26 octobre 2018

Programmation arts visuels-histoire des arts CM 1 - Portraits

La programmation se trouve ici : 

Portrait de Jeanne Hébuterne, Amédéo Modigliani


 Amedeo Modigliani, Les Yeux bleus (Portrait de Jeanne Hébuterne) (1918)



Amedeo Modigliani, Portrait de Jeanne Hébuterne (1918), Pasadena, Norton Simon Museum.


Amedeo Modigliani, Portrait de Jeanne Hébuterne (1919), Kurashiki, musée d'art Ohara.


Amedeo Modigliani, Jeanne Hébuterne au grand chapeau (1918), collection privée.


Autoportrait Vincent Van Gogh


Autoportrait à Saint Rémy (1889)






La Joconde, Léonard de Vinci



Victor Hugo, sculpture de Rodin





Napoléon Ier sur son trône impérial, Ingres


Le joueur de fifre, Édouard Manet




Le cadrage

réaliser un portrait d'un musicien imaginaire avec différents cadrages

CADRE ET CADRAGE

Le cadrage est défini par l’artiste. Il correspond au choix du contenu de l’image, de ce qui doit être montré et de ce qui doit être laissé de coté. Voyons quels sont les principes du cadrage, l'échelle des plans ou encore les angles de prises de vue...

La construction de l'image : Cadre et cadrage

C'est dans la boîte !!! Les principe du cadrage

Dans le domaine de l'art pictural, le cadre est la limite de l'image.

 

La construction de l'image : Cadre et cadrage

Initialement, il fait références aux bords du tableau en peinture. Par extension, il désigne ce qui est montré à l'intérieur de ces limites mais aussi souvent l'encadrement réalisé par une bordure.

Dans le domaine audiovisuel et en photographie, ce terme, étendu au cadrage, désigne ce que l'artiste capture durant la prise de vue.

Dans tout cadrage, quel que soit le support, la première décision concerne le choix du format. Si le peintre a une maîtrise totale des dimensions de sa toile, le photographe doit, lui, réaliser un « recadrage » (suppression d'une partie de l'image après la prise de vue) pour parvenir au format choisi. En effet, la pellicule lui impose généralement des proportions de 4/3. Le cinéaste dispose d'un choix limité de formats, mais peut parvenir à plus de liberté grâce au split screen (écran séparés). 

 

La construction de l'image : Cadre et cadrageLa construction de l'image : Cadre et cadrage

A gauche photo en mode paysage, a droit en portrait. En dessous en panoramique.

 

La construction de l'image : Cadre et cadrage

Le format le plus courant est le format horizontal (dit également « paysage »). C'est le plus naturel car il correspond au champ de vision humain et est tout à fait adapté à la représentation de scènes larges, de plusieurs personnages. L'image est stable et équilibrée. Le format plus grand dans sa dimension horizontale, plus panoramique, est appelé « marine ».

L'orientation verticale (ou « portrait ») est moins spontanée. Elle permet de représenter un sujet en hauteur, tel qu'un personnage ou un immeuble. Ce cadrage donne une sensation d'action et de proximité.

La notion de cadre remonte aux premières représentations visuelles en ce que tout artiste reproduisant la réalité procède à un choix dans ce qu'il représente. Les éléments qui ne figureront pas dans l'œuvre sont « hors-cadre ». Ce choix est appelé « cadrage ». En cinéma, si le plan est fixe, le cadre et le champ correspondent. Si la caméra bouge, le champ est plus large que le cadre car le mouvement de caméra dévoile progressivement des éléments qui étaient hors-cadre.

 

La construction de l'image : Cadre et cadrage

Le cadrage est un choix artistique : il montre une partie de la scène et en cache une autre. Il attire l'attention et met en valeur certains éléments de la composition. À travers le cadrage, l'artiste décide de ce que le spectateur voit et ce qu'il ignore. Il peut ainsi faire jouer l'imagination du public et créer le doute, la crainte, la surprise.

La présence d’un cadre est un procédé hérité d’une longue tradition de présentation des peintures qui créé un effet de concentration sur l’image et invite à rentrer en elle, à faire abstraction de ce qui est en dehors.

