Ce qui se passe, dans les écoles de France et de Navarre, devient très inquiétant. Et j’en viens parfois à me demander combien de parents s’inquiètent de ce que nos enfants apprennent dans ces lieux théoriquement de savoir, où la neutralité devrait être la règle d’or.
Il me semblait que l’école était censée apporter des éléments de compréhension aux adultes de demain pour qu’ils puissent mieux appréhender le monde dans lequel ils vivent. Je pensais que les apprentissages devaient s’appuyer sur des faits scientifiques, historiques et surtout pas sur des jugements, des opinions voire des idéologies. En tout cas, dans une démocratie comme la France, je nous croyais à l’abri de ce genre de pratique.
Je le croyais sincèrement jusqu’au moment où j’ai dû, par le biais de la scolarité de mes enfants, me rendre compte que ce n’était pas le cas. La première fois, j’ai été interloquée, je ne pouvais concevoir un tel fait. Cela me paraissait impensable. Mais j’ai dû me rendre à l’évidence car, à maintes reprises, j’ai pu voir dans les cahiers de mes enfants des contenus relevant plus de l’opinion ou de l’idéologie que de faits avérés.
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La première fois, c’était en classe de 5ème. j’ai eu le choc de voir l’instrumentalisation faite, par l’Education Nationale, des cerveaux tendres de nos enfants. Cela s’était passé en cours d’histoire au moment d’aborder l’islam en tant que religion.
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Voilà ce que disait le cahier de mon enfant :
« La civilisation musulmane fut l’une des plus brillantes que l’humanité ait connues….
La civilisation musulmane s’est diffusée rapidement pour plusieurs raisons : les conquêtes militaires, la tolérance et le respect des autres religions, la construction de villes et de mosquées construites par les califes et vizirs... ».
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En préambule, j’ai dû me demander : « Où sont passés les effets fabuleux de la brillante civilisation musulmane ? Où ? Personne ne le sait ! ».
Doit-on mettre au compte de la grandeur de l’islam, les eunuques, ces pauvres hommes émasculés, l’esclavagisme pratiqué à grande échelle, les razzias, les atroces massacres, les harems, symbole de la réclusion des femmes ?
Aussi, est-ce que la civilisation musulmane respectait réellement les autres religions quand on sait qu’elle s’était diffusée par des conquêtes militaires, euphémisme utilisé pour occulter les massacres à grande échelle ?
Cette phrase ne veut rien dire ou, je dirais plutôt, est une sinistre farce. Comment peut-on faire co-exister dans la même phrase tolérance avec conquêtes militaires ? Si je ne m’abuse, cela veut dire que la religion islamique a été imposée par la force, ce qui, si on est un minimum honnête, est loin de ce qui définit le concept de tolérance et de respect des autres religions. Dans ce cas précis, l’islam s’est diffusé parce qu’il a fait disparaître ce qui lui préexistait. D’ailleurs, à l’époque des conquêtes islamiques, les soldats d’Allah convertissaient par l’épée, sûrement pas par la diffusion de la bonne parole. Un petit coup de sabre et couic, tout était fini…
Les seules alternatives laissées aux populations autochtones, la conversion ou la mort et pour les gens du livre (les chrétiens ou les juifs), le règlement rubis sur l’ongle d’une taxe, pour avoir le droit de continuer à pratiquer leur propre religion, la djizzia.
C’est là que le concept du dhimmi prenait tout son sens. Il est un terme historique du droit musulman qui désigne les sujets non-musulmans d’un État sous gouvernance musulmane, liés à celui-ci par un « pacte de protection » discriminatoire.
Le statut de dhimmi a codifié pendant des siècles la place des personnes de religion monothéiste principalement les minorités juives et les populations chrétiennes à l’origine majoritaires dans les pays soumis aux autorités musulmanes (Syrie, Mésopotamie, Égypte, Grèce, Bulgarie, provinces romaines d’Afrique, Espagne…). À la différence des polythéistes, qui selon le Coran, devaient être convertis ou bien tués, les « gens du Livre », juifs et chrétiens, dépositaires d’une partie de la Vérité révélée, avaient en troisième option le droit de conserver et pratiquer leur foi à condition de respecter un certain nombre d’obligations et de se soumettre à d’autres.
L’aboutissement du jihad est la conversion du dar al harb (maison de la guerre) en dar al islam (maison de l’islam).
Les musulmans définissent le non-musulman sous le terme très péjoratif de « KAFFIR » (KOUFFAR au pluriel ; souvent traduit par « mécréant » ou « infidèle »).
Le kaffir peut être tué sans scrupules en dar al harb, cependant une fois sa terre conquise par l’islam et passée au dar al islam, un statut spécial permettant d’épargner sa vie peut lui être attribué s’il est juif ou chrétien.
Sources :
http://info.charia.overblog.com/dhimmitude-le-statut-infériorisant-des-juifs-et-chrétiens
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Rien, dans tous les récits ou écrits islamiques, ne montre donc cette fameuse tolérance dont se targuent les manuels scolaires français.
Alors, comment la France d’ascendance judéo-chrétienne peut-elle cautionner un tel système ennemi et, de surcroît, enseigner à sa jeunesse de tels immondices. Si cela n’est pas du foutage de gueule caractérisé, il faut me dire ce que c’est !!!
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Que dire également des professeurs qui disent à leurs élèves que les terroristes, ayant assassiné bien des gens en Europe ou ailleurs, ne sont pas des musulmans ? Ces derniers, selon ces pseudo profs, n’appliqueraient pas le vrai islam et commettraient ces crimes en son nom pour le salir. A priori, selon l’une des profs de mon fils, l’attentat de Strasbourg ne serait pas un attentat du fait de la doctrine islamique mais l’œuvre d’une personne chargée de faire passer la religion musulmane pour mauvaise !!! Hallucinant ! Scandaleux ! Inadmissible !
