Un policier battu à mort au Cachemire indien (23/06/2017)
Le policier qui a sorti son arme à Rennes a bien été menacé et agressé (20.06.2017)
Militants d'extrême-gauche (prétendus antifa), trafiquants de drogue, racailles des cités, ils s'en prennent très fréquemment aux policiers et aux gendarmes, c'est-à-dire aux personnes chargées de faire respecter les lois de la République, et donc en fait ils s'en prennent à tous les citoyens de manière indirecte.
Leur objectif est la prise de contrôle violente d'un territoire ou d'une population par la terreur ou, une fois ce territoire conquis dans les faits, la mise à distance de tout contrôle de l'Etat de droit sur des agissements criminels et nuisibles aux populations résidentes (trafic de drogue, établissement de la charia).
Caillassages, insultes, actes de vandalisme, passages à tabac, les policiers et gendarmes subissent des pressions violentes dans l'exercice de leur métier et doivent voir leurs rangs regonfler (augmentation des effectifs) et leur salaire augmenté de 20-30 %. Les peines encourues par les fauteurs de trouble doivent être à la mesure de la gravité de leurs actes. Les associations défendant ces criminels doivent le cas échéant être poursuivies pour complicité de trouble à l'ordre public.
Par Jean-Marc
Leclerc Publié le 30/06/2017 à 09:00
Face aux mouvements ultraviolents, les policiers se
préparent aux combats de rue (30/06/2017)
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2017/06/30/01016-20170630ARTFIG00077-face-aux-mouvements-ultraviolents-les-policiers-se-preparent-aux-combats-de-rue.php
Lors d'une manifestation «Ni Le Pen ni Macron» le 27 avril dernier, un motard de la police a dû sortir son arme pour ne pas être lynché par des ultras de la gauche révolutionnaire.
Lors d'une manifestation «Ni Le Pen ni Macron» le 27 avril dernier, un motard de la police a dû sortir son arme pour ne pas être lynché par des ultras de la gauche révolutionnaire.
Contre les ultraviolents de l'extrême gauche qui
s'organisent afin de s'opposer aux réformes sociales annoncées, les forces de
l'ordre attendent des pouvoirs publics qu'ils les munissent d'outils efficaces
et leur délivrent des consignes claires.
La grogne sociale dans les semaines qui viennent, les forces
de l'ordre la redoutent plus que tout et elles le disent. «Il n'y a plus de
pause. Avant, il y avait le 14 Juillet et le Tour de France, et puis tout se
calmait jusqu'à septembre. Aujourd'hui, c'est terminé. Il va falloir gérer en
même temps les mouvements de rue contre les réformes du président Macron, les
illuminés de Notre-Dame-des-Landes, la lutte contre le terrorisme qui ne
faiblit jamais et la pression migratoire à Calais qui pourrait redevenir une
poudrière. Evidemment que les policiers sont inquiets!», s'exclame Philippe
Capon, le secrétaire général de l'Unsa Police.
«En tant que patron d'une unité des forces mobiles, j'espère
vivement que le ministre de l'Intérieur va faire preuve de fermeté», renchérit
un commandant de CRS. Selon ce policier aguerri, «les hommes sur le terrain
sont épuisés par ...
Un policier battu à mort au Cachemire indien (23/06/2017)
Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour le 23/06/2017 à 10:09 Publié le 23/06/2017 à 10:00
Un policier accusé d'espionner les fidèles de la grande mosquée du Cachemire indien a été frappé à mort devant la Jamia Masjid de Srinagar, ont rapporté aujourd'hui les autorités et des témoins.
La vallée de Srinagar, située dans la partie administrée par l'Inde de cette région poudrière, vit depuis avril au rythme d'une énième vague de violence. Les fusillades opposant rebelles aux forces de sécurité et les manifestations meurtrières contre New Delhi sont quasi-quotidiennes.
» Lire aussi - Au Pakistan, des manifestations contre l'intervention indienne au Cachemire
"Un nouvel officier de police a donné sa vie pour son devoir", a annoncé la police dans un communiqué vendredi, rapportant qu'il avait été "attaqué et frappé à mort par la foule".Tard dans la nuit d'hier, des personnes ont abordé Mohammad Ayub Pandith alors qu'il prenait des photographies avec son téléphone portable à l'extérieur de la mosquée de la vieille ville de Srinagar durant "la nuit du destin", un temps fort du ramadan musulman où se tiennent des prières nocturnes.
Selon des témoins, des fidèles ont demandé au policier, qui était en civil, de s'identifier. Saisi de panique, il a sorti son pistolet et tiré, blessant trois personnes. Son collègue, également en civil, s'est enfui.
"À ce moment-là, des jeunes se sont jetés sur lui, lui ont arraché son arme et plus de gens sont venus et ont commencé à le frapper", a relaté à l'AFP un témoin qui a souhaité conserver l'anonymat. La vieille ville de Srinagar, traditionnel théâtre d'affrontements entre manifestants et forces de sécurité indiennes, était sous couvre-feu vendredi par peur de nouveaux débordements.
Le policier qui a sorti son arme à Rennes a bien été menacé et agressé (20.06.2017)
Les nouvelles photos prouvent qu'un policier a bien été attaqué par deux individus, en marge d'une manifestation Ni Le Pen Ni Macron à Rennes le 27 avril 2017.Photo Vincent Feuray
Mercredi s’ouvre le procès de sept Rennais, poursuivis pour « violence aggravée » lors d’une manifestation où un policier a sorti son arme de service et mis en joue des manifestants. Une tribune publiée lundi dans Libération affirmait que le policier n'avait pas même été menacé. Des photos inédites que nous publions montrent que c'est inexact.
«Rennes, laboratoire de l’ordre En marche.» Plusieurs intellectuels, parmi lesquels l’économiste Frédéric Lordon ou l’éditeur Eric Hazan, ont publié lundi une tribune dans Libération pour dénoncer les méthodes de policiers et de magistrats qui, à Rennes, s’affranchiraient de plus en plus du droit commun. Ils prennent pour exemple «deux événements d’une extrême gravité».
«Le 30 mai, à 6 heures du matin, des dizaines de policiers cagoulés munis de fusils d’assaut défoncent des portes de logements à coups de bélier et procèdent à six perquisitions simultanées aux quatre coins de la ville. Sept personnes sont interpellées, dont deux mineurs.» Selon les auteurs de la tribune, ce sont à la fois les conditions et les cibles de la perquisition qui sont abusives : «Défonçage des portes, policiers suréquipés, armes braquées, plaquage et menottage au sol des interpellés. Or le choix des "cibles" montre qu’elles ont été choisies non pas en fonction de leur présence présumée sur les lieux de la manifestation (de fait certains ont pu prouver qu’ils n’y étaient pas) mais sur leur appartenance supposée à une mouvance anticapitaliste.»