L’absente de cadre est plutôt un procédé cinématographique qui invite à imaginer ce qui est hors des limites de l’image, le hors-champ.

Cadre et cadrage

 Mais qui les fait rire comme ça ? à vous de deviner...

Les angles de prises de vue

En vidéo, au cinéma et en photographie l’angle de champ correspond à l’angle qui délimite le champ couvert par l'objectif monté sur l'appareil de prise de vues. Il est coupé en son milieu par l'axe optique.

 

On distingue l'angle de champ horizontal de l'angle de champ vertical.

AngleDéfinitionIntérêt
Angle horizontal

Angle neutre ou horizontal

La construction de l'image : Cadre et cadrage

 

Cadrage à hauteur d’œil, parallèle au sol.Limite la vision naturelle.

 

Plongée

La construction de l'image : Cadre et cadrage

Le cadrage s’effectue au-dessus du sujet.Ecrasement du sujet. Le spectateur à l’impression de le dominer.

 

Contre plongée

La construction de l'image : Cadre et cadrage

 

Le cadrage effectué en contrebas du sujet.Effet de grandeur du sujet, impression d’infériorité du spectateur.
Angle vertical

 

Face

La construction de l'image : Cadre et cadrage

 

Le personnage regarde le spectateur.Fonction phatique : le spectateur se sent concerné.

 

Profil

La construction de l'image : Cadre et cadrage

 

Le personnage est vu de profil.Il est vu à son insu.

Trois-quarts

La construction de l'image : Cadre et cadrage

 

 

Tourné au ¾ par rapport au spectateur.Le sujet est vu à son insu.

Dos

La construction de l'image : Cadre et cadrage

 

Le personnage est présenté de dos.Enigme, Vision avec le personnage (le spectateur voit ce que le sujet regarde.

L’échelle des plans

L'échelle des plans correspond à la grandeur des êtres animés, objets ou éléments de décor représentés dans l'image par rapport à la taille de celle-ci. Elle ne dépend pas de l'agrandissement de l'image mais traduit un rapport de proportion entre le sujet et le cadre.

De manière générale, on peut dire que l'échelle des plans, en jouant de la distance, focalise ou au contraire dilue l'attention. Au cinéma, quand il s'agit d'individus, elle permet de mettre en place ou de refuser un rapport intime entre personnages et spectateurs, qu'il s'agisse de privilégier des aspects émotionnels (pouvant aller jusqu'à l'identification) ou de simplement communiquer des informations dont seuls les protagonistes de l'action et le spectateur auraient connaissance.

 

PlanDéfinitionIntérêt
Plans larges

 

Plan général

La construction de l'image : Cadre et cadrage

 

Représente la totalité d’un décor ou d’un personnage.Immensité, présentation du décor, solitude du personnage, éloignement par rapport au spectateur.

 

Plan d’ensemble

La construction de l'image : Cadre et cadrage

 

Personnage perceptibles dans leur environnement.Action inscrite dans l’environnement.

 

Plan demi-ensemble

La construction de l'image : Cadre et cadrage

 

Décor plus resserré.Action au centre de l’image.
Plan personnage

 

Plan moyen

La construction de l'image : Cadre et cadrage

Personnage en

pied.

Concentre l’attention sur le personnage.

 

Plan italien

La construction de l'image : Cadre et cadrage

 

Personnage coupé au niveau de la cheville ou du molletIdem que le plan moyen.

 

Plan américain

La construction de l'image : Cadre et cadrage

 

 

Personnage coupé mi-cuisse (en dessous des pistolets dans les westerns).Souvent utilisé pour les conversations.

 

Plan rapproché

La construction de l'image : Cadre et cadrage

 

Cadre le personnage à partir de la ceinture, de la poitrine ou des épaules.Exprime l’intimité du personnage, souligne ses sentiments.

 

Gros plan

La construction de l'image : Cadre et cadrage

Cadre un objet, un visage.Supprime les distances, permet l’empathie, l’intimité (voir code proxémique).

