1 mai 2019

Les élèves sont des cobayes d’une déconstruction de notre histoire, de notre géographie et de notre culture (Barbara Lefebvre)



Commentaires d'internautes : 

Runggaditsch : Oui Madame, j’approuve tout à fait. C’est une honte! J’ai gardé des livres d’histoire de ma scolarité (j’ai 72ans). Ma cadette est en seconde, quand je lui ai mis mon Malet Isaac entre les mains elle a failli avoir une attaque et je ne parle pas de celui de CM1-CM2 de 56-57.

Bull sitting : Un peuple d'abrutis déracinés est tellement plus facile à mettre en esclavage.

Falies Christian : L'esprit de l'empire européen.

Nadia Rochat : Les macroniens appellent cette déconstruction (déstruction) la #renaissance.
#NathalieLoiseau

beretbasque : Les programmes de l'éducation nationale sont devenus une vaste opération de propagande, rien de plus.

Turnthetide : Où nait l'antiFrance.

Humbert III : Triste réalité, il suffit d'ailleurs d'écouter la plupart des lycéens répétés tels des clones les mantras ecolo-bobos que leurs enseignants leurs ont appris pour s'en convaincre.

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Voir Barbara Lefebvre : L’Éducation nationale est en train de détruire «la patrie charnelle» de Péguy.

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Bravo à Éric Brunet d’avoir invité Nadia Remadna et Barbara Lefebvre !

Publié le 6 mai 2019 - par 
Dans ce journal, on n’a pas toujours été tendre avec Éric Brunet, il faut l’admettre, même s’il a parfois donner des verges pour se faire battre…
Mais on sait aussi reconnaître quand le bougre propose d’excellents invités aux auditeurs de RMC…
N’écoutant pratiquement jamais la radio, et ne regardant la télévision que quand je suis chez des invités qui l’ont, je devais effectuer, ce lundi, premier jour du ramadan, 4 heures de route, avec ma voiture diesel, n’en déplaise aux écolos dégénérés.
Et, par le plus grand des hasards, appuyant sur le bouton radio, à midi, je tombe sur RMC, et l’émission d’Éric Brunet, qui a deux heures d’antenne. Avec mon mauvais esprit habituel, je l’avoue, je me dis : « À tous les coups, c’est le premier jour du ramadan, il va nous coller Oubrou ou Lasfar, pour nous vanter cette anomalie de la société française ! Eh bien, je fais amende honorable, j’ai eu tout faux. Éric Brunet a osé inviter Nadia Remadna, la présidente de la Brigade des mères, jusqu’à 13 heures, et Barbara Lefebvre, la deuxième heure. Ce professeur d’histoire-géographie s’est mise en disponibilité, depuis deux ans, refusant les nouvelles règles, dans sa matière, imposées par Blanquer et la clique de pédagogistes. Elle vient d’écrire « C’est ça la France ».
Nadia Remadna commence. On sent Brunet sous le charme. Elle décrit la réalité de la progression de l’islam dans les quartiers, et surtout des reculs de la République. Elle réclame des sanctions contre les maires et les responsables associatifs qui trahissent la laïcité, notamment en annulant des initiatives pour cause de ramadan. Elle déplore que le combat qu’elle mène depuis 2014 soit trahi par l’État, à son plus haut niveau, et que celui-ci, par clientélisme, préfère arroser ceux qui islamisent nos quartiers. Elle cite nombre d’exemples (femme giflée dans la rue par un musulman parce qu’elle allume une cigarette, gamines voilées à l’âge de 10 ans, interdites de parler à des copines non voilées…).
A ma grande surprise, au milieu de l’émission, j’entends une interview de notre amie Ghislaine Dumesnil (même si son nom n’est pas cité) qui évoque la réalité de la situation de la RATP, qui est revenue au premier plan de l’actualité depuis qu’on a appris qu’un machiniste (dont on ne cite pas l’origine) aurait refusé de prendre une jeune femme maghrébine dans un car, à cause de sa tenue, une jupe jugée trop courte…
L’animateur paraît découvrir la réalité de la France dans laquelle on s’enfonce…
Il essaie de se raccrocher aux branches, et nous fait le coup de « l’islam n’a rien à voir avec tout cela ». Prudente, Nadia ne va pas au bout de sa pensée, mais explique quand même qu’il conviendrait de s’interroger sur certains passages du Coran, ce à quoi bien sûr, Brunet parle de leur interprétation. Tout au long de l’échange, l’animateur-vedette de RMC s’enflamme, stupéfait de son audace, et se vante d’être dans le politiquement incorrect…
Mais par ailleurs, il ne tend aucun piège à Nadia, et paraît boire ses paroles. Il n’en croit pas ses oreilles quand la présidente de la Brigade des mères apprend que, travailleuse sociale depuis 25 ans, elle a été licenciées pour avoir dit, sur une radio, que la France avait davantage besoin d’écoles que de mosquées.
C’est ensuite au tour de Barbara Lefebvre. Là, c’est pareil, elle a, avec Éric Brunet, un fan qui lui est acquis dès la première seconde. L’enseignante accuse l’école de ne plus transmettre aux enfants l’amour de la Nation. Elle explique le travail de déconstruction qui s’opère depuis 40 ans. Elle pointe du doigt, sous la pression de la gauche, l’abandon de cette Nation qui fédérait le pays, et sa transformation en une ensemble de tribus communautaristes, où chacun défend son projet, sans tenir compte de l’intérêt général. Elle dénonce le mondialisme, qui veut briser les États-Nations, et signale que les jeunes ne peuvent pas aimer la France, quand les Français ne l’aiment plus eux-mêmes, et qu’ils l’entendent dénigrer à longueur d’année.
Brunet nous fait un grand numéro de cocorico, en expliquant que les Français accueillent beaucoup mieux les étrangers que les Américains, et que, pourtant, les États-Unis sont respectés par les nouveaux-venus, alors que notre pays est méprisé. Il a beaucoup de mal à interrompre Barbara Lefebvre, très pugnace quand il s’agit de lui reprendre la parole.
À noter, dans les deux passages de ces deux femmes exceptionnelles, les interventions des muzz de service. Dans le premier cas, nous avons eu droit à un imam, qui bien sûr, a essayé de noyer le poisson, en reprochant à Nadia, avec laquelle, summun de la taqîya, il disait être d’accord, de faire trop d’amalgame, et de parler trop cru, ce qui, selon le brave homme, serait contre-productif. Sauf que celle-ci le bâche gentiment, en lui énumérant un ensemble d’autres situations auxquelles les femmes des quartiers islamisés sont confrontées, et explique que si elle ne dénonce pas cela, qui le fera ?
Quant au deuxième disciple de la religion d’amour et de paix, il ose invectiver Barbara Lefebvre, lui reprocher de distiller la haine, et affirme qu’aux États-Unis, les étrangers sont mieux accueillis qu’en France. Énormité qui fait réagir Brunet, qui pousse une salutaire colère. L’islamo se discréditera définitivement quand il racontera qu’aux États-Unis, un étranger sur trois qui commence chauffeur de taxi finira millionnaire !
Les deux femmes, avec deux sujets différents, mais fort complémentaires, auront exprimé chacune leur amour de leur France, mais aussi le même cri d’alarme : si on ne fait rien maintenant, c’est foutu !
En tous cas, sincères félicitations à ces deux combattantes d’exception, et à Éric Brunet, qui, même s’il n’a toujours rien compris à l’islam (et je crains que le cas ne soit désespéré) a quand même eu le courage, le premier jour du ramadan, d’inviter deux intervenantes politiquement très incorrectes.
Paul Le Poulpe

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