La perquisition faisait suite à un autre événement : le 27 avril, lors d’une manifestation ayant pour mot d’ordre «ni Le Pen ni Macron», un motard de la police nationale avait braqué des manifestants. Ce sont certains de ces derniers qui seront jugés mercredi, accusés de «violence aggravée» et perquisitionnés à ce titre. La préfecture d’Ille-et-Vilaine avait qualifié à l’époque le geste de l’agent dans ces termes : «un geste de légitime défense» fait «avec sang-froid, tempérance et modération». Les auteurs de la tribune estiment pour leur part que c’est le comportement du policier qui pose problème : «Ce comportement dangereux et injustifiable d’un policier qui n’était nullement menacé, comme le montrent les vidéos, est devenu prétexte à une enquête contre de présumés manifestants pour… violence avec arme (un pommeau de douche dont on se serait servi pour intimider le motard), ce qui a justifié les perquisitions du 30 mai.»
Deux vidéos
Les auteurs de la tribune s’appuient sur une enquête publiée par le média indépendant Lundi.am, proche du Comité Invisible (collectif auteur de L’insurrection qui vient). Des témoins y racontent des «mouvements incompréhensibles de la police» qui ont mené à l’événement en question. Une «étudiante présente ce jour-là» raconte : «De notre côté [les manifestants], on était dans la crainte permanente de se faire nasser, parce que toutes les dernières manifestations à Rennes ont fini comme ça, et la dernière fois, le soir du premier tour c’était très violent. Donc à partir de ce moment-là, c’est normal qu’on se mette parfois à courir pour ne pas se faire encercler. L’histoire avec le motard, c’est ça qu’il s’est passé. […] Je pensais que les motards allaient de toute façon s’éloigner, comme ils le font à chaque fois. Courir vers eux, ça nous laissait une chance de passer. Sauf qu’un des motards est resté, par fierté peut-être. Il est descendu de sa moto, les gens lui ont dit de partir. Il est remonté sur sa moto, mais elle n’a pas démarré. Là il en est redescendu et il a braqué les gens. Après qu’il ait rangé son arme, il est remonté tranquillement sur sa moto. C’était la première fois que je voyais une arme à feu braquée comme ça sur nous, ça m’a saisi d’effroi. J’ai vraiment eu peur.».
La tribune explique également s’appuyer sur «des vidéos». Deux vidéos ont en effet été publiées le soir du 27 avril dernier, jour de la manifestation. La première (celle à laquelle la tribune semble faire référence) est une séquence diffusée par le site du quotidien localLe Télégramme. Des images qui permettent d’avoir une idée de la confusion qui régnait sur place au moment où le policier sort son arme, mais pas vraiment d’en déterminer les circonstances exactes. Une autre vidéo, diffusée par France 3 Bretagne le jour de la manifestation, permet en revanche d’en voir un peu plus. On y voit en effet le policier en question monter sur sa moto, avant d’en descendre alors qu’une dizaine de manifestants se ruent sur lui. Une vidéo qui semble donc contredire la version selon laquelle le policier n’aurait été «nullement menacé», sans pour autant permettre de trancher sur le déroulé exact de l’événement.
Lundi soir, quelques heures après la publication de la tribune, la préfecture a par ailleurs publié un tweet avec de nouvelles photos (qui n’étaient donc vraisemblablement pas à la disposition des signataires de la tribune). On y voit le policier sur sa moto, être attaqué par un groupe de manifestants. On peut assez facilement vérifier que ces photos (non sourcées) ont bien été prises au même endroit (rue de l’Alma à Rennes) que les deux vidéos du policier qui sort son arme. Sur ces clichés, on reconnaît d’ailleurs certains des protagonistes visibles sur les vidéos du policier qui sort son arme.
[REPONSE] @libe Après la tribune publiée ce jour, pour être complet et comprendre les événements qui ont précédé, consultez les photos
Deux photographes présents sur place racontent
Des clichés qui ne permettent toujours pas de comprendre le déroulé précis des faits. Mais un photographe présent sur place, Vincent Feuray, a capturé une bonne partie de l’événement, dans une série de photos qui n’avaient jusque-là jamais été publiées et que Libé révèle, et qui contredisent définitivement la version d’un policier «nullement menacé». Grâce à ces clichés et au récit du photographe, on peut en effet reconstituer la scène où les deux membres des forces de l’ordre présents rue d’Alma sont tour à tour agressés. Le premier (ou la première) est attaqué par deux individus, issus du cortège de tête de la manifestation. L’un lui lance une bouteille en verre, l’autre le frappe avec un robinet attaché à un flexible (et ne l’a donc pas «intimidé avec un pommeau de douche»). Le policier s’éloigne alors en moto et dépasse un de ses confrères. Deux manifestants s’approchent ensuite de ce deuxième policier, qui remonte sur sa moto avant d’en redescendre. Un groupe d’une dizaine de manifestants, dont celui armé du robinet, entourent rapidement la moto et agressent son conducteur. Les manifestants s’éloignent ensuite de ce dernier lorsqu’il sort son arme de service et met en joue les personnes qui lui font face.
Crédit photo : Vincent Feuray
Une version qui correspond point par point au récit qu’en avait fait un autre photo-reporter, témoin de la scène, Emmanuel Brossier, pour le média indépendant Taranis News. «La manifestation venait de la rue d’Isly pour se diriger vers le pont SNCF de la rue de l’Alma. Il y avait deux motards depuis le début, en tête de manifestation. A un moment, les deux se sont arrêtés. Un petit groupe s’est détaché du cortège pour attaquer le premier motard, qui a eu le temps de partir. Il a doublé son collègue pour se positionner quasiment sur le pont, 200 mètres plus loin», expliquait le photographe. «Le petit groupe s’est dirigé vers ce second motard de la police, qui est au départ descendu de sa moto pour tenter de les faire reculer. Il est remonté dessus pour partir, mais la moto à du caler, il n’a pas réussi à partir, il est redescendu alors que le groupe revenait à la charge et a sorti son arme de service pour mettre en joue le petit groupe et les faire reculer, en leur hurlant de reculer. Les manifestants (cortège compris) lui hurlaient de baisser son arme, certains ont tenté de venir récupérer le petit groupe.»
Indépendamment d’éventuels abus lors des perquisitions ou de ciblage de militants évoqués dans la tribune, ces éléments permettent d’affirmer que les policiers ont bel et bien été non seulement menacés, mais également agressés.
