5 décembre 2018

Djihadisme à l'école


Le djihadisme à l'école est une réalité soigneusement cachée par l'éducation nationale et les médias.

Préciser la religion et l'origine ethnique des coupables est vu comme un acte éminemment raciste et criminel.



Le vrai crime est de ne pas dénoncer une religion qui considère les non-croyants comme impurs, voués à l'enfer et "tuables" et de laisser entrer et prospérer des millions de pratiquants de cette religion dans notre pays.

Il est urgent que les statistiques ethniques et religieuses entrent en vigueur en France pour que les belles âmes qui ignorent cette réalité au nom de l'humanisme soient enfin mis en face de la réalité avant qu'il ne soit trop tard.

Il est urgent de se réveiller car quand le djihad goutte-à-goutte actuel se transformera pour de bon en djihad offensif généralisé, il y aura des millions de morts dans toute l'Europe et ce sera la 3e Guerre mondiale.

Imed Magroune@imedmagroune2
Il assume bien que c'est un attentat terroriste, il a égorgé son prof car "il a dessiné le prophète" mais la magistrate continue de dire non c'est un gentil religieux très pieux sans histoires et personne ne se rappelle de l'incident.
OK, libérez-le alors.
https://www.ouest-france.fr/ile-de-france/hauts-de-seine/professeur-tue-courbevoie-obnubile-par-son-renvoi-de-la-fac-le-suspect-en-voulait-aussi-sa-victime-6114030

Aldo Sterone@AldoSterone111
Le Pakistanais qui a égorgé son prof ne parle que l’Anglais et l’Oudou. Comment se fait-il qu’il avait un visa d’étudiant (expiré depuis 2007)? Une des conditions pour un tel visa est de démontrer un niveau suffisant de langue française !!!

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Professeur tué à Courbevoie. « Obnubilé » par son renvoi de la fac, le suspect en voulait aussi à sa victime

Ouest-France avec AFP.

Publié le 06/12/2018 à 21h35

Un ancien élève du pôle universitaire Léonard-de-Vinci, à Courbevoie (Hauts-de-Seine), a tué mercredi un professeur d’anglais de plusieurs coups de couteau. Interpellé, le suspect était « totalement obnubilé par son éviction » de l’université et en voulait personnellement à sa victime, a indiqué la procureure de la République de Nanterre ce jeudi.

Le suspect interpellé mercredi pour le meurtre d’un professeur à Courbevoie (Hauts-de-Seine) était « totalement obnubilé par son éviction » de l’université et en voulait aussi personnellement à sa victime, a indiqué la procureure de la République de Nanterre ce jeudi.

« Très difficile à interroger », l’homme de 37 ans s’est montré, lors de ses premières auditions par les enquêteurs de la police judiciaire des Hauts-de-Seine, « totalement obnubilé par son éviction de la fac », a souligné Catherine Denis lors d’une conférence de presse.

Aucun antécédent judiciaire
L’ancien étudiant du pôle universitaire privé Léonard-de-Vinci « reconnaît qu’il a tué son enseignant de plusieurs coups de couteau », a-t-elle dit. Il en voulait à ce professeur d’anglais de 66 ans, de nationalité irlandaise, d’avoir « fait un dessin qu’il aurait diffusé en cours en 2016 » et qu’il avait considéré comme « insultant pour le Prophète ». Mais « rien ne permet d’accréditer » sa version car « personne ne se souvient d’un tel incident », a précisé la magistrate.

L’homme, sans domicile fixe, n’est « connu d’aucun service de renseignement », n’a « aucun antécédent judiciaire » et, « à ce stade, nous n’avons pas d’élément de radicalisation mais plutôt le sentiment d’avoir affaire à quelqu’un qui est très religieux, très pieux, très pratiquant », a précisé Mme Denis.

Entré en France avec un visa étudiant en 2016, le suspect de nationalité pakistanaise avait effectué sa première année d’étude en école de management sans la valider complètement, ce qui avait entraîné son renvoi. Depuis, selon la procureure, il ne cessait de revenir dans l’établissement pour contester cette décision, jusque-là « sans trouble à l’ordre public » toutefois, a-t-elle souligné.

L’autopsie de la victime a révélé 23 plaies
Le jour des faits, les images filmées par une caméra de vidéosurveillance de la faculté montrent le suspect discutant « calmement » avec la victime devant l’établissement avant qu’il ne l’attaque avec un couteau à viande dissimulé sur lui, le blessant mortellement.

Au total, l’autopsie pratiquée dans la matinée a révélé 23 plaies dont cinq à la tête, trois au cou, six au thorax et plusieurs « lésions de défense » au bras.

Appréhendé sur place par des témoins et le personnel de sécurité de l’université, l’homme a été placé en garde à vue mercredi pour le chef d'« assassinat ». Il avait en effet acheté son arme plus tôt dans la matinée dans un supermarché de Colombes, une commune toute proche.

Interrogée sur le profil psychologique du suspect, la procureure a indiqué qu’il n’était « pas délirant mais en décalage avec les faits ».

L’homme, qui ne parle que l’ourdou et l’anglais, était en situation irrégulière sur le sol français depuis septembre 2017, son visa étudiant ayant expiré.

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