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Facebook suspends Catholic priest for criticizing Islam (18.06.2017)
After London jihad massacre, Facebook removes video claiming connection between terrorism and Islam (06.06.2017)
Twitter bloque Politwoops, un site qui conservait les tweets supprimés des politiques (05.06.2015)
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Facebook suspends Catholic priest for criticizing Islam (18.06.2017)
After London jihad massacre, Facebook removes video claiming connection between terrorism and Islam (06.06.2017)
Twitter bloque Politwoops, un site qui conservait les tweets supprimés des politiques (05.06.2015)
Twitter
bloque l'accès à des sites jugés nocifs par la Turquie. Censure? (20.04.2014)
Facebook n'aime pas les seins nus postés sur le compte de la journaliste Caroline Fourest (22.11.2012)
Facebook n'aime pas les seins nus postés sur le compte de la journaliste Caroline Fourest (22.11.2012)
Ces trois sites mondialement connus aux milliards d'utilisateurs se font peut-être le
complice de dictatures et de régimes totalitaires persécutant, emprisonnant et
tuant des citoyens pour le seul crime d'avoir émis des opinions qui ne plaisent
pas.
Ils se font également peut-être le complice
de l'islamisation radicale en bloquant les sites ou les comptes critiques
envers l'islamisme.
A mon avis, si ces informations étaient avérées, ces sites devraient être jugés dans les pays démocratiques pour complicité avec le terrorisme et complicité de crimes contre les droits de l'homme et leurs peines devraient être des amendes de plusieurs milliards de dollars et l'institution d'un contrôle public sur les bans et avertissements.
Bloquer la lutte idéologique contre le jihadisme, c'est en effet empêcher les musulmans eux-mêmes de se déradicaliser, empêcher les non-musulmans de connaître les menaces mortelles qui pèsent sur eux, empêcher de réfléchir au problème de la radicalisation et a fortiori à des actions politiques et éducatives efficaces pour résoudre ce problème.
Facebook, Twitter et Youtube ont sans doute du sang sur leurs mains virtuelles, beaucoup de sang.
Facebook, Twitter et Youtube ont sans doute du sang sur leurs mains virtuelles, beaucoup de sang.
Twitter bloque Politwoops, un site qui conservait les
tweets supprimés des politiques (05.06.2015)
Twitter avance que son entreprise protège la vie privée de
tous ses utilisateurs, simples anonymes ou personnalités publiques.
Le Monde.fr | 05.06.2015 à 11h32 • Mis à jour le 05.06.2015
à 14h17
Twitter a bloqué l’accès de son API, son interface de
programmation, à Politwoops, un site qui répertorie les tweets supprimés d’hommes
et femmes politiques américains. Le site n’a donc plus la possibilité de tracer
les tweets effacés depuis le 15 mai. A l’appui de cette décision, Twitter
avance auprès du magazine Gawker que son entreprise protège la vie privée de
tous ses utilisateurs, simples anonymes ou personnalités publiques. « Préserver
des tweets supprimés viole notre accord de développeur », ajoute le
porte-parole du réseau social cité par Gawker.
Christopher Gates, le président de la fondation Sunlight –
organisation qui prône la transparence politique et a créé Politwoops – estime
que la décision de Twitter « rappelle qu’Internet n’est pas vraiment un espace
public ». Il souligne dans sa note de blog que le site avait été créé parce que
« ce que [les] élus disent est de notoriété publique, et Twitter est une partie
de plus en plus importante de la façon dont [les] élus communiquent avec le
public ».
Aux Etats-Unis, Politiwoops s’est par exemple illustré pour
avoir exhumé des tweets autour de la libération controversée du sergent
Bergdahl. En France, ce type de démarche a permis aussi de mettre au jour le
brin de ménage fait par le premier ministre Manuel Valls sur son compte Twitter
en août 2014.
Politwoops rendait accessible de façon indifférenciée les
tweets supprimés pour une faute d’orthographe comme ceux effacés pour des
raisons plus embarrassantes.
D’autres sites homonymes européens, pour autant à dissocier
de la fondation Sunlight, ne semblent pas avoir été touchés. Le site Politwoops
reste actif ; cependant, il ne permet d’accéder qu’aux tweets conservés entre
2012 – sa date de création – et cette rupture.