Commentaires :
Luc B.Featured
21 Juin 2017 à 14:50
Amende honorable de la part de Libé (sans doute mes
développements d'hier n'y sont pas totalement étrangers). Soit. Mais, à
présent, le groupuscule dit intellectuel, auteur de cette farce appelée
tribune, il nous raconte quoi aujourd'hui ? On l'imagine mal s'excuser - tout
cela fleure bon l'entre-soi gauchiste à revenus confortables. Je ne serai pas
ingrat ; voici mon conseil : une thérapie de groupe en Bretagne (vous verrez,
nous ne sommes pas si sauvages que ça ; par ailleurs nous avons l'eau courante).
3
poilonezFeatured
21 Juin 2017 à 14:31
Libé, mieux vaut tard que jamais.
Mais quand même....
3
Bernard L.Featured
21 Juin 2017 à 13:22
zh oui! les photos ça marche dans les deux sens!
GEORGES
M.Featured
21 Juin
2017 à 13:20
Le style de la tribune, sa logique interne, ses présupposés
éclatants, bref la "naïveté" de décrire la société française comme si
elle était passée sous la férule des SS, tendance idéologique mainte fois
illustrée par nombre de ses signataires, m'avait fait tiquer. Je sais
aujourd'hui pourquoi et n'en suis pas étonné.
Mais quid de Libération ? Aucun chef de service n'a eu la
réaction professionnelle élémentaire de s'interroger sur un tel texte ? De
demander aux signataires l'origine de leurs assertions ? De sonder un confrère
rennais sur les faits ? Il y a de quoi s'inquiéter.
Dernière remarque : le sang-froid du policier est
remarquable. Aux Etats-Unis, il aurait tiré. Il ne l'a pas fait ici, comme ne
l'avait pas fait, l'année dernière, à Paris, son collègue sorti in extremis
d'une voiture enflammée par des "manifestants" identiques à ceux de
Rennes.
2
OLIVIER T.Featured
21 Juin 2017 à 13:17
Les motards en tête de cortège sont là pour protéger les
manifestants en leur ouvrant la marche et en bloquant si nécessaire la
circulation. Dans ces circonstances, les attaquer en meute par derrière relève
non seulement d'une certaine lâcheté mais surtout de la bêtise.
4
Marc W.Featured
21 Juin 2017 à 12:58
Don Quichotte contre les moulins antifas contre fascisme
virtuel et contre les flics kapitalistes même combat
El_CoyoteFeatured
21 Juin 2017 à 12:35
Faut une sacrée maîtrise pour ne pas fumer le mec. Parce que
qu'est-ce que ça doit être tentant, ouh là là !
3
AntilepenpatentéFeatured
21 Juin 2017 à 13:15
@El_Coyote Effectivement quand on a une mentalité d'assassin
ça doit démanger.
Je comprends tout à fait votre frustration même si elle me
fait horreur.
Remi M.Featured
21 Juin 2017 à 12:23
Tout a l'honneur de Libe de publier un rectificatif / mea
culpa. Apres on peut aussi creuser un peu plus et arreter d'avoir un
comportement angelique avec des individus qui semment de plus en plus le
trouble a la moindre occasion
7
RENE P.Featured
21 Juin 2017 à 11:40
Merci d'avoir bien fait votre boulot de journalistes...
1
leloupFeatured
21 Juin 2017 à 11:7
Le problème de ces tribunes de pseudo-intellectuels, c'est
que Libé en vit.
7
MARC M.Featured
21 Juin 2017 à 12:27
@leloup Malheureusement je suis en accord avec cela.
La malhonnêteté intellectuelle d'un Lordon s'engouffre
aisément dans ces fake news avec autant de rigueur que dans ces diatribes
néo-stalinienne.
3
luvuzu-586@tmp-wlFeatured
21 Juin 2017 à 13:44
@leloup qu'ils publient une seconde tribune pour s'excuser
et la prochaine fois, eux, dégaineront peut-être moins vite leur clavier pour
défendre des "sauvageons" :-/
manonegro
m.Featured
21 Juin
2017 à 10:52
ACAB...
1
François F.Featured
21 Juin 2017 à 11:50
@manonegro m. : Aucun
respect pour ces petits bourges cagoulés qui desservent les mouvements sociaux
légitimes. ACAB ? rigolo va
6
manonegro m.Featured
21 Juin 2017 à 10:42
Ouais, ouais, pour un cas de flic potentiellement agressé,
combien de manifestants violentés, matraqués, gazés, nassés, embarqués, jetés
en gav, énucléés, morts par la police ?... Des flics qui mettent en joue des
manifestants sans aucune autre raison que celle de provoquer, c'est tous les
jours... Alors, pas la peine de donner des poignées de gravier aux petits fafs
du forum... Ils adorent ça... Avec une paille...
François F.Featured
21 Juin 2017 à 11:48
@manonegro m. : les manifs où il y a violences policières
sont systématiquement celles parasitées par des individus cagoulés (dans ton
genre sans doute). Je n'ai jamais été pris en nasse, gazé, placé en gav dans
les manifs auxquelles j'ai participé, entouré de gens sérieux et pas de petits
bourgeois sapés en noir. Quand tu crées des embrouilles, t'étonnes pas de
recevoir des coups en retour. Et puis tu veux quoi, que les médias occultent la
violence de certains "manifestants" ?
8
gilbert1 a.Featured
21 Juin 2017 à 12:25
@manonegro m.
Arrêtez d’être ridicule pour rester poli! Vous etes juste un
petit facho, de gauche peut être, mais facho quand même pret a justifier tout
et n'importe quoi pour imposer sa petite vision demago et dictatorial des
choses vision des choses.
5
Jo M.Featured
21 Juin 2017 à 12:54
@manonegro m. Que les flics violentent ou gazent CES
manifestant là, je ne vois pas de problème, je dirai même tant mieux.
Le problème, c'est quand les flics, sur ordre de leurs
supérieurs, laissent faire CES manifestant là (les laissent casser, bruler,
ect...) pour ensuite foncer et taper les manifestants qui n'ont rien demandé...
Ca fait de belles images à montrer sur TF1 et légitime l'usage de la force sur
des gens qui ne font aucun mal.
2
jean pierre b.Featured
21 Juin 2017 à 13:3
@manonegro m. t en a pas pris assez
2
poilonezFeatured
21 Juin 2017 à 13:12
@manonegro m.
" Des flics qui mettent en joue des manifestants sans
aucune autre raison que celle de provoquer, c'est tous les jours..."
Provoquer quoi?
Une bavure?
AntilepenpatentéFeatured
21 Juin 2017 à 13:18
@jean pierre b. @manonegro m. Vous par contre, vu comme vous
vous exprimez, vous avez dû prendre très très cher...