 

Très gros plan

La construction de l'image : Cadre et cadrage

 

Cadre une partie du corps, du visage ou d’un objet.Attire l’attention sur les détails, leur donne de l’importance.

Echelle des plans – cadrages – De quoi s’y retrouver

Echelle des plans – cadrages – De quoi s’y retrouver
Echelle des plans – cadrages – De quoi s’y retrouver

Une des clés lorsque l’on étudie ou que l’on construit une image, c’est l’organisation des éléments proposée dans un cadre. Que ce soit le cadre du tableau, celui de la vignette de bandes dessinées ou celui de l’écran cinématographique les personnages, les objets ou le décor prennent des proportions significatives. L’exposé suivant vous propose une explication de ce que l’on appelle échelle des plans en images, ses différents niveaux et leur signification, une planche synthétique et une carte à remplir pour les élèves. .

Les images sont organisées en plans. Le plan est la portion d’image représenté dans chaque case.

L’échelle des plans correspond à la taille des personnages, objets ou éléments de décor présents dans l’image et leur rapport entre eux. Elle ne dépend pas de l’agrandissement de l’image mais traduit un rapport de proportion entre le sujet et le cadre. Les deux peuvent être équivalents mais la plupart du temps, l’un prend le pas sur l’autre.

Ainsi, selon la place qu’occupe le sujet ou le décor, sachant qu’un peu s’absenter au profit de l’autre, on pourra faire dire à l’image des choses différentes. Tout dépend du sens de la scène, chaque plan a sa valeur.

La notion d’échelle des plans permet de classifier les images à partir de deux données essentielles : d’une part la place prise par le personnage dans le cadre, d’autre part la place prise par le décor dans le cadre.

Ainsi, quand on cadre un personnage, plus on s’approche de lui pour arriver à un gros plan, moins on laisse d’espace dans le cadre pour le décor. Parfois le décor disparaît totalement. Dans le cas contraire, plus on s’éloigne d’un personnage pour arriver à un plan d’ensemble, plus on laisse de place au décor, plus le personnage a tendance à disparaître dans ce décor.
On peut accomplir cette activité en interaction avec les élèves en les amenant à tirer les conclusions par eux-mêmes.

L’échelle des plans comprend un certain nombre de niveaux mais nous n’allons insister que sur quelques-uns, les plus courants, les plus faciles à caractériser.

On repère les différents plans par rapport à l’espace qu’ils laissent autour d’un personnage :

Plan général

Il permet de situer où se déroule l’action. (En cinéma ou vidéo, il doit durer assez longtemps pour que le spectateur puisse avoir assez de repères pour assimiler les informations que le réalisateur a voulu donner : comme indiquer une situation géographique dans laquelle l’action va évoluer par la suite, un groupe de personnes…)

Plan général Into the wild de Sean Penn

Plan général dans Into the wild de Sean Penn

Le plan d’ensemble

Le plan d’ensemble est très proche du plan général. Deux différences assez fréquentes : Il va se focaliser sur un lieu comme une rue ou une place et surtout les personnages seront suffisamment visibles pour que l’on comprenne leurs actions. Le contexte est cette fois-ci décrit à échelle humaine. Il permet donc de situer l’action mais en centrant l’attention sur un ou des personnages. Ces derniers peuvent être en mouvement.

On prend la totalité du décor et des personnages qui s’y trouvent. Les plans d’ensemble sont souvent utilisés comme introduction ou comme conclusion d’un film, reportage… car ils permettent de situer le cadre de l’œuvre.

Plan d’ensemble Le seigneur des anneaux – Le retour du roi de Peter Jackson

Plan d’ensemble dans Le seigneur des anneaux – Le retour du roi de Peter Jackson

Plan moyen ou Plan pied

Il cadre un ou plusieurs personnages en pied. Il concentre l’attention du spectateur sur le ou les personnages, éventuellement dans un espace qui les situe.

Braveheart Mel Gibson

Braveheart – Mel Gibson

Le Plan moyen ou Plan pied, cadre le personnage en entier, il faut veiller à laisser de la marge au dessus et en dessous de l’acteur.