Facebook interdit de critiquer l'Islam ! (20.02.2015)
Facebook vient d’annoncer l’adoption d’une politique
drastique pour supprimer des pages ou des publications visant à critiquer
l’islam. Selon le site d’information Top Conservative News, Facebook aurait
recruté plusieurs personnes dans trois différents pays pour accomplir cette mission.
Elles seraient payées $1.50 de l’heure afin de supprimer toute publication ou
l’islam serait critiqué. La moitié de ces employés effectueraient cette tâche
depuis un bureau basé au Maroc, poursuit la même source.
Cette nouvelle politique de Facebook intervient après
l’ultimatum lancé par le Premier ministre Turc, au lendemain de l’attaque
contre Charlie Hebdo. Ahmet Davutoglu qui avait participé à la marche pour la
liberté d’expression à Paris, avait bloqué l’accès à des centaines de site
internet qui avait publié les caricatures du journal satyrique.
Le gouvernement turc avait demandé à Facebook de choisir
entre “Bannir les critiques contre l’islam ou l’interdiction de Facebook en
Turquie”. Facebook avait alors répondu qu’il instituait une interdiction
mondiale sur la critique de l’islam sur son réseau social.
Cette annonce intervient deux semaines après que Marc
Zuckerberg s’était engagé publiquement à soutenir la liberté d’expression après
les meurtres de Charlie Hebdo.
Source
Maroczone et plein d’autres sites
Twitter bloque des sites anti-Islam à la demande du
Pakistan (23.05.2014)
Pour la première fois, Twitter a déployé au Pakistan son
outil pour masquer du contenus.
Publié le vendredi 23 mai 2014 à 14h01
Le site de microblogage Twitter a bloqué pour la première
fois au Pakistan du contenu web portant atteinte au prophète de l'islam Mahomet
à la demande des autorités, a appris l'AFP vendredi. Le Pakistan avait
brièvement bloqué Twitter en mai 2012 en raison de la diffusion de contenus
"blasphématoires" relatifs à un concours controversé de caricatures
du prophète Mahomet.
Le "pays des purs" avait aussi à l'époque demandé
à Facebook de retirer du contenu heurtant "les sentiments des
musulmans", mais le géant américain s'était alors plié à sa demande.
Quelques mois plus tard, le Pakistan avait interdit YouTube après la diffusion
du film anti-islam "L'innocence des musulmans"
Une première pour Twitter
Or le retrait par Twitter de contenus à la demande du
Pakistan constitue une première pour ce site et a permis de bloquer quelques
liens olé-olé et surtout relatifs à l'édition annuelle d'un concours de
caricatures de Mahomet.
Du 5 au 14 mai dernier, l'Autorité pakistanaise des télécoms
(PTA) a demandé à cinq reprises à Twitter de bloquer l'accès à des tweets
"blasphématoires" et des comptes de stars du porno comme Belle Knox.
Ces données ont été rendues publiques cette semaine par le
"Chiling effects Clearinghouse", un partenariat entre de grandes
universités américaines comme Harvard et Twitter visant justement à diffuser
ces demandes de blocage de contenus. "Pour la première fois, Twitter a
déployé au Pakistan son outil pour masquer du contenus...", souligne ce
projet sur son site internet.
Vendredi, l'AFP à Islamabad a tenté de consulter ces
"tweets" controversés mais un message en anglais apparaissait à
l'écran pour préciser qu'ils étaient "bloqués au Pakistan". Certains
comptes ont aussi été "suspendus" de Twitter hors du pays.
Le blasphème : un sujet épidermique
Au Pakistan, le contrôle du web et les questions relatives
au blasphème sont des sujets épidermiques. La loi sur le blasphème,
actuellement au cœur d'un vif débat opposant les autorités à de chaînes de
télévision, prévoit en effet jusqu'à la peine de mort pour les personnes
dénigrant Mahomet.
En parallèle, des associations pour un libre accès au web
critiquent le secret entourant le "Comité inter-ministériel sur
l'évaluation des sites internet", organe de l'ombre qui dicte à l'Autorité
des télécoms le contenu à purger de la toile.
Début mai, le parlement pakistanais avait voté à l'unanimité
en faveur de la levée de l'interdiction de YouTube, mais le site de partage de
vidéos demeure toujours bloqué.