Emmanuel E.Featured
21 Juin 2017 à 10:32
La première règle en journalisme est de vérifier les nouvelles
que l'on publie. Cette histoire montre bien l'extrême légèreté d'un journal (si
on peut encore l'appeler ainsi) non d'informations, mais de dénigrements,
d'intoxication, d'à priori, de fausses vérités, de sentences et d'arrogances
qu'est devenu Libération, depuis M. Laurent j'ai tout compris sur tout Joffrin.
NON, au nom de la liberté d'expression, il n'est pas permis
dans un journal de publier n'importe quoi.
3
Jo M.Featured
21 Juin 2017 à 12:56
@Emmanuel E. Il y a le droit à l'erreur (jetez la première
pierre peu être?) qui est soumis à une obligation de rétablir la vérité, chose
faite...
Peut on en dire autant de tous les journaux?
Je trouve que c'est tout à l'honneur de Libé d'avouer s'être
trompé...
1
EMMANUEL E.Featured
21 Juin 2017 à 14:12
@Emmanuel E. Qui êtes-vous donc Emmanuel E. à porter même
prénom et initiale que moi-même ?! C'est embêtant parce que nous n'avons pas du
tout le m^me jugement sur Libération... Va sans doute falloir que je rende
reconnaissable mon nom...
bernard o.Featured
21 Juin 2017 à 10:23
Le centre de Rennes et de Nantes détruit des dizaines de
fois depuis 2 ans par ces extrémistes de gauche. De quoi créer un vrai
sentiment de révolte de la population.
Ras le bol
1
Marc A.Featured
21 Juin 2017 à 11:10
@bernard o.
Faut-il encore des preuves pour cette violence qui vise
nettement tous les représentant d'une autorité. On peut y inclure aussi les
pompiers, le personnel médical...etc. Ceux veulent nous faire croire aux
victimes de la violence policière devrait aussi regarder leurs arrières.
2
AntilepenpatentéFeatured
21 Juin 2017 à 13:19
@bernard o. " Dans certains quartiers, on parle arabe
et c'est ville morte pendant le ramadan"
On dirait un compte rendu de
Fox News : exagéré, tendancieux et mensonger.
MASSIMO M.Featured
21 Juin 2017 à 9:56
La vrai nature des soutiens de "France insoumise"
(insoumise surtout aux lois et devoirs de la république!), n'est pas très
éloigné de celle de skinhead du FN.
4
manonegro
m.Featured
21 Juin
2017 à 10:43
@MASSIMO M.
Parle des trucs que tu connais...
1
Jo M.Featured
21 Juin 2017 à 12:58
@manonegro m. Ben il parle de ce qu'il connait, à savoir le
journal télévisé de Jean Pierre Pernault...
1
jean pierre b.Featured
21 Juin 2017 à 13:4
@MASSIMO M. c est les memes
je pense meme qu ils sont pire
AntilepenpatentéFeatured
21 Juin 2017 à 13:20
@jean pierre b. @MASSIMO M. Pitié, ne commencez pas à
penser, concentrez vous plutôt sur les accords !!!!
bratFeatured
21 Juin 2017 à 9:14
Toujours pas d'excuses pour avoir faussement accusé le
policier.
2
manonegro
m.Featured
21 Juin
2017 à 10:43
@brat
Un flic ne s'excuse ja-mais...
Solovky S.Featured
21 Juin 2017 à 8:46
Les cosignataires d'hier feront ils paraître une tribune
rectificative ?
Ce serait la moindre des courtoisies
4
François T.Featured
21 Juin 2017 à 2:36
Quelques mois de prison ferme pour ces manifestants, ça les
calmera un peu et leur permettra de méditer sur les bienfaits de la République.
2
Bertrand G.Featured
21 Juin 2017 à 1:17
Étant Rennais, je connais très bien l'extrême violence de
l'ultra gauche anarchiste, très bien organisée, qui saccage régulièrement le
centre ville, tout comme celui de la ville de Nantes. Quand j'ai vu la photo du
flic sortant son arme, je me suis dit qu'il avait certainement de bonnes
raisons pour en être arrivé là. L'article encore une fois accusateur des
méthodes policières me paraissait pour le moins à charge. J'aimerais que les
intellos qui émettent de telles âneries, relayées par la presse parisienne,
fassent un vrai mea culpa. Il ne faut pas être un grand journaliste
d'investigation pour faire le bilan des exactions de ces jeunes extrémistes,
qui sont extrêmement dangereux. Mais ils sont en province...Encore que c'est le
même public qui a saccagé l'hôpital Necker. Je m'attends à ce que les mauvais
penchants de la notion d'insoumission prospèrent dans ces troupes anarchistes
et cagoulées, qui recrutent à l'université Rennes 2 et parmi les zadistes.
11
MARC B.Featured
21 Juin 2017 à 10:40
@Bertrand G. Je suis Rennais et totalement d'accord avec
vous
2
manonegro
m.Featured
21 Juin
2017 à 10:45
@Bertrand G.
Tu connais très bien rien du tout... Retrouve-toi dans une
manif où les flics nassent les manifestants, tous les manifestants, puis se
mettent à charger avec gaz et grenades, et peut-être que tu seras content de
tomber sur un anar qui te sauve un oeil, ton crâne, ou la vie !...
leloupFeatured
21 Juin 2017 à 11:46
@manonegro m. @Bertrand G. Un anar qui sauve la vie d'un
manifestant. MDR
Les manifs auxquelles vous participez, çà doit être dans
votre canapé après une bonne soirée de défonce, sauvant ici un crâne, ici un
oeil..
Les petites frappes
qui descendent en ville pour casser du flic et de l'abribus (pillage de magasin
si affinité) se tiennent bien à part des cortèges de la manif où le service
d'ordre des syndicats est là pour leur expliquer qu'ils ne sont pas les
bienvenus. Les motivations de la manif, ils n'en n'ont rien à f...
Il y a toujours
quelques cowboys anarcobobos qui se mêlent aux casseurs pour le grand frisson,
s'imaginant participer à la révolution.
5
gilbert1 a.Featured
21 Juin 2017 à 12:19
@manonegro m.
Vous n’êtes même plus drôle! Mais de la part d'un type qui
ne trouve rien a redire aux images d'un flic en train de cramer, ce n'est pas
surprenant!
3
robert p.Featured
20 Juin 2017 à 23:19
Je comprends bien les difficultés de "l'intellectuel"
Lordon, signataire de la tribune en question, avec l'épistémologie - les faits,
la vérité, quelles pesanteurs inutiles... Merci pour la rectification
3
manonegro m.Featured
21 Juin 2017 à 10:46
@robert p.
va chercher "épistémologie" dans le p'tit
Robert... Lordon n'a pas besoin de tes zavis zavisés de neuneu mononeuronal...
