Le combat dans le sentier d’Allah est une prescription coranique et que ceux qui s’y refusent sont traités d’hypocrites méritant les pires châtiments de l’enfer. L’appel à la paix ne doit pas être fait alors que l’islam est en position de force, mais uniquement quand l’islam est faible, suivant ainsi la logique de Muhammad. Comme dans les pays occidentaux aujourd'hui.
En effet, ce dernier a agi de la sorte : à La Mecque, alors faible en armes et en hommes –il n’a réussi à convertir qu’une poignée de personnes sur une dizaine d’années- il n’hésitait pas à appeler à la paix. Mais une fois qu’il s’est établi à Médine, a obtenu l’appui des Aws et des Khazraj ainsi que celui des Saalik, ces bandits de grand chemin, Muhammad a passé les huit dernières années de sa vie à mener des guerres offensives contre les mécréants.
Mais surtout, nous apprenons dans cette vidéo qu’un bon nombre de savants musulmans disent que le djihad offensif est prescrit à jamais et ne doit cesser qu’à l’heure du Jugement Dernier. En fait, l’extrême majorité des exégèses islamiques, qui servent de bases de formation à tous les imams, sont sur cette ligne.
Autre explication de l'origine historique de la taqqya :
À la mort de Mahomet, la succession se traita par des guerres et des assassinats.
Ali, un petit fils de Mahomet, conquit le pouvoir, le garda deux ans, et le perdit. Ses partisans formèrent les Chiites (chiite vient d’un mot arabe qui signifie partisan).
Les adversaires formèrent les Sunnites (leur nom vient d’un mot qui signifie le chemin, celui que doivent suivre les musulmans).
Comment résoudre ce schisme ? Mahomet avait montré la voie, en appliquant la solution finale d’abord aux Juifs de Médine, puis à ceux qui abandonnaient l’islam, puis aux « polythéistes ».
Les Sunnites tentèrent donc de génocider tous les Chiites.
Ceux-ci choisirent en masse l’abjuration. Pour éviter de perdre tous leurs fidèles, les dirigeants du chiisme inventèrent la taquia : c’est l’obligation religieuse faite aux Chiites de mentir pour sauver leur vie, en faisant une abjuration publique, sans pourtant changer de religion.
La taquias’est ensuite généralisée, et aujourd’hui elle est devenue l’obligation religieuse, qui s’impose à tout musulman, de mentir chaque fois que le mensonge est utile à l’islam. C’est au titre de la taquia que les musulmans citent souvent les versets de la tolérance, sans dire que ce sont des mansukhs abrogés afin de séduire et faire passer l’islam pour une « religion » de paix et d’amour.
Nom de Zeus ! Avec son hoverboard, ses Nike à laçage automatique qui s'illuminent et son Almanach des sports, Majid Oukacha, l'auteur de Il était une foi l'Islam... L'histoire de celui qui voulait diviniser pour mieux régner, compare pour vous les paradoxes temporels de la trilogie des films "Retour vers le futur" avec ceux de son ancienne religion, l'islam.
Attachez vos ceintures, le voyage risque de secouer !
Commentaire Amazon de Rachid : Musulman pratiquant je voulais connaître les arguments de M. Oukacha, lui qui était musulman. En tant que musulman on a tendance à toujours détourner les yeux et faire des procès d'intentions envers les non-musulmans critiquant l'islam. Très pratique pour éviter toute remise en question. Avec quelqu'un ayant "baigné dedans" je voulais connaître ses arguments. Force est de reconnaître que la plupart des arguments/critiques sont difficilement réfutables. Dans l'univers islamique, pour la pensée, le questionnement ou la remise en question de tel hadith ou verset, on vous rétorquera (réponse déjà toute faite) qu'il y a une sagesse qui vous échappe. Ne cherchez donc pas à utiliser votre raison quand un texte vous pose problème. Le problème est là justement. Dans la construction et méthode de compilation des ahadith et du Coran, on se rend compte que tout est une histoire politique, donc très humaine au gré des intérêts du moment. C'est là que ce livre enfonce le clou en mettant en lumière des textes (versets et ahadith authentique) dont on se pose réellement la question si c'est d'ordre divin ou une plaisanterie humaine.