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Trois ans déjà que, face aux violences exercées contre certaines filles des quartiers, Fadela Amara lançait ce cri du cœur : "Ni putes ni soumises". Elle est alors devenue le symbole d'un féminisme d'urgence, d'un féminisme populaire. Après la publication du Guide du respect - immense succès -, voici La Racaille de la République, où, à partir de leurs origines, des souffrances par eux endurées, Fadela Amara et Mohammed Abdi analysent et dénoncent des situations d'injustice, dressent un constat de l'augmentation de l'inégalité des chances, de la montée des violences, de la difficulté à intégrer et à accepter ces Françaises et Français qu'on continue encore à traiter comme des immigrés.
Dénonçant les faux prophètes et la recrudescence de discours religieux où l'islam est détourné à des fins politiques, cartographiant la situation dans certains quartiers où d'autres lois que celles de la République règnent, ils en appellent à une société où la loi, le droit et la justice nous permettraient de mieux vivre ensemble dans le respect du bien commun ancré dans les valeurs de la République.
En 2006, présidente de l'association Ni putes ni soumises, Fadela Amara est membre de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité. Mohammed Abdi est secrétaire général de Ni putes ni soumises.
Trois ans déjà que, face aux violences exercées contre certaines filles des quartiers, Fadela Amara lançait ce cri du cœur : "Ni putes ni soumises". Elle est alors devenue le symbole d'un féminisme d'urgence, d'un féminisme populaire. Après la publication du Guide du respect - immense succès -, voici La Racaille de la République, où, à partir de leurs origines, des souffrances par eux endurées, Fadela Amara et Mohammed Abdi analysent et dénoncent des situations d'injustice, dressent un constat de l'augmentation de l'inégalité des chances, de la montée des violences, de la difficulté à intégrer et à accepter ces Françaises et Français qu'on continue encore à traiter comme des immigrés.
Dénonçant les faux prophètes et la recrudescence de discours religieux où l'islam est détourné à des fins politiques, cartographiant la situation dans certains quartiers où d'autres lois que celles de la République règnent, ils en appellent à une société où la loi, le droit et la justice nous permettraient de mieux vivre ensemble dans le respect du bien commun ancré dans les valeurs de la République.
En 2006, présidente de l'association Ni putes ni soumises, Fadela Amara est membre de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité. Mohammed Abdi est secrétaire général de Ni putes ni soumises.
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