EMMANUEL R.Featured
20 Juin 2017 à 22:54
Voilà ce qui se passe quand on voit TOUT à travers le prisme
de l'idéologie. Avec les extrêmes, on a l'habitude...
Crédibilité des signataires = zéro.
6
Bec rageur ..Featured
20 Juin 2017 à 22:54
Après coup, si le policier s'était servi de son arme, on ne
lui en aurait pas voulu, donc.
Peu importe, quoi qu'il en soit cette liste de photos est
sortie à point nommé, juste avant le procès. Accusation imparable contre les 7
voy. ous lesquels devraient donc prendre "cher" au procès de demain
mercredi : attaque sur des serviteurs de la République.
L'occasion où jamais à la Justice de faire son travail : 10
ans de pri.son pour chacun d'entre eux se devrait d'être la règle... Sachant
que dans certains pays du globe, ce serait cravate ou fu.sil...
2
jo d.Featured
20 Juin 2017 à 22:29
Je te les enverrai en mode " réouverture Cayenne "
pendant 5 ans ça en calmerai quelques uns .
4
EMMANUEL E.Featured
20 Juin 2017 à 22:16
Merci pour ce bon travail journalistique de clarification
honnête et qui doit permettre de calmer un peu les propos systématiquement
anti-police de certains !
Ce qui n'empêche personne de rester vigilant et dénonciateur
des vraies bavures et abus qui existent par ailleurs.
2
PATACHON91 P.Featured
20 Juin 2017 à 22:11
De quoi ? Casqués, bottés, masqués, ils ne lançaient pas des
fleurs sur les motards ?
N'est ce pas un photo-montage du au cabinet Fantôme de
l'Elysée ?
1
FRANCK C.Featured
20 Juin 2017 à 21:46
ça méritait d'être dit! merci pour cette désintox.
3
jean pierre b.Featured
20 Juin 2017 à 22:52
@FRANCK C. l idéal aurait été de vérifier avant
laisser des tribunes à des gens qui ont montré leur
incompétence et leur mauvaise foi est
dommageable pour la vérité
6
Tzu S.Featured
20 Juin 2017 à 21:36
Tiens ??? Bizarre ... Quand les "soit-disant"
"gentils manifestants" sont en fait de véritables délinquants (et
encore, je pèse mes mots ...), il n'y a pas de réactions .....
Pauvre FRANCE .....
7
Tzu S.Featured
20 Juin 2017 à 21:20
Une fois de plus ....
Total soutien aux FORCES DE L'ORDRE .....
6
manonegro
m.Featured
21 Juin
2017 à 10:48
@Tzu S.
Encore une teup à bourres !... Ça dégouline de soumission
grégaire...
PASCAL R.Featured
20 Juin 2017 à 21:14
Vous osez les appeler MILITANTS monsieur Vincent COQUAZ ?
5
Bec rageur ..Featured
20 Juin 2017 à 21:7
Hé hé : Libé dans ses petits souliers.
Mais quid de la liste des pétitionnaires ultra libertaires
référencés sur le fil "Rennes laboratoire de l'ordre en marche" ? Ce
beau monde auteur de mensonges, de désinformation, véritable vomissoir de
désordre cautionné ?
Les photos publiées et l'article de Ouest-France mettent
donc à plat la désinformation effectuée par toute la rac. aille d'ultra gauche
qui sévit ici, dont la liste des pétitionnaires, liste digne d'être
sérigraphiée sur un rouleau de papier à ch. iottes. Il faudra bien un jour
mettre hors d'état de nuire toute cette chi. enlit libertaire, vectrice et
supportrice du b. ordel ambiant. Gageons que les Lois sur la sécurité préparées
en ce moment par l'actuel gouvernement y aideront. Plein soutien à la Police,
en attendant.
5
Adieu FlambyFeatured
20 Juin 2017 à 20:37
Ce n'est pas la première fois que l'ultra gauche a recourt à
la violence.
C'est même plutôt banal dans ce milieu qui justifie sa
violence par une violence plus grande encore qui viendrait du capitalisme et
dont la police serait le bras armé.
6
denis
b.Featured
20 Juin
2017 à 20:32
Ca ne change rien au caractère disproportionné des
perquisitions menées à 5 ou 6 h du matin, avec tout une armada de Robocops
surarmées, comme si on avait affaire à de dangereux terroristes et djihadistes
adeptes de l'attentat suicide. L'utilisation des mesures expéditives propres à
l'état d'urgence pour neutraliser les contestataires de la gauche radicale ou
de l'écologie n'est plus à démontrer, et les événements décrits dans l'article
(comme dans la pétition mentionnée) en constituent une illustration supplémentaire
!!
viktor s.Featured
20 Juin 2017 à 22:23
@denis b. L'existence même de ces parasites toxiques
justifie une attention policière et une conduite répressive de tous les
instants. On devrait même les ficher "S".
1
Asinus C.Featured
21 Juin 2017 à 0:38
@denis b. les contestataires de la gauche radicale ou de
l'écologie
ce que vous appelez
ainsi sont tout simplement les Sections d’Assaut de la
F I
2
Laurent D.Featured
20 Juin 2017 à 20:30
On peut comprendre l'exaspération de manifestants qui ont
assisté ou subit des violences inadmissibles de la part des forces de
l'ordre. Mais on ne voit pas en quoi le
lynchage d'un policier isolé ferait avancer une cause quelconque. Ces
manifestants hyperviolents doivent être combattus. Ils sont nuisibles.
3
CLAUDE E.Featured
20 Juin 2017 à 20:22
Il faut que cessent ces incivilités. Il n'est pas normal
d'attaquer un membre des forces de l'ordre (ou un quelconque citoyen) sans en
supporter les conséquences. La justice doit se montrer sévère à l'encontre des
trublions.
Pétition
Le 27 avril, un motard de la police a braqué son pistolet
sur des manifestants qui défilaient au mot d’ordre «ni Le Pen ni Macron» à
Rennes. L’image est rapidement devenue virale. Depuis, une enquête a été
ouverte contre des manifestants pour… violence avec arme. Photo Martin
Bertrand. Hans Lucas
Des intellectuels dénoncent les méthodes de policiers et de
magistrats qui, dans la ville bretonne, s’affranchiraient de plus en plus du
droit commun.
