1) Le rapport du National Reading Panel “Teaching Children To Read"
Publié en décembre 2000, ce rapport, très connu, a permis de mesurer concrètement l’importance du temps phonologique dans la lecture, y compris dans la compréhension du sens du texte. Il avait essentiellement pour but de comparer les résultats obtenus par les méthodes globales (whole language) et l’ensemble des pédagogies pratiquant l’apprentissage explicite du code alphabétique. Mais son cahier des charges n’avait pas été conçu pour comparer entre elles de manière statistiquement valable les différentes techniques d’apprentissage explicite du code alphabétique. Il ne constitue donc pas un document exploitable pour trancher entre ces deux types de techniques pédagogiques. Il est donc très surprenant que les chercheurs cosignataires des textes cités ci-dessus s’appuient sur ce document qui n’apporte pas de réponse à la question qu’ils se posent et qu’ils négligent, par contre, de prendre en compte les résultats de l’étude menée dans le comté de Clarkmannann, publié le 11 février 2005, qui a pour objectif de juger de l’efficacité comparée des méthodes phoniques.
2) Le rapport présenté par Rhona JONHSTON (department of Psychology, University of Hull) et Joyce WATSON (School of psychology, University of St Andrews) intitulé « The effects of synthetic phonic teaching on reading and spelling attainement, a seven year longitudinal study » comporte, en effet, des conclusions sans ambiguïté. Il montre clairement la supériorité des méthodes phoniques synthétiques dans l’apprentissage de la lecture et de l’orthographe (les études qui figurent dans ce rapport ont été récemment analysées et validées par des statisticiens.
Publié en décembre 2000, ce rapport, très connu, a permis de mesurer concrètement l’importance du temps phonologique dans la lecture, y compris dans la compréhension du sens du texte. Il avait essentiellement pour but de comparer les résultats obtenus par les méthodes globales (whole language) et l’ensemble des pédagogies pratiquant l’apprentissage explicite du code alphabétique. Mais son cahier des charges n’avait pas été conçu pour comparer entre elles de manière statistiquement valable les différentes techniques d’apprentissage explicite du code alphabétique. Il ne constitue donc pas un document exploitable pour trancher entre ces deux types de techniques pédagogiques. Il est donc très surprenant que les chercheurs cosignataires des textes cités ci-dessus s’appuient sur ce document qui n’apporte pas de réponse à la question qu’ils se posent et qu’ils négligent, par contre, de prendre en compte les résultats de l’étude menée dans le comté de Clarkmannann, publié le 11 février 2005, qui a pour objectif de juger de l’efficacité comparée des méthodes phoniques.
2) Le rapport présenté par Rhona JONHSTON (department of Psychology, University of Hull) et Joyce WATSON (School of psychology, University of St Andrews) intitulé « The effects of synthetic phonic teaching on reading and spelling attainement, a seven year longitudinal study » comporte, en effet, des conclusions sans ambiguïté. Il montre clairement la supériorité des méthodes phoniques synthétiques dans l’apprentissage de la lecture et de l’orthographe (les études qui figurent dans ce rapport ont été récemment analysées et validées par des statisticiens.
3) Ghislaine Wettstein-Badour, «
APPRENTISSAGE DE LA LECTURE : UNE DEMONSTRATION EXPERIMENTALE ET
THEORIQUE DE LA SUPERIORITE DE LA METHODE PHONIQUE SYNTHETIQUE
(ALPHABETIQUE) SUR TOUTES LES AUTRES APPROCHES PEDAGOGIQUES »
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