Le voleur de Bagdad, Réalisateurs Ludwig Berger, Michael Powell, Tim Whelan

Le voleur de Bagdad, Réalisateurs : Ludwig Berger, Michael Powell, Tim Whelan

Le plan américain

, cadre le personnage à mi-cuisse (en dessous des poches de révolver). Il rapproche encore davantage le spectateur des personnages. Il est nommé ainsi car c’est le plan typique des films américains des années 1930 et 1940. Ce type de plan permet également de montrer plusieurs personnages lors d’un dialogue sans nécessiter de modifier la position de la caméra.

Plan américain Le bon, la brute et le truand de Sergio Leone

Plan américain dans Le bon, la brute et le truand de Sergio Leone

 

Plan américain dans Le bon, la brute et le truand de Sergio Leone

Le plan italien

c’est un plan montrant un personnage jusqu’au genoux.

plan italien la mort aux trousses d’Alfred Hitchcock 1959

plan italien : la mort aux trousses d’Alfred Hitchcock 1959

Plan rapproché taille

Ce plan cadre les personnages à la ceinture et montre principalement ce qu’ils disent et font sans pour autant attirer exagérément l’attention sur un détail précis de leur jeu. Il place les acteurs à la distance qui sépare les interlocuteurs d’une conversation, il accentue l’intimité, permet de lire les réactions psychologiques, le jeu du visage et des épaules. La durée de ce plan est en fonction du dialogue et de l’action en cours.

Atonement ou Expiation dans la version québécoise, Réalisateur Joe Wright

Atonement ou Expiation dans la version québécoise, Réalisateur : Joe Wright

Plan rapproché poitrine

Il a les mêmes fonctions que le plan rapproché taille, en accentuant un peu plus les traits du visage du personnage. C’est, par excellence, le plan du journaliste derrière son bureau. La durée – souvent importante – de cette valeur de plan est liée au dialogue.

Plan rapproché poitrine

Plan rapproché poitrine

 

Plan rapproché poitrine In the Mood for Love de Wong Kar-wai

Plan rapproché poitrine In the Mood for Love de Wong Kar-wai

Le gros plan

, cadre le personnage sous les aisselles ou isole un objet. On ne voit qu’une partie d’un personnage sur laquelle on veut attirer l’attention. Il permet de lire directement la vie intérieure d’un personnage, ses émotions, ses réactions les plus intimes. C’est le plan de l’analyse psychologique.

Gros plan dans Magnolia de P.T. Anderson

Gros plan dans Magnolia de P.T. Anderson

Le très gros plan

Il cadre un détail qui doit être mis en valeur. Il montre un seul objet, un détail du visage, par exemple. Généralement très bref, il sert la progression du récit ou du suspense en attirant l’attention sur un détail dramatiquement frappant.

Très gros plan

Très gros plan

 

La plongée :

vue de dessus. Ce plan donne un sentiment de domination.

Plan en plongé The Truman Show réalisé par Peter Weir

Plan en plongé The Truman Show réalisé par Peter Weir

 

 

Plongée, Inglorious Basterds réalisé par Quentin Tarantino

Plongée, Inglorious Basterds réalisé par Quentin Tarantino

La contre plongée : vue de dessous. On se sent écrasé, dominé par la scène. Ce plan donne un sentiment de vulnérabilité.

Contre plongée, Pulp Fiction, Quentin Tarantino

Contre plongée, Pulp Fiction, Quentin Tarantino

 

Certains cinéastes, tels que Wes Anderson, aiment à « baisser les yeux », multipliant les plans subjectifs en plongée dans leurs films pour dire l’isolement et la mélancolie de leurs anti-héros. D’autres, tels que Quentin Tarantino, ont la manie inverse, préférant toiser leurs personnages d’en dessous, en contre-plongée. En résulte, chez le réalisateur de Pulp Fiction, un effet de sublimation de ses personnages, qui paraissent plus grands que nature et imposent ainsi au spectateur leur tchatche toute-puissante – un peu à la manière des rappeurs, systématiquement shootés en contre-plongée dans les clips.