Rennes, laboratoire
de l’ordre En marche
A quelques jours d’intervalle, il s’est passé à Rennes deux
événements d’une extrême gravité, qui ne devraient pas laisser indifférents
tous ceux que préoccupe l’état des libertés publiques sur le territoire
français. Le 30 mai, à 6 heures du matin, des dizaines de policiers cagoulés
munis de fusils d’assaut défoncent des portes de logements à coups de bélier et
procèdent à six perquisitions simultanées aux quatre coins de la ville. Sept
personnes sont interpellées, dont deux mineurs. Cette opération fait suite à un
curieux épisode où c’est pourtant le comportement policier qui mériterait une
enquête. Le 27 avril, au cours d’une manifestation de 2 000 personnes répondant
au mot d’ordre «ni Le Pen ni Macron», un motard de la police nationale était
descendu de sa moto pour braquer son pistolet sur les manifestants. Captée par
les journalistes, l’image était devenue virale sur les réseaux sociaux.
Aujourd’hui, ce comportement dangereux et injustifiable d’un policier qui
n’était nullement menacé, comme le montrent les vidéos, est devenu prétexte à
une enquête contre de présumés manifestants pour… violence avec arme (un
pommeau de douche dont on se serait servi pour intimider le motard), ce qui a
justifié les perquisitions du 30 mai. En outre, le modus operandi de cette
opération policière, dès le départ si peu justifiée, correspond à celui d’une
interpellation d’individus très dangereux supposés détenir un armement lourd :
défonçage des portes, policiers suréquipés, armes braquées, plaquage et
menottage au sol des interpellés. Or le choix des «cibles» montre qu’elles ont
été choisies non pas en fonction de leur présence présumée sur les lieux de la
manifestation (de fait certains ont pu prouver qu’ils n’y étaient pas) mais sur
leur appartenance supposée à une mouvance anticapitaliste.
Le 7 juin, toujours à Rennes, était jugé un participant à cette
même manifestation du 27 avril, qui était accusé d’avoir jeté des pierres
contre la police, ce qu’il a toujours nié. Deux jeunes femmes sont venues
témoigner avoir vu des policiers glisser des pierres dans la poche du garçon.
Le président du tribunal manifeste son incrédulité et rappelle le danger du
faux témoignage. Prophétie autoréalisatrice, événement à peu près jamais vu
dans l’histoire de la justice, après que le jeune homme a été condamné à six
mois de prison avec sursis, les deux jeunes femmes sont arrêtées et menottées
sous l’accusation de faux témoignage et conduites devant un juge d’instruction.
Ce dernier, manifestement réticent à les mettre en examen dans ces conditions
rocambolesques, les remet en liberté sous le statut intermédiaire de témoin
assisté.
Ainsi donc, à deux reprises, des policiers et des magistrats
ont manifesté une belle solidarité dans des opérations dont le seul objectif
clair est d’empêcher de remettre en cause des pratiques policières et
judiciaires de plus en plus affranchies du droit commun, face à certains des
adversaires les plus résolus du gouvernement en place. S’il est désormais
impossible d’apporter des témoignages contredisant la version policière, si de
supposés dissidents de l’ordre libéral peuvent subir des opérations d’une telle
brutalité, on n’est plus très loin de ce qui a été théorisé comme «le droit de
l’ennemi» : à savoir, en réalité, la réduction à presque rien des droits des
personnes décrétées comme telles. D’un côté, on a une police qui, depuis ses
manifestations de l’hiver dernier, ne cesse de prendre une forme d’autonomie de
plus en plus inquiétante en se montrant notamment toujours plus intolérante à
toute critique (comme l’a montrée la récente interpellation d’Amal Bentounsi
[la sœur d’Amine Bentounsi, tué d’une balle dans le dos par un policier en
2012, ndlr], qui ne faisait qu’exercer son droit de filmer la police), d’un
autre un gouvernement qui, tout en préparant son offensive thatchérienne de
l’été, annonce vouloir faire entrer l’état d’urgence dans le droit commun. Si
l’on tient compte du fait que le chef de cabinet du Président est l’ancien
préfet de Bretagne connu pour sa gestion plus que musclée de l’ordre public, et
qu’Amnesty International en est déjà à s’interroger sur la difficulté
croissante de manifester en France, on peut dire que tout se met en place pour
que Rennes soit une sorte de laboratoire pour des formes de répressions de plus
en plus affranchies des garanties gagnées par des siècles de luttes sociales et
politiques. Raison de plus de ne pas laisser passer les abus des magistrats et
policiers rennais. Nous exigeons la libération des interpellés du 30 mai et
l’abandon des poursuites contre les témoins du 7 juin.
https://www.change.org/p/la-rue-rennes-laboratoire-de-l-ordre-en-marche
PREMIERS SIGNATAIRES
Serge Quadruppani écrivain ; Eric Hazan éditeur et écrivain
; Frédéric Lordon économiste directeur de recherche au CNRS ; Hugues Jallon
éditeur et écrivain ; Leslie Kaplan écrivaine ; La Parisienne libérée chanteuse
; Alain Damasio écrivain ; Pierre Alféri écrivain ; Nicolas Klotz cinéaste ;
Elisabeth Perceval scénariste ; Ludivine Bantigny historienne ; Nathalie
Quintane écrivaine ; Jérôme Baschet historien ; Raoul Vaneigem essayiste ;
Barbara Glowczewski anthropologue.
Commentaires
Guy L.21 Juin 2017 à 11:49
HONTE à tous les signataires de cette
scandaleuse pétition!
HONTE à Libération qui a donné la parole à ces fascistes d'extrême-gauche,
ces pétitionnaires frénétiques quasi professionnels, en leur fournissant une
tribune!
brat21 Juin 2017 à 9:3
Et maintenant que de nouvelles photos prouvent que le policier a bien été
menacé qu'est-ce qu'ils ont a dire les signataires ?
1
BRUNO M.20 Juin 2017 à 18:30
Si j'ai bien compris le titre et l'accroche, il s'agit de dénoncer une
nouvelle attitude des magistrats dictée par le nouveau President … ou
alors j'ai l'esprit mal tourné et l'emploi de l'expression "en
marche" est tout à fait fortuit ?
Luc B.20 Juin 2017 à 17:14
J'en finis. Quand une bande d'intellectuels (le mot est vraiment très
fort), prennent leurs sources sur les réseaux sociaux ("image devenue
virale", comme c'est mignon... mais hélas dénué de tout sens), sans jamais
avoir mis les pieds sur le terrain où ils situent leur déclamation, ce n'est
pas à l'honneur de Libé que de publier une telle farce. Jean-Paul Sartre ne
doit pas être très à l'aise en sa tombe.
1
Luc B.20 Juin 2017 à 16:44
A la lecture des commentaires, que voit-on ? Ceux qui défendent le texte,
a) n'ont jamais mis les pieds à Rennes, b) n'ont - c'est criant - jamais eu de
rapports verbaux avec les forces de l'ordre, c) louent ce texte parce qu'ils
reconnaissent un nom qui leur plait bien, d) n'ont jamais eu affaire à de la
"casse militante". Bref l'internaute moyen soi-disant de gauche (mais
incapable d'en définir la doctrine) : beaucoup de mots (mal écrits), aucune
information (aucune), peu de style (de simples logorrhées), aucune élégance (du
bruit "militant").
