21 juin 2017

Attentats en Belgique

No-go-1
Pour l'Islam radical, c'est-à-dire qui suit à la lettre les textes islamiques (Coran, Sunna, tafsir), les femmes sont soit putes (à voiler ou à violer), soit soumises (voilées, obéissantes, ayant le seul droit d'obéir aux mâles de leur entourage et de procréer des petits musulmans). Paradoxalement, des mouvements féministes et des médias dits progressistes soutiennent des femmes voilées défendant la charia dans les pays occidentaux.
Dans Bruxelles, la capitale de la Belgique qui est déjà à 20 pour cent musulmane,  plusieurs quartiers d’immigrés sont devenus des zones interdites aux policiers, qui sont fréquemment caillassés par des jeunes musulmans lorsqu’ils y pénètrent. Dans le district de Kuregem à Bruxelles, qui ressemble souvent à une vraie zone de guerre urbaine, la police doit patrouiller ce quartier avec deux cars de police : le premier pour transporter la patrouille, le second pour empêcher l’attaque du premier. Dans le quartier de Molenbeek à Bruxelles, la police a reçu les ordres de ne pas boire un café ni de manger un sandwich en public pendant le ramadan.

Voir Les « Zones interdites aux non-musulmans » prolifèrent en Europe.


Question simple : Pourquoi le gouvernement belge laisse-t-il faire ? Ont-ils des instructions de l'Union européenne
pour laisser faire les vandales et les laisser coloniser de larges pans du territoire sous des lois moyen-âgeuses et obscurantistes ? Ont-ils peur d'être accusés de racisme, d'islamophobie par les islamoracailles qui terrorisent la population ? Ce serait le comble, mais on a des exemples très nombreux en France d'aveuglement sélectif qui dure depuis des décennies (Télérama, Libération, France Inter, Parti socialiste, etc. la liste est très longue comme le bras de Mr Fanstastique) et j'imagine qu'en Belgique on assène aux bons citoyens crédules les mêmes doctrines pseudo-progressistes qui sont en fait tout bonnement, sous les couleurs saintes de la gauche, de l'amour, du progrès, de la tolérance et de l'antifascisme, des collaborations avec l'extrême-droite la plus radicale et la plus active du moment : le fondamentalisme islamique, aussi appelé par certains nazislamisme : haine des juifs, haine des chrétiens, appel au jihad, haine des homosexuels, ravalement des femmes au rang de citoyens de seconde zone, devenant toutes des quasi-esclaves des mâles de leur famille, pas de tolérance, ni de liberté d'expression, soumission de la vie privée au contrôle de polices de la charia, persécutions des minorités religieuses, persécution et mis au pas des femmes, endoctrinement des enfants dès le plus jeune âge. On en voit des expressions réalisées dans les régimes politiques et sociaux de l'Arabie saoudite ou de l'Iran. Sunnites ou chiites, ce sont des régimes totalitaires avec des exécutions d'homosexuels, d'apostats, d'adultères, de contestataires toutes les semaines.

Les musulmans qui souhaiteraient s'intégrer ne peuvent pas le faire correctement, car ils sont stigmatisés, humiliés et parfois violentés (surtout les femmes) par les franges les plus radicales. Le gouvernement et la presse ferme les yeux. Aucune action légale ou sociale d'envergure ne vient contrebalancer la croissance des franges extrémistes et leur main-mise grandissante sur la société. Pourquoi déjà ne pas renvoyer tous les nazis musulmans dans leur pays d'origine et ne garder que les bons citoyens ? 



VIDÉO - L'homme dont la valise a explosé dans la gare mardi soir avant qu'il ne soit abattu par des militaires en patrouille a été identifié, a annoncé mercredi le ministre de l'Intérieur Jan Jambon. Une conférence de presse du parquet fédéral belge est attendue à 11 heures.