 

Contre plongée, MANTEGNA Andrea

Contre plongée, MANTEGNA Andrea

 

MANTEGNA Andrea (c.1431-1506), Mantoue, Palais ducal, Castello San Giorgio, fresques de la Chambre des Époux (Gonzague), et détail du du faux oculus de la voûte, vers 1465-1474

 

Hors champ :

ce qui est en dehors de l’image et qui n’est pas visible.

L’utilisation du hors-champ rajoute une dimension spatiale : le spectateur comprend que la scène se déroule au-delà du cadrage. Il ajoute au pouvoir narratif de l’image.

hors-champ

Hors champ

 

Hors-champ_Jacques-Tardi_120-rue-de-la-Gare

Hors champ Jacques Tardi, 120 rue de la Gare

Jacques Tardi, 120 rue de la Gare

Ci-dessus, deux hors-champ perceptibles : à gauche, l’escalier d’où arrive le policier, à droite une pièce dans laquelle on imagine un personnage (suggéré par la bulle) agonisant suite à un assassinat, (suggéré par les taches de sang) dans le champ).

Hors-champ-Alfred-Hitchcock-Fenêtre-sur-cour

Hors champ Alfred Hitchcock, Fenêtre sur cour

Alfred Hitchcock, Fenêtre sur cour

Le hors-champ peut susciter chez le spectateur des émotions très fortes (le suspense, la peur, l’angoisse…).

Champ : étendue embrasée de l’œil ou de l’objectif. Ce qui est cadré, visible. (Vocabulaire de la photographie)

Le champ est la portion d’espace réel, délimitée par le cadrage, qui est vu dans l’image. Le champ s’oppose au hors champ.

Cadrer, c’est organiser l’espace à l’intérieur du cadre : le champ. C’est aussi suggérer ce qui est en dehors du cadre : le hors-champ.

hors-champ

Hors champ

 

Dans cette scène de M le Maudit de Fritz Lang, la petite fille est dans le champ. Un personnage à chapeau, situé hors-champ, est fortement suggéré par son ombre, ainsi que par le regard de la fillette.

Contre-champ :

prise de vue opposée à la première.

Ces deux cadrages sont employés dans le cas de dialogue.

champ Quantum of Solace de Marc Forster

champ, Quantum of Solace de Marc Forster

contre champ Quantum of Solace de Marc Forster

Contre champ, Quantum of Solace de Marc Forster

 

Quantum of Solace de Marc Forster

Champ Isabelle Huppert et Jacques Dutronc dans Merci pour le chocolat

Champ Isabelle Huppert et Jacques Dutronc dans Merci pour le chocolat

contre-champ Isabelle Huppert et Jacques Dutronc dans Merci pour le chocolat

contre-champ Isabelle Huppert et Jacques Dutronc dans Merci pour le chocolat

 

Champ et contre-champ Isabelle Huppert et Jacques Dutronc dans Merci pour le chocolat

Panoramique : plan large de tout le panorama.

· Pour le cinéma, un panoramique est un mouvement de caméra.

· Pour la photographie, un panoramique est un format de photographie en largaur avec une faible hauteur. (à ne pas confondre avec le cliché radiographique du même nom et que l’on fait chez son dentiste).

Panoramique

Panoramique

 

 

En résumé

Echelle-des-plans-S.Ladic_e-cours-arts-plastiques.com

Echelle des plans – S.Ladic_e-cours-arts-plastiques.com

 

 

à vous de jouer !

Carte à remplir par les élèves :

Echelle-des-plans-2-S.Ladic_e-cours-arts-plastiques.com

Echelle-des-plans-2-S.Ladic_e-cours-arts-plastiques.com

 

Sources

S. Ladic 2015 Arts plastiques –

 

Si vous avez aimé cet article, vous aimerez aussi peut-être :

Séquence sur les portraits

https://docplayer.fr/16208196-Arts-visuels-pratiques-artistiques-et-histoire-des-arts-creations-et-etudes-de-portraits-objectifs-vises.html


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Aidez-moi à améliorer l'article par vos remarques, critiques, suggestions... Merci beaucoup.

Follow on Bloglovin
 

Archives (2011 à 2014)

Vous aimerez peut-être :

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...