Twitter bloque l'accès à des sites jugés nocifs par la
Turquie. Censure? (20.04.2014)
Twitter a réaffirmé dimanche qu'il n'était pas question
d'aller plus loin dans les exigences d'Ankara - © Loïc Venance
Publié le dimanche 20 avril 2014 à 09h01
Facebook
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Le réseau Twitter a bloqué l'accès dimanche à deux sites en
Turquie, accusés par le régime islamo-conservateur de diffuser des fuites
attestant d'actes de corruption visant le Premier ministre, Recep Tayyip
Erdogan, en son entourage.
Cette décision intervient après des contacts effectués la
semaine dernière en Turquie par des émissaires de la société américaine qui a
été bloquée par les responsables gouvernementaux turcs pendant plus de dix
jours avant que la Cour suprême turque en décide le contraire.
Les deux sites incriminés, jugés nocifs par les autorités
d'Ankara, avaient diffusé quotidiennement lors de la campagne pour les
élections municipales du 30 mars des enregistrements de conversations
téléphoniques mettant en cause le gouvernement et personnellement le Premier
ministre et des membres de sa famille dans un vaste scandale de corruption et
de malversation.
Mais Twitter a réaffirmé dimanche qu'il n'était pas question
d'aller plus loin dans les exigences d'Ankara et de "fournir des
informations sur les détenteurs des comptes simplement parce qu'un gouvernement
les réclame".
Ankara souhaitait notamment obtenir des informations
précises sur les détenteurs de dizaines d'autres comptes litigieux.
M. Erdogan avait exigé que Twitter ouvre un bureau de
liaison en Turquie et paie des impôts mais la société de microblogging a
décliné, refusant d'ouvrir une représentation dans un pays où elle était
interdite.
Le site de partage de vidéos YouTube est par ailleurs
toujours interdit d'accès en Turquie depuis le 28 mars après avoir diffusé une
bande sonore d'une réunion confidentielle des responsables turcs évoquant
l'hypothèse d'une intervention militaire en Syrie voisine.
Facebook n'aime pas les seins nus postés sur le compte de la
journaliste Caroline Fourest (22.11.2012)
© AFP
Texte par Charlotte BOITIAUX
Dernière modification : 22/11/2012
Facebook a bloqué ce jeudi le compte Facebook de Caroline
Fourest. Raison invoquée : la journaliste a publié sur sa page des photos de
militantes de Femen, seins nus, prises lors du rassemblement anti-mariage gay
du mouvement Civitas.
"Facebook est hallucinant. Il relaie des pages incitant
à me tuer, moi et d'autres... Mais veut bloquer mon compte parce que je mets en
ligne des images des Femen [militantes féministes ukrainiennes, ndlr]... Et
qu'elles sont seins nus ! Pauvre liberté d'expression entre les mains de
critères anglo-saxons…" Voici le message posté par Caroline Fourest sur la page officielle Facebook - encore active - qui
lui est consacrée.
Contactée par FRANCE 24, la journaliste confirme que Facebook a suspendu
son compte. "Je sais que je ne suis pas la première à subir ce genre
d’injustice. Facebook a déjà bloqué la page de 'Charlie Hebdo' parce que
l’hebdomadaire avait publié des photos de femmes seins nus",
explique-t-elle. "Mais quand je vois que les pages haineuses qui me sont
dédiées sont, elles, toujours actives, je trouve ça consternant",
ajoute-t-elle. Plusieurs pages
anti-Caroline Fourest existent en effet sur le réseau social,
certaines l’accusant notamment de "mensonges" et d'être une
"fausse journaliste".
Caroline Fourest porte plainte pour coups et blessures
Dimanche 18 novembre, lors de la manifestation anti-mariage
pour tous organisée par le mouvement catholique intégriste Civitas, Caroline Fourest et Inna Shevchenko, membre des Femen, ont été
agressés. Elles ont porté plainte contre X pour coups et blessures. Deux
jours plus tard Civitas annonçait lui aussi porter plainte contre les membres
de Femen pour agression.
Cet événement intervient quelques semaines après un cas
similaire de censure sur le célèbre réseau social : au début du mois de
novembre, les fondatrices du mouvement féministe arabe
"Uprising women of the Arab World" avaient elles aussi fait face à la
fermeture de leurs comptes. Selon elles, Facebook auraient bloqué leurs
pages personnelles après la publication de photographies de femmes arabes qui
avaient posé sans leur voile.
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