Correspondant à Bruxelles

Des militaires en patrouille à la gare centrale de Bruxelles ont «neutralisé», ce mardi peu avant 21 heures, un individu après une explosion suspecte, a confirmé la police de la capitale un peu plus d'une heure après l'incident. Aucun (autre) blessé n'est à déplorer selon la même source, et la situation est à nouveau maîtrisée dans le bâtiment, l'un des plus fréquentés de la ville.

L'homme est soupçonné d'avoir voulu perpétrer un attentat et dont la valise a explosé dans la gare de Bruxelles-Central mardi soir est mort, a annoncé le parquet fédéral belge. Après l'explosion de «faible puissance» de son bagage dans un couloir de la gare, qui a été évacuée dans la foulée, des soldats ont ouvert le feu sur le suspect.

Des témoins ont fait état de tirs. Selon le site du quotidien Het Laatste Nieuws, l'individu aurait crié «Allah U Akbar» (Dieu est le plus grand) avant une petite explosion. Les soldats en faction se seraient alors rués vers lui, avant d'ouvrir le feu. Le parquet fédéral a indiqué peu avant minuit que l'explosion était «considérée comme une attaque terroriste».

Le ministre de l'Intérieur, Jan Jambon, a annoncé mercredi que l'identité de l'homme abattu mardi soir était désormais connue, laissant par ailleurs entendre que des perquisitions étaient en cours. Il n'a cependant divulgué aucun nom, renvoyant pour plus de détails à une conférence de presse du parquet fédéral belge prévue à 11 heures. Le premier ministre belge, Charles Michel, et des membres du gouvernement étaient réunis mercredi matin pour un Conseil national de sécurité, en présence de représentants des services de sécurité du pays. «Merci à nos soldats, aux services de sécurité et au personnel de la SNCB (la compagnie ferroviaire belge, ndlr) pour leur professionnalisme et leur courage», a-t-il écrit sur son compte Twitter.

Mouvement de panique

Le périmètre de la gare et celui, tout proche, de la Grand Place, au cœur touristique de la capitale belge, ont été évacués et bouclés. Un mouvement de panique a éclaté dans le hall d'attente et sur les voies. Le trafic ferroviaire a été interrompu mais la circulation du métro a été rétablie peu avant 23 heures . Plus d'une heure après l'incident, le ballet des voitures de police se poursuivait près du centre historique, sous la surveillance d'un hélicoptère de la police.

Bruxelles a été la cible d'attentats-suicides à l'aéroport et dans une station de métro en mars 2016, avec un bilan de 32 morts. La capitale belge a aussi été le point de départ de commandos de l'Etat islamique qui ont tué 130 personnes à Paris, en novembre 2015.

L'incident, qui s'est produit après des attentats répétés à Londres et une attaque sur les Champs-Elysées à Paris, survient à moins de 48 heures d'un sommet européen. Les vingt-huit chefs d'Etat et de gouvernement ont rendez-vous dans un quartier excentré de la capitale belge, régulièrement transformé en camp retranché pour la circonstance. La ville, en alerte rouge, est en permanence patrouillée par des soldats et des policiers en armes, depuis l'automne 2015.


En Belgique, le dernier incident remonte à la fin mars, lorsque la police d'Anvers a arrêté le chauffeur d'une voiture qui avait semé la panique en s'engageant à vive allure dans une rue piétonne du grand port de la mer du Nord. Ressortissant tunisien résident en France, l'homme a été rapidement inculpé de tentative d'assassinat à caractère terroriste. Mais des doutes sérieux subsistent sur son mobile.



Les « Zones interdites aux non-musulmans » prolifèrent en Europe

 Un article de Soeren Kern dans Hudson NY sur «l'occupation sans tanks ni soldats» des villes européennes.

