généralement très bref, il sert la progression du récit ou du suspense en attirant l’attention sur un détail dramatiquement frappant.
vue de dessus. Ce plan donne un sentiment de domination.
La contre plongée : vue de dessous. On se sent écrasé, dominé par la scène. Ce plan donne un sentiment de vulnérabilité.
Certains cinéastes, tels que Wes Anderson, aiment à « baisser les yeux », multipliant les plans subjectifs en plongée dans leurs films pour dire l’isolement et la mélancolie de leurs anti-héros. D’autres, tels que Quentin Tarantino, ont la manie inverse, préférant toiser leurs personnages d’en dessous, en contre-plongée. En résulte, chez le réalisateur de Pulp Fiction, un effet de sublimation de ses personnages, qui paraissent plus grands que nature et imposent ainsi au spectateur leur tchatche toute-puissante – un peu à la manière des rappeurs, systématiquement shootés en contre-plongée dans les clips.
Tarantino vu d’en dessous sur wat.tv
MANTEGNA Andrea (c.1431-1506), Mantoue, Palais ducal, Castello San Giorgio, fresques de la Chambre des Époux (Gonzague), et détail du du faux oculus de la voûte, vers 1465-1474
ce qui est en dehors de l’image et qui n’est pas visible.
L’utilisation du hors-champ rajoute une dimension spatiale : le spectateur comprend que la scène se déroule au-delà du cadrage. Il ajoute au pouvoir narratif de l’image.
Jacques Tardi, 120 rue de la Gare
Ci-dessus, deux hors-champ perceptibles : à gauche, l’escalier d’où arrive le policier, à droite une pièce dans laquelle on imagine un personnage (suggéré par la bulle) agonisant suite à un assassinat, (suggéré par les taches de sang) dans le champ).
Alfred Hitchcock, Fenêtre sur cour
Le hors-champ peut susciter chez le spectateur des émotions très fortes (le suspense, la peur, l’angoisse…).
Champ : étendue embrasée de l’œil ou de l’objectif. Ce qui est cadré, visible. (Vocabulaire de la photographie)
Le champ est la portion d’espace réel, délimitée par le cadrage, qui est vu dans l’image. Le champ s’oppose au hors champ.
Cadrer, c’est organiser l’espace à l’intérieur du cadre : le champ. C’est aussi suggérer ce qui est en dehors du cadre : le hors-champ.
Dans cette scène de M le Maudit de Fritz Lang, la petite fille est dans le champ. Un personnage à chapeau, situé hors-champ, est fortement suggéré par son ombre, ainsi que par le regard de la fillette.
prise de vue opposée à la première.
Ces deux cadrages sont employés dans le cas de dialogue.
Quantum of Solace de Marc Forster
Champ et contre-champ Isabelle Huppert et Jacques Dutronc dans Merci pour le chocolat
Panoramique : plan large de tout le panorama.
· Pour le cinéma, un panoramique est un mouvement de caméra.
· Pour la photographie, un panoramique est un format de photographie en largaur avec une faible hauteur. (à ne pas confondre avec le cliché radiographique du même nom et que l’on fait chez son dentiste).
Carte à remplir par les élèves :
S. Ladic 2015 Arts plastiques –
Séquence sur les portraits