2
Yorkho V.20 Juin 2017 à 16:10
Grâce à Nuit Debout et aux manif ElKhomery les fichiers sont tout prêts,
l'acte II peut commencer...et de manière juridico-légale cette fois
Luc B.20 Juin 2017 à 15:22
A propos. Ouest-France, page Rennes, vient de mettre en ligne les photos
qui relatent les faits cités dans cette pauvre tribune, mais, au contraire de
celle-ci, elles commencent par le commencement. A savoir, l'agression (à
plusieurs - quel courage "militant" !) d'un policier esseulé. Sans
doute, Serge, Eric, Leslie et leurs petits camarades considèrent comme normal
de frapper un homme seul à plusieurs. C'est en tout cas ce qui ressort des ces
lignes non informées, à nette tendance paranoïde. Votre texte, mesdames,
messieurs, est essentiellement imbécile. Prenez un congé. Restez au frais, la
canicule vous empêche.
3
Yorkho V.20 Juin 2017 à 16:18
@Luc B.
C'est pas à Rennes qu'un jeune s'est fait éborgné l'été dernier ?
Luc B.20 Juin 2017 à 16:53
2
Yorkho V.20 Juin 2017 à 17:3
@Luc B.
C'était avant ou apès l'borgnation .
Encore une fois
N'importe qui peut s'habiller en noir et tout casser en se prétendant
d'extrême gauche, fusse t il pour le compte d'autrui
Luc B.20 Juin 2017 à 17:8
En ce cas, en quoi une intervention policière, fut-elle musclée, est
dérangeante ?
1
Yorkho V.20 Juin 2017 à 20:55
@Luc B.
Avant ou après l'éborgnement ?
Luc B.20 Juin 2017 à 12:12
Je suis un Rennais de longue date. Cette tribune fait hélas sourire. Car
avant de discuter des faits policiers, il eut convenu, par honnêteté
intellectuelle (et, en cela, ces "intellectuels" n'en sont point),
étudier la manière et les actes des perturbateurs en cause. Je connais assez
l'extrême gauche pour en avoir été jadis. Et ces dernières années, nous n'avons
pas affaire, à Rennes, à quelque mouvement politique. Nous avons affaire à
d'authentiques casseurs. Suffisamment idiots pour détruire, notamment la Salle
de la Cité, monument ouvrier historique, lieu mythique de concerts. Ignorants
de l'histoire de la ville, inconséquents intellectuellement (il suffit de leur
avoir parlé pour comprendre qu'ils ne pensent pas mais éructent avec un passion
digne d'enfants gâtés), on aurait presque envie de contester leur droit à
l'expression. Car d'expression il n'y a guère. Quand on se voile la face d'un
tissu noir, on n'assume rien, on se cache, on ne revendique pas, on insulte
l'autre. Maintenant, nos fiers défenseurs de l'anarchie demeurent hélas
amusants. On aimerait voir leur tête, leur sérénité apparente si la Police, par
exemple, se mettait en grève. Au bout d'une semaine, nos intellectuels les
supplieraient de reprendre leur service. Rennes laboratoire de répression ? La
bonne blague. Manifestement ce texte ne s'appuie sur aucune connaissance de
terrain. Si tel est le niveau d'autoproclamés intellectuels en France, on peut
en effet frémir pour l'avenir.
4
Yorkho V.20 Juin 2017 à 16:12
@Luc B.
N'importe qui peut s'habiller en noir et tout casser en se prétendant
d'extrême gauche, fusse t il à la solde d'autrui
gilbert1 a.20 Juin 2017 à 10:52
Si j'ai bien saisi, c'est une pétition pour denoncer la riposte policière a
l'encontre des démocrates cagoulés et casquer, parer de barres de fer, pavés,
cocktails Molotov et autres instruments de paix! C'est ca j'ai bien saisi????
4
Bec rageur ..20 Juin 2017 à 1:53
Rennes, métropole du Grand Ouest, tenue par une gauche bobo, avec une
réputation de b.ordel permanent, du désordre régulier, de casse régulière, des
za.distes de NDDL qui font environ tous les deux mois 50 bornes pour venir et
tenter de cogner du flic lors d'incessantes manifs, des tags partout, des punks
à chiens, de la rac. aille à la réputation (vérifiée) d'être surprotégée par
des politicards démagos... Tout ceci au frais du contribuable local,
probablement....
... on ne va tout de même pas s'apitoyer du resserrement des méthodes
d'ordre républicain là bas. Contre la voyouserie, pas d'état d'âme : on tape et
on fait craquer les os, au moins pour maintenir / restaurer l'ordre
républicain. Messieurs, Mesdames de la Police et de la Justice, faites votre
travail ! Et surtout, que les autres grandes villes du pays prennent exemple...
Au fait, dans cette énième pétition gauchiste et ultra-libertaire ... qui
sont ces gens ? Par qui sont-ils mandatés ? Que représentent-ils ?
3
Bec rageur ..19 Juin 2017 à 22:25
Faisons confiance à Gérard Collomb (excellent gestionnaire de sa ville de
Lyon) pour commencer à remettre de l'ordre là où il faut, avec les moyens ad
hoc.
Naturellement le Ministre de la Justice devra "suivre", lui
aussi.
2
Yorkho V.20 Juin 2017 à 16:14
@Bec rageur ..
Ouais
Des skins dans le centre et tout est réglé
Oy Oy
marco l.19 Juin 2017 à 22:12
Eric Hazan, l'éditeur des anars fous furieux du groupe Coupat, Serge
Quadruppani, le soutien de l'ultra gauche violente et sectaire...quels soutiens
!
L'Etat policier que ces braves gens dénoncent à chacune de leur
manifestation violente où ils appellent à brûler du flic et font le maximum de
dégâts contre les "symboles du capitalisme" semble bien faible et
tolérant face à ces hordes barbares qui ne comprennent que le rapport de
force....
3
CARI20 Juin 2017 à 2:42
@marco l. Tiens,
c'est vrai, elle a fini comment, au juste, l'affaire de la bande de Tarnac?
Elle est pas finie, mais la qualification terroriste a été abandonnée en
janvier de cette année.
Des fous furieux, peut-être. Mais la seule pièce du dossier, c'était ce
fameux bouquin. Si on peut être poursuivi juste sur la base de ce qu'on écrit,
autant embastiller derechef tout ceux qui ont commis des écrits violents en
pleine descente ou pendant une adolescence un peu compliquée.