Les islamistes intensifient la création de zones interdites aux non-musulmans dans les villes d’Europe.
La plupart de ces « zones interdites » fonctionnent comme des micro-états gouvernés par la charia. Les autorités des pays d’accueil ont, en effet, perdu le contrôle de ces quartiers et dans plusieurs cas, les services publics n’ont plus accès, tels que la police, les pompiers et les ambulances.
Les « zones interdites » sont le résultat de décennies de politique multiculturelle qui ont encouragé les musulmans à créer des sociétés parallèles et à vivre dans l’auto-ségrégation plutôt que de s’intégrer dans leurs pays d’accueil européens. 

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En Grande-Bretagne, par exemple, le groupe musulman « Muslims against the Crusades » a lancé une campagne pour transformer douze villes anglaises, incluant ce qu’ils appellent « Londonistan », en états islamiques indépendants. Ces soi-disant émirats islamiques fonctionneraient comme des enclaves autonomes, soumises à la charia et opérant complètement en dehors du droit britannique.
Cet « Islamic Emirates Project » cite les villes de Birmingham, Bradford, Derby, Dewsbury, Leeds, Leicester, Liverpool, Luton, Manchester, Sheffield, ainsi que Waltham Forest au nord-est de Londres, et Tower Hamlets à l’est, en tant que territoires appelés à être entièrement soumis à la charia.
A Tower Hamlets (aussi nommé République islamique de Tower Hamlets) des prédicateurs musulmans dénommés Tower Hamlets Talibans profèrent régulièrement des menaces de mort contre les femmes ne portant pas le voile. Les rues avoisinantes ont été placardées d’affiches avertissant : « Vous entrez dans une zone contrôlée par la charia : la loi islamique s’applique ici ». Toutes les publicités jugées offensantes pour les musulmans sont systématiquement vandalisées ou recouvertes de spray noir.