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Sur quoi se base-t-elle pour affirmer ce genre de certitudes ? Comment peut-elle se permettre de dire « c’est pas ça l’islam »? Quelles sont ses sources ?
Qu’elle me les montre. Qu’elle me dise quelle est son expérience réelle en la matière ? Qui lui a donné l’autorisation de décréter qui est musulman et qui ne l’est pas ?
A-t-elle seulement lu une seule page du coran ? Le djihâd, est-ce que cela lui dit quelque chose ? Et Dar El harb, maison de la guerre ?
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J’enrage de savoir que de tels énergumènes sévissent auprès de notre jeunesse en toute impunité. Cela rend difficile la tâche d’éveil des consciences, de ceux qui, comme moi, ont connu de près les ravages pouvant être causés par le dogme musulman. Cela a, aussi, comme effet délétère de délégitimer une colère saine face à un système qui est en confrontation directe avec vos intérêts. En définitive, cela dit : « Prends ça dans les dents et tais-toi ».
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Par ailleurs, dernièrement, j’ai eu la mauvaise surprise d’apprendre que mon islamophobie, réaction saine face à une doctrine qui ne me reconnaît pas comme individu à part entière, qui voudrait me confiner dans un statut de mineur à vie, était une très mauvaise chose, était une honte, car à mettre du côté du racisme et de l’intolérance.
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L’Éducation Nationale a mis à son programme un lexique autour du racisme. Eh ! Bien dans ce lexique, à mon grand étonnement, j’y ai trouvé l’islamophobie avec comme définition : Hostilité envers les musulmans.
Comment ça ? Sans d’autres explications, sans nuance car c’est quoi concrètement un musulman. C’est quoi ? Ce n’est pas une ethnie que je sache ! Alors sur quel critère on décrète que l’un est musulman et l’autre ne l’est pas. Qu’est ce qui fait dire qu’il y a hostilité ou pas envers les musulmans ? Le refus du voile au travail ou du burkini dans les piscines ? Pas de halal dans les cantines ? C’est quoi ? Comment elle se manifeste ? On n’en saura pas plus.
N’est-ce pas relayer les revendications des frères musulmans, ou reprendre à son compte le cheval de Troie utilisé par les musulmans, pour imposer l’islam dans les esprits et le territoire national ? N’est-ce pas encore victimiser ces pauvres musulmans qui seraient, soit disant, agressés ? Quand on sait qui agresse en masse, cela me fait doucement rire…
Qu’on m’explique quelle est cette supercherie ! C’est quoi le racisme envers les musulmans ? Quand je vois tous ces barbus qui travaillent le plus normalement du monde, dans bien des entreprises françaises… Quand je vois toutes ces insultes, envers les non-musulmans, qui fusent sur internet. Quand je vois toutes ces églises vandalisées, ces gens tués pour un regard, etc. Où sont les victimes musulmanes ? Qu’on me les montre ! Tous les jours, dans nos services publiques, qui agresse qui ?
Soit dit en passant, la question de la haine vis à vis de la chrétienté ou le racisme envers les blancs ne sont pas abordés ni évoqués !!!
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Et pourquoi svp ? Pour faire avaler la pilule du vivre ensemble qui ne marche nulle part ? Pourquoi ? À cause du racisme ?
Non ! Parce que beaucoup des coranisés du cerveau ne peuvent ou, surtout, ne veulent pas s’intégrer, respecter autrui, respecter tout ce qui est en dehors de la oumma. Il ne faut pas le dire, ce n’est pas bien.
La preuve en est que ces gens refusent absolument ce qui fait la France, c’est leur propension à insulter de traîtres les apostats de l’islam. Dès que vous signifiez votre amour pour les valeurs françaises, au mieux vous êtes un lèche-cul, au pire un renégat. Est ce qu’il en faut plus pour comprendre où est le hic ?
Pour ma part, ça me suffit largement. Il y a longtemps que j’ai tranché. J’ai essayé d’y croire, mais à force de rencontres allant toujours dans le sens de l’intolérance mahométane, j’ai fini par me résigner.
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Alors voilà aujourd’hui en 2019, les temps ont changé, l’école n’est plus là pour instruire, mais pour pousser notre jeunesse à tout accepter, même l’inacceptable.
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Les maîtres d’école, les professeurs s’érigent en grand gourou de la pensée, celle, bien sûr, avalisée par les gauchistes, les mondialistes. Ils ne sont plus ceux qui transmettent des savoirs, le niveau des enfants français est là pour en témoigner. Ils sont les gardiens de la morale, du politiquement correct. Gare à ceux qui se posent seulement des questions ou qui osent émettre la moindre objection car ils seront mis, illico presto, dans le camp du mal. Emballé, pesé, circulez c’est comme ça, pas droit à la parole.
Jusqu’à, il n’y a pas si longtemps, j’avais un profond respect pour l’école dans la mesure où j’y avais tout appris. Elle m’avait donné l’opportunité de bâtir ma vie comme je l’entendais, d’aiguiser mon sens critique. Cela n’a pas de prix !
Mais tout ça c’est fini, l’école, maintenant, c’est une vraie catastrophe. La seule chose qui en émane, c’est la médiocrité, la bêtise crasse, l’endoctrinement des esprits par des concepts fumeux.
Je dois me battre tous les jours, pour contrecarrer les effets délétères de cette grande institution que devrait être l’Education nationale. Je dois être tous les jours vigilante pour ne pas laisser le cerveau de mes enfants aux mains de ces fossoyeurs de l’histoire, de la pensée critique et lucide.
Et même comme ça, il y a parfois des repas qui se terminent en débat houleux…
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