Après, on a connu le cas des tueurs qui ont écrit des polars dans
lesquelles ils racontaient par le menu leurs méfaits, et qui ont été serrés
grâce à cela bien plus tard, surtout quand on arrive à établir qu'ils étaient,
comme par hasard, présents dans le voisinage.
Je ne sais pas si ils sont innocents ou pas, mais il devrait tout de même
avoir plus d'éléments dans le dossier pour priver quelqu'un de liberté.
1
This comment has been deleted
thierryduc19 Juin 2017 à 21:19
@Bec rageur .. Il
faut qu'il se calme le chouchou, ta tisane et au lit !
1
CARI19 Juin 2017 à 22:10
@Bec rageur .. @thierryduc J'ai hâte... au plaisir de vous lire.
CARI19 Juin 2017 à 20:4
Le fait qu'Alain Damasio ait signé me comble de joie. Un grand écrivain
issu d'une longue lignée d'écrivains de science-fiction français, et qui donc à
ce titre s'est penché sur beaucoup d'exemples de dystopies, donne à mes yeux un
sombre présage sur les vrais projets du nouveau gouvernement.
Appelons cette signature lucidité. Je souscris.
1
Catherine A.19 Juin 2017 à 14:58
Les commentaires font froid dans le dos. Un régime policier remettant en
cause la liberté de manifester se met en place et les trolls de droite et du
centre applaudissent ! Et parlent de Mélenchon et de ses SA. On croit rêver.
Quant aux contestations des résultats des législatives en 2012 il y en
avait 108 cas, je suppose qu'il n'y a pas que l'élection de Valls qui, en 2017
sera contestée.
3
Dwayn H.19 Juin 2017 à 16:32
@Catherine A.
Et dans un Etat policier ou personne n'est libre de manifester est-ce que
des hordes d'anencéphales enragés s'amuseraient à tout casser dans les rues de
plusieurs grandes villes de France ?
A utiliser des armes de GUERRE (cocktails Molotov, explosifs etc.) contre
des policiers transformés en troches humaines qui ne réagissent pas car
ordonnés tel quel ?
6
jean pierre b.19 Juin 2017 à 19:51
@Catherine A. moi c
est bénito méluche qui me fait froid dans le dos
cet homme n a rien d un démocrate, il est pire que marine
1
CARI19 Juin 2017 à 19:56
@Dwayn H. @Catherine A. Un état policier, c'est un état où le
droit à la défense n'est plus garanti. On en est plus très loin. Encore une ou
deux lois de ce genre, et nous aurons votre rêve réalisé.
Au fait, l'état régalien, ce n'est pas l'état policier, l'état régalien
peut s'arranger avec la démocratie. L'état policier, lui, est rigoureusement
incompatible avec la démocratie et les libertés qu'elle implique.
2
Asinus C.19 Juin 2017 à 21:28
@Catherine A.
Bonsoir , fut un temps ou les staliniens psychiatrisaient l'adversaire
et le nommaient vipère
je suppose a vous lire que le nouveau vocable est "troll" pour
moi et bolivarien pour vous
1
CARI20 Juin 2017 à 1:15
@Bec rageur .. @CARI @Dwayn H. @Catherine A. Merci pour ce plaidoyer pro-dictature.
Qu'en termes clairs les choses soient dites.
Je préfère cette phrase, me concernant: "Ceux qui sont prêts à
échanger la liberté contre la sécurité, ne méritent nu l'un ni l'autre, et
perdront les deux" , de la part d'un certain Benjamin Franklin.
3
JEAN LUC M.20 Juin 2017 à 11:1
@Bec rageur .. @CARI @Dwayn H. @Catherine A. Toujours dans la pestilence des moutons
policiers, le bec.
Vous puir...
français l.19 Juin 2017 à 14:54
Tout notre soutien à la police et à la gendarmerie.
7
Jo M.19 Juin 2017 à 18:42
@français l. On en
reparlera quand ils viendront frapper (en défoncer) votre porte...
2
Laurent D.19 Juin 2017 à 14:50
Pour avoir été témoin très proche de manifestations violentes anti
loi-travail à Rennes, je peux vous dire que les policiers subissent des
violences de la part de gens qui cherchent à blesser voire à tuer.
Contrairement à ce que votre article laisser penser, les policiers font
preuve d'énormément de sang-froid et de professionnalisme.
9
Jo M.19 Juin 2017 à 18:44
@Laurent D. L'article
ne dit pas que les policier ne
font pas preuve d'énormément de sang-froid et de professionnalisme. Il dit que
certains policiers s'écartent du droits commun et s'arrangent la vérité comme
bon leur arrangent... Je jour ou un d'en eux vous accusera de terrorisme parce
que vous avez osé le regardé de trop près dans les yeux, on en reparlera...
3
thierryduc19 Juin 2017 à 21:21
@Laurent D. parle-en
aux gamins qui sont morts sous les coups de la police...
1
CARI20 Juin 2017 à 2:17
@Laurent D. La
confusion vient du fait qu'il ne s'agit pas d'un article, mais d'un texte de
pétition. Il s'agit d'un point de vue, auquel vous êtes libres d'adhérer ou
non.
1
Dwayn H.19 Juin 2017 à 13:56
Que des représentants de FI refusent le résultat des urnes à de multiples
reprises et légitiment la violence comme moyen d'expression est bien plus
inquiétant et grave qu'un policier tenant en respect des abrutis armés de bien
plus dangereux outils que ce que cet article essaie de faire croire.
Partez donc pour la Corée du nord, le Venezuela ou Cuba si vous n'êtes pas
bien ici, personne ne vous regrettera.
5
Asinus C.19 Juin 2017 à 12:3
le gentil manifestant en tenue d'émeutier est il un digne représentant de
l’opposition "démocratique "
versus FI , bref les antifa sont ils les futur S.A de bénito Mélenchon ?
On peu légitimement supposer que beaucoup de supporter de l’émeutier sont
tolérant a proportion de la distance entre leur lieux de vie et de
la ou se passe les émeutes
6
alain D.19 Juin 2017 à 8:23
Rennes, où les incendies criminels sont récurrents dans les bâtiments
occupés par des artistes.
Rennes, où le 21 mars 2008, un incendie criminel ravageait le bâtiment
autogéré "La villa", durant lequel Joe Sacco, fondateur de
l'association pour l'habitat léger et mobile trouva la mort.
Rennes, où le procès pour faire la vérité sur cette mort est enterré pour
non-lieu.
Un documentaire est en préparation sur cette affaire .....
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Aidez-moi à améliorer l'article par vos remarques, critiques, suggestions... Merci beaucoup.