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A Luton, dans le quartier de Bury Park, les musulmans sont accusés d’opérer un nettoyage ethnique en harcelant les non-musulmans au point que la plupart ont déménagé loin du voisinage des musulmans. Dans les West Midlands, deux prédicateurs chrétiens ont été accusés de « crime de haine » pour avoir distribué des feuillets des évangiles dans une zone à prédominance musulmane de Birmingham. A Leytonstone, à l’est de Londres, l’extrémiste musulman Abu Izzadeen a hurlé : « Comment osez-vous venir dans une zone musulmane ? » contre le précédent Home Secretary, M. John Reid.
En France, de larges secteurs de quartiers musulmans sont considérés comme « zones de non-droit » par la police française. Récemment on a décompté 751 « zones urbaines sensibles, les ZUS » comme on les appelle par euphémisme. Une liste complète de ces ZUS se trouve sur un site officiel du gouvernement français, avec cartes satellites et démarcations précises des rues. On estime à cinq millions les musulmans vivant dans ces ZUS, des zones entières dont la République française a perdu le contrôle.
Les immigrés musulmans prennent le contrôle d’autres parties de la France. A Paris et dans les autres villes françaises avec une nombreuse population musulmane, telles que Lyon, Marseille et Toulouse, des milliers de musulmans ferment les rues et les trottoirs (et par conséquent, ferment les commerces et piègent les non-musulmans dans leur appartement ou leur bureau) afin de laisser des hordes de musulmans faire leur prière du vendredi. Certaines mosquées commencent même à faire hurler des haut-parleurs avec leurs prêches et leurs allah akbar dans les rues.
Ces spectacles hebdomadaires, documentés sur des douzaines de vidéos postées sur You Tube (iciiciiciiciiciiciiciici et ici) ont été dénoncés comme une « occupation sans tank ni soldats » et provoquent la rage et l’incompréhension des populations. Malgré de multiples plaintes, les autorités locales refusent d’intervenir car elles craignent de susciter des émeutes.
Dans Bruxelles, la capitale de la Belgique qui est déjà à 20 pour cent musulmane,  plusieurs quartiers d’immigrés sont devenus des zones interdites aux policiers, qui sont fréquemment caillassés par des jeunes musulmans lorsqu’ils y pénètrent. Dans le district de Kuregem à Bruxelles, qui ressemble souvent à une vraie zone de guerre urbaine, la police doit patrouiller ce quartier avec deux cars de police : le premier pour transporter la patrouille, le second pour empêcher l’attaque du premier. Dans le quartier de Molenbeek à Bruxelles, la police a reçu les ordres de ne pas boire un café ni de manger un sandwich en public pendant le ramadan.
En Allemagne, Bernhard Witthaut, commissaire de police, a déclaré le 1er août au journal Der Westen, que les immigrés musulmans sont en train d’imposer des zones interdites dans de nombreuses villes allemandes, à une vitesse alarmante.
Dans cet article le journaliste demande à M. Witthaut : « Dans ces zones urbaines, par exemple dans la Ruhr, où des quartiers entiers sont des zones interdites, cela signifie-t-il que la police n’y assure plus la sécurité ? » M. Witthaut répondit : « Les commissaires de police et le ministre de l’Intérieur nient ces faits. Mais évidemment, nous savons très bien où nous pouvons aller avec une voiture de police et où il nous faut un véhicule de transport de troupes. La raison véritable c’est que nos collègues ne peuvent plus y aller en équipes de deux et ont peur de devenir eux-mêmes les victimes d’un crime.  Nous savons que ces zones existent. Et ce qui est plus grave : dans ces zones, les auteurs de crimes ne sont même plus inculpés. Ces zones sont livrées à elles-mêmes, abandonnées. Il faut vraiment un cas très grave pour que nous, les policiers, en ayons des échos. Le pouvoir de l'Etat est totalement absent de la scène ».
En Italie, les musulmans ont pris le contrôle de la Piazza Venezia à Rome pour les prières de rue. A Bologne, les musulmans menacent régulièrement de faire sauter la Cathédrale San Pietronio car elle contient une fresque vieille de six siècles inspirée de l’Enfer de Dante et qui dépeint un Mahomet tourmenté par des diables de l’enfer.
Aux Pays-Bas, un tribunal hollandais a exigé du gouvernement de publier une liste politiquement incorrecte des 40 zones interdites de Hollande. Les cinq quartiers musulmans les plus problématiques sont à Amsterdam, Rotterdam et Utrecht. Le quartier Kolenkit à Amsterdam est le problème numéro un du pays. Ensuite les trois districts dangereux sont Pendrecht,  Het Oude Noorden et Bloemhof à Rotterdam. Le quartier Ondiep à Utrecht arrive en cinquième position suivi de Rivierenwijk (Deventer) Spangen (Rotterdam), Oude Westen (Rotterdam), Heechterp/Schieringen (Leeuwarden) et Noord-Oost (Maastricht).
En Suède, qui possède les lois les plus généreuses pour l’immigration en Europe, de larges territoires au sud de Malmö, qui a plus de 25 pour cent de musulmans, sont des zones interdites aux non-musulmans. Les pompiers et les ambulances refusent d’entrer dans les quartiers musulmans tels que Rosengaard sans une forte escorte policière. Le chômage masculin à Rosengaard est supérieur à 80 pour cent. Quand les pompiers essayèrent d’éteindre un incendie à la mosquée principale de Malmö, ils furent reçus à coups de cailloux.
Dans la ville suédoise de Göteborg, les jeunes musulmans lancent des cocktails Molotov sur les voitures de police. Dans le quartier d’Angered, où plus de quinze voitures de police ont été détruites, des jeunes ont même pointé des lasers en direction des yeux des policiers, certains d’entre eux furent temporairement aveuglés.
Dans le quartier de Backa à Göteborg, des jeunes ont lancé des pierres sur les patrouilles de police. La police a aussi des difficultés pour empêcher que les jeunes brûlent des voitures et attaquent les services d’urgence et de secours dans plusieurs quartiers de la ville.
Selon un Iman basé à Malmö, Adly Abu Hajar : « La Suède est le meilleur état islamique au monde ».

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